Nicolas Sarkozy pourrait regretter d’avoir fondé sa « relation » avec la Libye sur la vision qu’en a BHL, philosophe-express et mari de la « strip-teaseuse »
« C’est, qu’on le veuille ou non, le début de la fin pour ce bouffon sanglant et pour ses fils. Et, pour les insurgés de l’Est libyen avec qui j’ai pu parler dans la nuit de vendredi, c’est quand même une victoire ». Celui qui s’exprime ainsi dans Le Journal du Dimanche (dimanche 20 mars 2011) au lendemain de l’adoption de la « résolution 1973 » par le Conseil de sécurité de l’ONU, s’appelle Bernard-Henri Lévy.
BHL pour les médias et les « people ». Une star de l’édition. Un philosophe, dit-on ; plus encore un « nouveau philosophe ». Il s’est fait une spécialité de la médiatisation de ses « grands reportages » dans les pays en guerre : Bangladesh, Afghanistan, Bosnie, Darfour, Géorgie, etc., de sa défense des « héros de la lutte pour la liberté » (dernièrement l’Iranienne Sakineh Mohammadi Ashtiani, condamnée à la lapidation pour adultère après la mort de son mari), de ses réceptions dans sa propriété de Tanger, au Maroc, des livres de sa fille (Justine Lévy dont le mari, Raphaël Enthoven, l’a quittée pour un mannequin : Carla Bruni) et des « effeuillages » de sa femme (Arielle Dombasle) au Crazy Horse.
En 1981 (il avait alors 33 ans), dans un entretien au magazine Play Boy, il répondait à Georges-Marc Benamou qui lui demandait ce qu’il pensait des « penseurs » qui « refusent de se commettre dans les médias » : « Je pense que ce sont des gens qui ne comprennent surtout rien à leur temps, à ses enjeux, à ses formes de communication de l’écriture nouvelles. Singulier poujadisme de cette médiaphobie ! Etrange crispation, bébête et franchouillarde, de ces écrivains en béret qui jouissent honteusement en regardant « Dallas » ! Formidable panique surtout, presque physiologique, devant ce petit écran impitoyable où se dit la vérité des corps, des gestes, des regards, des voix, bref des langues enfin déliées. A la racine du réflexe antitélé d’aujourd’hui, il y a d’abord une énorme trouille sexuelle ». C’était il y a trente ans ; et, déjà, BHL avait tout compris : on peut dire n’importe quoi à condition de le dire à la télé. Henri Guaino, le « porte-plume » de Nicolas Sarkozy (il est l’auteur du fameux « Discours de Dakar »), dit de BHL que c’est un « petit con prétentieux ». Il est dans la retenue.
Dès les années 1970, Lévy n’était déjà qu’anecdotique : crinière noire et col blanc (désormais la crinière est de la couleur du col). Il avait compris qu’en matière de vente, l’emballage importait plus que le contenu à condition d’avoir un bon slogan (ce sera « les nouveaux philosophes »), de multiplier les campagnes de pub (le Bangladesh et autres marchés « humanitaires »), de construire un réseau de distribution solide. Côté réseau : pas de problèmes, Lévy connaît du beau monde. Normal, il lui appartient.
L’imposture de Lévy a été de laisser croire qu’il était un « écrivain-philosophe » (ce que précise sa notice du Who’s Who) quand il est, essentiellement, un homme d’affaires. Et quand ses interlocuteurs lui demandent une information précise sur ses activités financières, il a toujours la même réponse : « Je ne sais pas, ce sont mes sociétés qui paient la note ». « Bon sang ne saurait mentir », dit-on. Lévy est né à Béni Saf, en Algérie. Son père était « président de sociétés » précise BHL. Exact. Plus précisément de sociétés d’exploitation forestière en Afrique noire francophone, principalement Cameroun et Gabon.
Fils de « patron » et fils de « colon », BHL s’implique dans la gestion des entreprises familiales, siégeant aux conseils d’administration aux côtés de papa. Plus beau fleuron de cet univers colonial : la BECOB créée dans les années 1950. Il suffit d’en tirer un fil pour dérouler la pelote des affaires financières de Lévy. Quelques années après la mort de son père, BHL vendra le groupe familial à l’industriel François Pinault. Qui est, par excellence, « l’ami financier ». Marchand de bois avant d’être milliardaire et amateur d’art ; et, au passage, patron de la FNAC, premier libraire de France, et patron de presse (notamment Le Point où BHL est aujourd’hui éditorialiste). C’est dire que pour BHL, « écrivain-philosophe » et homme d’affaires, Pinault est une relation utile.
Ceux qui pensent que Lévy est tombé dans les affaires à la naissance et a du mal à en sortir car il faut aider la famille, se trompent. Le système BHL, selon ses biographes (ils sont nombreux), vise à « faire du fric » ; et il y parvient. Sur son nom, sur le nom (et le physique) de sa femme, sur le nom de ces nombreux amis de la presse, de la télé, de la radio. Qui sont aussi des amis politiques. Il « fait du fric » dans la presse, dans la littérature, dans le cinéma ». « Faire du fric » n’est pas condamnable ; cela peut être un choix de vie. L’imposture est de laisser penser qu’on fait autre chose ; et de se poser en donneur de leçons à l’humanité.
Un mot sur Madame Lévy (épousé en 1993), alias Arielle Dombasle. Elle est la fille de Jean-Louis Sonnery de Fromental qui avait épousé Franion, cadette de Marie-Adrien Garreau-Dombasle. Arielle Dombasle dit de son grand-père maternel : « On lui donnait du « Votre Excellence », ce qui me semblait étrange. Il avait été consul aux Indes dans les années 20, puis ce fut Washington, le Mexique, l’Afrique. Un bloc de dignité discrète. Pas de compromis avec la petitesse des choses et des hommes ». En fait, administrateur de sociétés, Garreau-Dombasle a été attaché commercial aux Indes anglaises (1922), conseiller commercial à Washington (1927), délégué du Comité français de libération nationale dès 1940 et envoyé extraordinaire et plénipotentiaire de la France à Mexico en 1943. Admis à la retraite en 1946, il sera président de la Compagnie française des mines de Bor et de la Compagnie minière de Conakry. Parfois, la mémoire flanche.
Le 22 octobre 1987, je dînais à La Réserve, célèbre restaurant de Genève. Rédacteur en chef de Marchés Tropicaux, j’étais aussi spécialiste de « l’économie des télécommunications » et c’est à l’occasion de Télécom 87 - la plus grande manifestation mondiale en la matière - que j’avais été convié à un dîner organisé par le ministre français délégué à la Poste et aux Télécommunications. A cette occasion, un ouvrage nous sera remis par le ministre : « Recherche métaphysiciens désespérément ». Texte de Bernard-Henri Lévy, photos de Raymond Depardon. Ouvrage tiré à 300 exemplaires et dédicacé. BHL y rend hommage au… téléphone. « Baudelaire, j’en suis sûr, aurait aimé le téléphone. Il aurait joui, comme personne, de ces fabuleuses machines à couper, filtrer, refroidir les rapports entre les humains. Et je l’imagine tellement bien, lui le grand haïsseur de la nature, le négateur intraitable des humeurs, moiteurs, tiédeurs voire ardeurs naturalistes, saluer dans ces « artifices » le comble du dandysme ! » (je ne me lasse pas de la lecture des textes de BHL).
Le ministre délégué en question s’appelait alors Gérard Longuet, fondateur dans les années 1960 d’une officine politique considérée alors comme fasciste : « Occident », activiste de « l’Algérie française ». Il est revenu au gouvernement voici quelques semaines (cf. LDD France 0579/Mardi 1er mars 2011) comme ministre de la Défense et des Anciens combattants. Juste à temps pour retrouver BHL sur le terrain libyen.
Le 6 mars 2011, BHL publie un reportage dans Le Journal du Dimanche : « Dans la Libye libérée ». Bref séjour à Tobrouk et Benghazi. Première phrase de son « papier » : « Que pouvons-nous faire pour la jeune révolution libyenne ? ». Il appelle Sarkozy, lui dit que les gens du Conseil national de transition (CNT) « sont des gens bien ». Sarkozy reçoit à l’Elysée ces « gens bien » et décide, dans la foulée, de lancer l’opération « l’aube de l’odyssée ». Je ne suis pas sûr que ce nom n’ait pas été choisi par BHL. Et déposé ; pour rapporter des royalties. La diplomatie internationale - et la guerre, hélas - ça se fait aussi comme cela ! A coup de relations « mondaines ».
Jean-Pierre BEJOT
La Dépêche Diplomatique
Vos commentaires
1. Le 25 mars 2011 à 22:40, par L’optimiste En réponse à : Nicolas Sarkozy pourrait regretter d’avoir fondé sa « relation » avec la Libye sur la vision qu’en a BHL, philosophe-express et mari de la « strip-teaseuse »
Était il nécessaire de rajouter "mari de la strip-teaseuse", étant donné que cela n’a rien à voir avec l’article en question ?
2. Le 26 mars 2011 à 00:27 En réponse à : Nicolas Sarkozy pourrait regretter d’avoir fondé sa « relation » avec la Libye sur la vision qu’en a BHL, philosophe-express et mari de la « strip-teaseuse »
Merci beaucoup Monsieur JPB.Vous êtes extrêmement informé, ce qui rend toujours vos écrits intéressants à lire.
Je pense que dans le cas libyen -qui n’est pas comparable en rien des situations tunisienne et egyptienne - la communauté internationale (ou les seigneurs de guerre) s’est trompée. Il en est tellement ainsi qu’on se demande maintenant en quoi une rébellion qui soulève les armes contre la sureté de l’Etat a-t-elle de la dégitimité. Et qu’est-ce que le peuple en démocratie ? Est-ce simplement un petit groupe minoritaire (de mécontents) ? Si, oui, et la majorité qui n’approuve pas leur point de vue, que représente-t-elle ?
Ou tout simplement, dites-nous qu’on s’est trompé depuis longtemps et que la démocratie elle-même est un non sens !
3. Le 26 mars 2011 à 03:07 En réponse à : Nicolas Sarkozy pourrait regretter d’avoir fondé sa « relation » avec la Libye sur la vision qu’en a BHL, philosophe-express et mari de la « strip-teaseuse »
J’ai beaucoup de respect pour Bejot mai face a ces attaques ad hominem, je suis perplexe. Mr. Bejot, a ce rythme- la, je suis sur que vous allez retourner beaucoup de vos admirateurs contre vous. Il y a meme un fond de racisme sybillin dans cet ecrit. Quand vous dites que bon sang ne saurait mentir, faisant allusion a l’ oeil aigu de BLH sur l’argent. Ayez le courage de dire que Bernard Levy porte bien son nom juif. Ne mettez pas sur le compte du fait que son pere fut colon sa gourmandise sur l’argent. Qui ne connait pas les stereortypes vehicules sur les juifs et selon lesquelles ils sont apres au gain. Comme s’ il y avait une race ou une ethnie qui crachait sur l’argent. Bejot, il est grand temps que vous reveniez a votre grandeur d’ antan. Votre jalousie professionne ;lle entre vous et BLH, gerez ca entre vous deux sans nous infecter tous. Parce qu’ il est philosophe, il est interdit e faire les affaires ? Le philosophe n’a - t- il pas les deux pieds sur terre ? Mange- t- il les idees pour entretenir son metabolisme basal ?Et sa femme strip- teaseuse ? Je devine au moins u’ elle est plus desirable que la votre puisqu’ il se trouve assez degens portes sur la chose pour allr la regarder. Pas sur que la votre est ausi bien achalandee.
Le Bejot National tres decu e ctte sortie pas haute de celui qu’ il considerait jsuque- la comme sonheros. Il risue de ne meme pas meriter d’etre son heraut s’ il ne fait pas amende honorable.
LeBejot National ?
4. Le 26 mars 2011 à 07:42 En réponse à : Nicolas Sarkozy pourrait regretter d’avoir fondé sa « relation » avec la Libye sur la vision qu’en a BHL, philosophe-express et mari de la « strip-teaseuse »
On le savait déjà et on nous l’a prouvé par cet article.
Tous les descendants des dynasties qui ont niqué les peuples et les nations pour s’enrichir sont les décideurs aujourd’hui.
Le colonel Kadaf empêche de niquer son pays et son peuple.
Il gène en plus les niqueurs des peuples dans certains pays.
Voilà pourquoi il faut l’abattre à tout prix.
Une chose est sùr , Kadaf n’est pas bon mais il est 1000 fois plus bon que ceux qui ont intervenu.
Ils n’interviennent pas pour sauver personne, il ne dépenseront jamais un rond pour sauver les autres ; sauf les leur. Ils feront tout pour leurs intérêts .
La France n’a pas d’amis,il n’y a que les intérêts de la France . Même Chira(qui l’avait dit) n’est pas son ami,il va même faire la prison si Alzheimer ne le sauve pas. Donc si la richesse libyenne était du self-service des occidentaux, Kaddaf et ses fils pouvaient massacrer autant qu’il veulent et ils resteront tranquille.
Mais dieu si tu existes ,et si tu as créé ce monde et tu es puissant, fais écrouler les puissances du diable et des satanistes.
Avez-vous entendu ce dingue nous parler de conscience universelle ? Pourquoi pas cette conscience pour les ivoiriens ? Parce que c’est désormais acquis .
"Mourrez ivoiriens ! vous pouvez même tous mourir ! ça nous arrange ! Gbag et ses miliciens peuvent vous massacrer .
Il s’en ira bientôt pour nous(La France) laisser le terrain, on se servira à volonté." C’est ça le message, c’est du non verbal.
Le 28 mars 2011 à 00:51 En réponse à : Nicolas Sarkozy pourrait regretter d’avoir fondé sa « relation » avec la Libye sur la vision qu’en a BHL, philosophe-express et mari de la « strip-teaseuse »
Je suis d’accord avec toi. Les gens qui meurent aussi en CI sont des civils obus(es). Mais on cherche a ce que le Conseil de securite prenne un texte qui reconnait que les obus ne doivent pas etre utilises sur les personnes. Donc c’est ok alors si on tire des rafales sur les populstions civiles ?etroleSperieur a CacAO. oN A TOUT COMPRIS.
5. Le 26 mars 2011 à 17:13, par Truth En réponse à : Nicolas Sarkozy pourrait regretter d’avoir fondé sa « relation » avec la Libye sur la vision qu’en a BHL, philosophe-express et mari de la « strip-teaseuse »
Sarkozy et Obama s’entendent pour passer sous silence le genocide ivoirien et se precipitent pour piller les ressources Lybiennes. La Lybie est la « station d’essence de ‘Europe » et pourait etre une excellente base stratégique militaire pour les Etats-Unis ) : AFRICOM.
Après avoir probablement entendu les cris contre son indécision sur la Cote d’Ivoire et sa précipitation pour bombarder la Lybie, et bien Obama a finalement pensé aux Ivoiriens ! Attention, c’est d’un discours creux et qui ne changera rien à la donne sur le terrain. Il cherche à redorer son blason. C’est toujours pour renforcer leurs cotes de popularité chez-eux que Sarko et Obama bombardent par-ci et feignent de rien voir ni entendre par là.
Alors que les Africains croyaient que l’élection de Barack Obama était une source d’espoir pour l’Afrique. L’homme a décidé de faire sa guerre contre l’Afrique ou disons pour récupérer les ressources du continent pour la « noble cause impérialiste ! ». Pour cela il a été piégé car il a signé la fin de son mandat et j’imagine comment sa base constitué surtout d’Africains-Américains pourraient le soutenir dans les présidentielles en 2012. Bref, l’attaque de la Libye a démontré la faiblesse d’Obama et sa naïveté. Il est tout simplement un pantin ! Pas plus !
S’agissant de la lutte pour la démocratie, j’ai toujours soutenu que l’Afrique doit tisser sa propre « toile » de démocratie laquelle lui permettra de naviguer la « toile » démocratique créée par l’occident. L’araignée a tissé sa toile pour manger. Entendons par là, l’occident et sa civilisation et toutes ses idéologies dites démocratiques. Toutes les composantes de leur « toile » civilisationnlle et culturelle, c’est pour manger. L’invasion de la Libye sous prétexte qu’il faut protéger un peu du massacre d’un dictateur, n’est que rhétorique pour piller les ressources libyennes, et donc pour manger. Sinon, la Cote d’Ivoire se meurt et des milliers d’innocents sont massacré littéralement, moralement et psychologiquement par l’usage d’armes lourdes sous le nez et la barbe de l’ONU qui ne dit rien, ne voit rien, et n’entend rien. Les Ivoiriens ne sont-ils pas des humains au même titre que les libyens ? Mais hélas, la Cote d’Ivoire n’a pas de pétrole comme la Libye. La communauté dite internationale est un groupe mafieux qui se bat pour leurs propres intérêts. Un point. Un trait. « La démence-cratie » ou disons « la toile démocratique » de l’araignée occidentale n’est qu’une autre face du néolibéralisme pour bouffer, piller et massacrer d’innocentes populations. Sarko a decide de bombarde la Lybie sans doute faire entrer les lybiens dans « l’histoire » (allusion discours de Dakar !) et laisser les ivoiriens se massacrer pour les faire entrer dans l’histoire (les guerres tribales entre les peuples primitifs, histoire africaine vue par les anthropologues occidentaux et le discours de Darkar).
Sinon comment comprendre le silence de l’ONU et de la communauté internationale une autre toile occidentale de la gouvernance devant le génocide au Rouanda, au Soudan, au Congo-Zaire (RDC), au Liberia, en Sierra, et aujourd’hui en Cote d’Ivoire ? Comment comprendre ce silence ? Ca ne vaut pas la peine de se battre pour les intérêts du « nègre » ou peut-être que je me trompe dans mon analyse. Alors que l’on explique ce double jeu de l’ONU, de la communauté internationale, et leurs versions clonées l’Union Africaine ?
6. Le 28 mars 2011 à 11:33, par bibititou En réponse à : Nicolas Sarkozy pourrait regretter d’avoir fondé sa « relation » avec la Libye sur la vision qu’en a BHL, philosophe-express et mari de la « strip-teaseuse »
Monsieur le Journaliste qui croit tout savoir, sachez que Bernard Henry Levi n’est plus avec Arielle Dombale. parlez du Burkina que vous connaissez, ou de la politique et non exposer sa vie privée comme ça.
7. Le 28 mars 2011 à 11:50, par Ibrahim En réponse à : Nicolas Sarkozy pourrait regretter d’avoir fondé sa « relation » avec la Libye sur la vision qu’en a BHL, philosophe-express et mari de la « strip-teaseuse »
C’est avec colère que j’assiste impuissant (en tant que africain et fier de l’être) à ce qui se passe en Lybie. On n’a beau detester Khadafi, on a beau souhaiter son départ (il a d’ailleurs trop duré au pouvoir), on doit reconnaitre que ce qui se passe n’est pas honnête. Sarko a peur et veut etouffer les revelations sur le financement de sa campagne presidentielle et avec ses potes d’intérêts ils en veulent au petrole et au gaz lybien.
Sinon, comment comprendre qu’en si peu de temps, ils (Sarko et ses potes) se permettent d’attaquer un pays pour aider des "voyous armés" à deloger un chef d’Etat reconnu par une grande partie de sa population et par la communauté internationale ?
On me dira qu’ailleurs les populations ont manifesté et Ben Ali est parti, Moubarak est parti, le roi Mohamed a promis des changements, etc. Tout ça est vrai, mais ailleurs, les mecs n’ont pas pris de Kalach pour tirer sur la Republique. Khadafi n’est certes pas un exemple mais force est de constater que Sarko et sa bande d’amis lui ont vendu vraiment un guerre dont l’Afrique n’a pas besoin.
Qu’ils sachent seulement une chose : l’histoire finira par les rattraper
8. Le 28 mars 2011 à 12:59, par Socrat En réponse à : Nicolas Sarkozy pourrait regretter d’avoir fondé sa « relation » avec la Libye sur la vision qu’en a BHL, philosophe-express et mari de la « strip-teaseuse »
Le vietnam...La coréé...la Somalie...l’afghanistan...l’Irak...la liste est longue de ses pays là ou il ont voulus instaurer leur démocratie...Sincèrement je ne sais plus ce que s’est que la DEMOCRATIE ?
A l’école la plus simple des définitions qu’on ai donné est le Pouvoir du peuple par le peuple et pour le peuple...et que le choix de la majorité était le chemin a prendre...si cela résume les sens du mot alors pourquoi La FRANCE...L’AMERIQUE...l’ANGLETERRE...font tout pour Imposer la démocratie à d’autre peuple qui ne sont pas leur...et en plus c’est à coup de missile et autre...J’en convient que Sadam...était un cas en son modèl...cependant il avait réussis une chose que la démocratie n’avait pas réussi : L’Irak était stable sans démocratie...La preuve les Américains sont allés en Irak avec une preuve montée de toute pièce...ce qui nous amène a nous posés un simple question...Qui prend les décisions à l’ONU...Pourquoi tou nos pays sont membre d’une Organisation où ils ne décides rien et que seulement trois nations décident à la place de tout le monde...Le vote de l’egypte est compréhensible contre la Libye...cependant celui de l’Afrique du Sud et du Nigéria est triste...comment des représentants de l’Afrique peuvent voter un Texte sans même le lire ?
En Libye, un petit groupe de personne voulant juste controler le petrole et en profitant de la banière de revolution ont pris des arms...et aujourd’hui bénéficie du soutient de la France pour bombarder celui qui refuse de laisser son petrole à l’occident...comment cette resolution à pu passer ? où sont les civils que la France défend...?
9. Le 28 mars 2011 à 13:12, par Socrat En réponse à : Nicolas Sarkozy pourrait regretter d’avoir fondé sa « relation » avec la Libye sur la vision qu’en a BHL, philosophe-express et mari de la « strip-teaseuse »
Où sont passé les intéllectuelles de ce monde...ceux qui savent lire entre les lignes...ceux qui savent lire comprendre plutôt que t’entendre...ceux là qui ne prenne pas tout ce qui sort de la télé ou des journaux mais prennent le temps d’analyser...ou est passé ses personnes là qui étaient capable de dire haut et fort ce qu’il pensent ?
La côte d’ivoire coule ...L’ONU n’a rien fait...et ne fera rien , quand c’est noir çà peut mourir c pas grâve...ou encore pire quand c’est noir et que ya pas de petrole ou des diaments basta...Comment des gens qu’on appel journaliste...j’imagine qu’il savent lire et réfléchir ont pu appuler ce argument de la France" il parait qu’elle par défendre des civils" où sont t-ils ces Civils...? soit on est civil soit on ne l’est pas...une fois qu’on porte une Armes qu’on tire alors on prendr un autre statut.
La libye à du pétrol et du gaz et tant que que Khadfi ou ses fils seront là...ben personne ( La france, L’amérique, L’anglettre) ne pourra se servir comme il veulent parce que lui à la différence de certains de nos gourvenement sait dire NON...Monsieur Bling Bling veut possédé maintenant un puis de pétrol comme la pluspart des présidents américains...donc faut bien trouver ou passer en douce
La mondialisation...on s’est fait tous avoir...Aujourd’hui les pays africains " les peuples noirs" sont les plus riches du monde...ils possèdent tous sur leur sol...mais manque d’une seul chose la plus importante pour survivre en ce monde " la capacité à mettre nos différent de coté pour s’unir pour notre sécurité à tous" nos régimes politiques sont fragilent...pour un rien en s’entretue et les autres pendant se temps ne perdent pas de temps pour charger les tonnes de matière première et partir com si de rien n’était.