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Viol d’une étudiante à Ouaga 2000

Publié le vendredi 6 mai 2011 à 00h47min

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On en parle, et on en reparle, mais rien n’y fait : l’insécurité ambiante dans laquelle vit Ouagadougou, notre capitale. Et elle se décline en plusieurs aspects. Le vendredi 27 avril 2011, peu après 8 heures, une brave dame se présente à nous, toute éplorée, mais bien stoïque : elle veut partager avec nous, et bien sûr tout le monde, le drame qu’elle vit à travers ce qui est arrivé à sa fille de 20 ans, victime qu’elle a été d’un viol organisé. Son récit des faits est plus qu’effarant.

La situation sociale au Pays des hommes intègres ces derniers jours est pour le moins inquiétante. La quiétude qui l’a jadis caractérisé semble avoir foutu le camp, et on constate, ces derniers temps, des maux comme ces coups de feu, ces destructions et pillages de biens, ces viols de femmes. Si tout est à condamner, il faut particulièrement s’inquiéter de la multiplication des atteintes à l’intégrité de l’autre moitié du ciel. En effet, depuis la sortie des militaires dans la journée du 15 avril dernier où l’on a fait cas de viol d’au moins 5 femmes, cette pratique ignoble est devenue monnaie courante dans la capitale.

Le dernier cas qui nous est revenu est celui de cette étudiante, dont le seul péché a été d’aller réviser ses leçons. Selon le récit fait par E.K., mère de la victime que nous avons reçue le vendredi 29 avril dernier, sa fille, âgée de 20 ans, tout comme bien d’autres élèves et étudiants, a l’habitude de se rendre, le soir, après ses cours dans une école supérieure de la place, dans un foyer d’études emménagé par des religieux sis au quartier Patte-d’Oie, non loin du rond-point des Droits humains pour y réviser.

Mais la soirée du mercredi ne fut pas du tout comme les autres pour cette étudiante qui, ayant suspendu sa “bosse” aux environs de 20h, couvre-feu oblige, retournait tranquillement chez elle lorsqu’elle tomba sur un groupe de 3 hommes tapis dans un coin obscur, à quelques encablures du foyer. Ayant cru à un braquage, elle obtempéra tout de suite lorsque ces derniers lui firent signe de s’arrêter, prête à leur remettre sa mobylette et son téléphone portable, seuls biens qu’elle avait sur elle.

Mais c’était sans compter avec la cruauté et la bassesse de ses « braqueurs ». En lieu et place des objets, c’est à son intimité qu’ils en voulaient ; et ils commencèrent sur-le-champ à se disputer sur qui d’entre eux devait « l’empoigner ». Finalement, « l’honneur » revint au plus grand et plus costaud dont la stratégie, pour emmener sa victime, fut de lui demander de le déposer quelque part pour qu’il prenne sa moto.

Devant le refus de la jeune fille, ils menacèrent de lui faire du mal même si, visiblement, ils ne tenaient pas d’armes. C’est alors que, pendant que les deux autres montaient la garde, attendant certainement d’autres « malchanceuses », celui dont c’était le tour, qui a bien pris le soin de retirer le téléphone de sa victime, l’entraîna, toujours sous le coup de menaces, au Mémorial des Héros nationaux, sis à Ouaga 2000, où il ne trouva mieux à faire que de la violer.

C’est une fois sa sale besogne terminée qu’il remettra le portable à la pauvre et l’autorisera à décrocher sur l’appel insistant de ses parents pour leur dire tout simplement qu’elle allait bien et qu’elle était en route pour la maison. A en croire E.K., c’est inconsolable et traumatisée que sa fille arriva aux environs de 21h dans la concession familiale ; et, depuis, elle n’a pas arrêter de pleurer. Des examens faits le lendemain ont démontré qu’elle a effectivement été abusée sexuellement.

La pauvre mère, qui n’avait encore pas pu déposer de plainte quand nous la recevions, a tenu à préciser que sa démarche auprès du journal avait pour but d’attirer l’attention des parents et des filles qui vont étudier dans ledit foyer sur le danger qui les guette, afin que ce qui est arrivé à sa progéniture, qui traverse des moments très difficiles, ne se répète plus jamais. Et que, dans la mesure du possible, les auteurs de telles forfaitures soient appréhendés pour que justice soit faite aux victimes.

Alima Koanda

L’Observateur Paalga

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Vos commentaires

  • Le 6 mai 2011 à 01:46, par diff En réponse à : Viol d’une étudiante à Ouaga 2000

    vivement qu’on attrape ces imbéciles et mal élevés.

    • Le 6 mai 2011 à 15:29 En réponse à : Viol d’une étudiante à Ouaga 2000

      Est-ce que quelque chose sera fait par les forces de l’ordre pour tenter d’arrêter ces délinquants ? Si vous pouvez faire quelque chose dans ce sens, merci de le faire afin que personne d’autre ne soit touché. C’est dommage d’attendre qu’il se passe quelque chose à chaque fois pour se rappeler que nos forces de l’ordre ne font pas leur travail. On ne comprend pas que dans un quartier comme la Patte d’Oie, si proche des hauts centres de décision de notre pays (je veux parler de la présidence et des différents ministères de Ouaga 2000), de tels actes se produisent encore. Ironie de l’histoire, ma soeur a été amenée de force au rond-point de Ouaga 2000 et violée à quelques centaines de mètres du commissariat ; il y a quelques années, moi-même j’ai été agressé non loin de là. Autorités politiques et policières, faites quelque chose. Merci en tout cas à la presse d’en avoir parlé. Le frère de la fille agressée...

      • Le 6 mai 2011 à 18:09 En réponse à : Viol d’une étudiante à Ouaga 2000

        Mon frère, la plus belle fille du monde ne peut donner que ce qu’elle a.Même aux USA, la criminalité existe.La Police dont vous parlez est actuellement hait par vous même et par la population.Je deplore ce qui est arrivé, mais vous ne pouvez pas vouloir une chose et son contraire.C’est quand sa chauffe sur vous, vous volez vers la Police.

        • Le 6 mai 2011 à 21:38, par L’optimiste En réponse à : Viol d’une étudiante à Ouaga 2000

          Mon frère tu es hors sujet, trouver les coupables c’est le devoir de la police !!! Le fait qu’ils soient critiqués ou pas par la population ne doit pas les écarter de leur devoir de protection envers les populations.

        • Le 7 mai 2011 à 03:07 En réponse à : Viol d’une étudiante à Ouaga 2000

          On a dit force de l’ ordre. On n’a pas dit forces du desordre.
          Forces de l’ Ordre= a police tueuse ?

    • Le 5 août 2014 à 06:42 En réponse à : Viol d’une étudiante à Ouaga 2000

      Etudiant violé

  • Le 6 mai 2011 à 02:39, par trm En réponse à : Viol d’une étudiante à Ouaga 2000

    Je suis vraiment desole pour cette brave fille. Quels mots peuvent consoler une fille ou femme violee ? Rien. Merci a la Mere E.K pour sa generosite a partager cette information. Prions que sa fille aille mieux. Elle n’oubliera jamais ce choc indelebile, mais je propose qu’elle s’efforce de ne pas rester une double victime des ces bourreaux que je pourrais etouffer a mains-nues.

    Je crois en la justice divine, et ce mal gratuit fait a cette brave etudiante sera paye. Que cette fille envisage d’apartenir a une association de femmes & filles violees s’il en existe ; qu’elle en fonde une pour eduquer les filles et femmes et les hommes sur les risques et comment en minimiser. Bon courage.

    • Le 6 mai 2011 à 10:07, par hope En réponse à : Viol d’une étudiante à Ouaga 2000

      Comme trm je remercie mère E.K pour son partage qui nous interpelle tous et je me joins à la douleur que connais cette jeune fille et en l’occurence toute la famille.

      Je tiens à dire à trm qu’il ne faut pas attendre que quelque chose t’arrive pour envisager de créer une association ou de faire partir d’une association en vu de témoigner.Quand on est conscient de la gravité de ce qui est arrivé nous tous nous devons créer ou faire partir des associations déjà existantes non pas pour témoigner forcement ou directement des vécus mais pour soutenir les actions qui y sont menées.

  • Le 6 mai 2011 à 05:50, par Gbè En réponse à : Viol d’une étudiante à Ouaga 2000

    C’est bien vrai qu’aller etudier hors de chez soit procure la tranquilité et l’assimilation facile des cours, mais la majeure partie des élèves et étudiants qui le font sont soumis à l’espionnage, au vol, à la mauvaise frequentation et surtout au viol.
    À suivre cette histoire, ceci ne ressemble qu’à un coup monté de Voyous qui la connaissent. Ils ont tous fait semblant de n’avoir pas un but précis, pourtant, ils savaient qui serait à l’avant du Mal....
    Un conseil éfficace ; renseignez vous bien avec la Victime sur:qui connait ses heures habituelles d’études, à qui elle a refusé des avances et qui connaitrai son chemin habituel ?
    J’espere que cela vous aidera à arrêter et faire tromatiser ces Malfaiteurs de sorte à ce qu’ils regrettent leurs gestes toutes leurs vies...!
    Courage à la victime !

  • Le 6 mai 2011 à 09:46, par salif En réponse à : Viol d’une étudiante à Ouaga 2000

    ma soeur je te souhaite bocou de courage.Ne t’alarme pas.Fait vite des examens et soigne toi et dit toi que ce sont des péripécies de la vie et remet toi au travail pour affronter l’avenir avec courage et abnégation.
    Je vous soutien bocou et vous voyez que tous ceux qui réagissent partage la mème compassion ;courage

  • Le 6 mai 2011 à 09:47, par salif En réponse à : Viol d’une étudiante à Ouaga 2000

    ma soeur je te souhaite bocou de courage.Ne t’alarme pas.Fait vite des examens et soigne toi et dit toi que ce sont des péripécies de la vie et remet toi au travail pour affronter l’avenir avec courage et abnégation.
    Je vous soutien bocou et vous voyez que tous ceux qui réagissent partage la mème compassion ;courage

  • Le 6 mai 2011 à 09:49, par salif En réponse à : Viol d’une étudiante à Ouaga 2000

    ma soeur je te souhaite bocou de courage.Ne t’alarme pas.Fait vite des examens et soigne toi et dit toi que ce sont des péripécies de la vie et remet toi au travail pour affronter l’avenir avec courage et abnégation.
    Je vous soutien bocou et vous voyez que tous ceux qui réagissent partage la mème compassion ;courage

  • Le 6 mai 2011 à 10:43, par Concitoyen En réponse à : Viol d’une étudiante à Ouaga 2000

    Vraiment courage à la pauvre fille et à ses parents car Dieu seul les fera payer cache à ces malfrats. Ils sont pires que des braqueurs...

  • Le 6 mai 2011 à 10:48 En réponse à : Viol d’une étudiante à Ouaga 2000

    Beaucoup de courage jeune fille. Les femmes revoyez souvent votre manière de vous habiller car ça peut compter souvent.

  • Le 6 mai 2011 à 10:58 En réponse à : Viol d’une étudiante à Ouaga 2000

    C’est horrible. Que Dieu lui donne le courage et la force de surmonter l’épreuve.

  • Le 6 mai 2011 à 11:17, par do En réponse à : Viol d’une étudiante à Ouaga 2000

    C’est ignoble, Ouaga n’est plus ce qu’elle était.
    Courage à la victime,il faudrait qu’elle suive une thérapie pour ne pas sombrer dans la dépression, surtout qu’elle puisse vivre avec.
    J’espère sincèrement que ses moins que rien seront arrêté et puni comme il se doit.

  • Le 6 mai 2011 à 11:18, par Goouhgah En réponse à : Viol d’une étudiante à Ouaga 2000

    Salut,
    Il s’agit peut etre d’un militaire...a moins que ce ne soit l’honorable Dabilgou !
    Il faut porter plainte contre la presidence car ce coin a tjrs ete abandonne et je confirme qu’il ya eu bcp d’agression la bas. Les gens ne temoingnent pas.
    S’ils ont construit ce truc bizarre en plein milieu de Ouaga 2000, qu’ils en prennent soin.
    Tout mon soutien et Dieu le maudisse a jamais1

  • Le 6 mai 2011 à 12:18, par sambiga En réponse à : ne cherchez pas à justifier l’injustifiable

    Rien ne justifie un viol ni le fait d’aller bosser dans un foyer tard le soir, ni le le fait de porter un vetement soit disant trop provoquant !rien ne justifie ça DEIU nous vienne en aide parce que là on va droit dfans le mur !

  • Le 6 mai 2011 à 12:50, par kb En réponse à : Viol d’une étudiante à Ouaga 2000

    Mon premier conseil en ces temps d’insécurité aux élèves et étudiantes est d’éviter de circuler seules la nuit. Un tableau à la maison permet de bien réviser les leçons jusqu’à l’heure du sommeil. Le deuxième est un habillement qui dissimile un temps soit peu les rondeurs féminines. Un simple acte de galanterie peut échouer en viol si la victime présente des atouts digestes. Malheureusement plus il y a des conditions en faveur du viol, plus il y a des viols. La fille habillée sexy est un sérieux problème pour bon nombre d’hommes. As-t-on déjà appris le viol d’une sœur religieuse ? pourtant, elles sillonnent nos villes et nos campagnes.

    • Le 6 mai 2011 à 21:53, par kabako En réponse à : Viol d’une étudiante à Ouaga 2000

      Sincèrement je n’ai jamais appris le viol d’un religieuse. Mais les femmes portent aussi de bellles rondeurs pour ne pas nous emerveiller avec au risque de se faire violer. Elles ornent notre environnement avec ces formes artistiques qui meritent exposition un tant soit peu

  • Le 6 mai 2011 à 12:56, par moussa En réponse à : Viol d’une étudiante à Ouaga 2000

    Je souhaite bocou de courage à la fille et plus jamais ça au burkina, un etat republicain où la violence est la règle. Etant etudiante je crois qu’elle est bien placée pour resoudre le problème à long terme. Que Dieu lui donne la chance d’être dans le sphère dirigeant de ce pays dans le futur, elle pourra contribuer à eradiquer ce phénomène.

  • Le 6 mai 2011 à 13:02 En réponse à : Viol d’une étudiante à Ouaga 2000

    Je souhaite beaucoup de Courage à cette fille pour sortir de cette épreuve.
    Je crois que la multiplication des cas de viols ces derniers temps est plus imputable à l’instauration du couvre-feu qu’à un problème d’insécurité. Les cas de viols sont exclusivement signalés dans la commune de Ouagadougou, où le couvre-feu a été instauré. Le cas de cette fille montre que ses bourreaux n’étaient ni voleurs ni assassins, ils ont même permis à leur victime de rassurer ses parents au téléphone quand l’inquiétude de ceux-ci était au summum du supportable. Il y a aussi le fait que les violeurs ne se soient pas rués sur leur victime tous les trois. Tout cela m’amène à penser que ces violeurs sont des violeurs circonstanciels par opposition à violeurs classiques qui eux allient les tristes qualités d’impitoyables, de voleurs, de drogués, d’assassins...

    Ma vision de cette histoire est que :
    Le couvre-feu empêche ’les filles de joie’ d’exercer leurs activités nocturnes. Qu’on le veuille ou pas les ’les filles de joie’ jouent un rôle (dans le sens positif ou négatif, tout dépend du contexte) dans l’équilibre de la vie dans notre société où la pauvreté empêche beaucoup de jeunes hommes de se prendre une femme et de fonder leur foyer. Quand on sait l’incapacité de certains hommes à pouvoir se retenir, on peut comprendre la multiplication des cas circonstanciels de viol.

    Vivement que le couvre-feu soit levé pour que l’ordre et l’équilibre reviennent dans la commune de Ouagadougou dans l’intérêt sécuritaire de nos sœurs.

  • Le 6 mai 2011 à 13:25 En réponse à : Viol d’une étudiante à Ouaga 2000

    Je souhaite beaucoup de Courage à cette fille pour sortir de cette épreuve.
    Je crois que la multiplication des cas de viols ces derniers temps est plus imputable à l’instauration du couvre-feu qu’à un problème d’insécurité. Les cas de viols sont exclusivement signalés dans la commune de Ouagadougou, où le couvre-feu a été instauré. Le cas de cette fille montre que ses bourreaux n’étaient ni voleurs ni assassins, ils ont même permis à leur victime de rassurer ses parents au téléphone quand l’inquiétude de ceux-ci était au summum du supportable. Il y a aussi le fait que les violeurs ne se soient pas rués sur leur victime tous les trois. Tout cela m’amène à penser que ces violeurs sont des violeurs circonstanciels par opposition à violeurs classiques qui eux allient les tristes qualités d’impitoyables, de voleurs, de drogués, d’assassins...

    Ma vision de cette histoire est que :
    Le couvre-feu empêche ’les filles de joie’ d’exercer leurs activités nocturnes. Qu’on le veuille ou pas les ’les filles de joie’ jouent un rôle (dans le sens positif ou négatif, tout dépend du contexte) dans l’équilibre de la vie dans notre société où la pauvreté empêche beaucoup de jeunes hommes de se prendre une femme et de fonder leur foyer. Quand on sait l’incapacité de certains hommes à pouvoir se retenir, on peut comprendre la multiplication des cas circonstanciels de viol.

    Vivement que le couvre-feu soit levé pour que l’ordre et l’équilibre reviennent dans la commune de Ouagadougou dans l’intérêt sécuritaire de nos sœurs.

  • Le 6 mai 2011 à 14:07 En réponse à : Viol d’une étudiante à Ouaga 2000

    Bonjour ma chere
    Juste pour te dire de ne pas te decourager . La vie continue et je te souhaite tous le bonheur du monde. Sois forte et ces imbecile font payer cher de toutes leurs vie. Surtout tu as interêt à te battre encore plus et reussir à ton examen. Tu as le soutien de ta famille et de nous tous. Encore courage ma chère.

    • Le 7 mai 2011 à 03:09 En réponse à : Viol d’une étudiante à Ouaga 2000

      Je prie Dieu pour que le malfrat ne lui donne pas une maladire plus grave. Sinon, celle fille doit etre prise en charge par un psycholoque sinon elle ne pourra jamais etre a l’ aisde avec un homme. On lui a conseille d’ etre un bonne fill jusqu’a 20 ans et voila que des loufiats lui arrachent sa virginite. Elle n’ a pas ete bien payee pour sa vie rangee. Mais qu’ elle sache que la vie n’ est bpas juste.

      Que Dieu te donne le courage.

  • Le 6 mai 2011 à 23:07 En réponse à : Viol d’une étudiante à Ouaga 2000

    Ma soeur, Que Dieu te préserve du SIDA et autres MST et d’une éventuelle grossesse !
    QUe Dieu corrige ce malfrat à la mesure de sa forfaiture !!!!

  • Le 17 mai 2011 à 13:19, par SAGESSE En réponse à : Viol d’une étudiante à Ouaga 2000

    Le viol qu’on le veuille ou non est une souillure de laquelle on ne peut s’en débarrassé. Une femme/ fille violée est souillée à jamais.
    Il ne faut pas se limiter uniquement à l’interpellation des autorités ; il faut aussi impliquer la population.
    Les femmes/ filles doivent éviter d’embarquer des inconnus sur les moto et les voitures à des heures indues. Au fait, il sied de devenir vigilante autant que l’on peut.

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