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POT-POURRI : Suspension de la "Tribune des internautes", les félicitations du CSC

Publié le vendredi 26 novembre 2010 à 02h15min

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Suite à la décision du "Pays" de suspendre la rubrique "La Tribune des internautes", le temps de la campagne électorale, la présidente du CSC (Conseil supérieur de la communication), Béatrice Damida, s’en est félicitée à travers les lignes ci-après.

"Le Conseil supérieur de la communication a pris connaissance de votre annonce faite à vos lecteurs parue dans l’édition n° 4734 du 04 novembre 2010 relatif à la suspension de la rubrique "La Tribune des internautes" dans sa version papier le temps de la campagne électorale. Tout en approuvant les raisons avancées, je voudrais, par la présente, saluer cette initiative qui témoigne de votre attachement au respect des principes de la responsabilité sociale. Veuillez recevoir, Monsieur le Directeur général, l’expression de ma considération distinguée."


Alphabétisation : Ousséni Tamboura à Toulouse

Ousséni Tamboura, ministre délégué à l’Alphabétisation et à l’éducation non formelle, sera en visite à Toulouse les 29 et 30 novembre 2010 pour assister aux journées de travail initiées par l’association GADD. Le ministre se rendra à Toulouse à l’occasion des journées de travail organisées par l’association Groupement d’acteurs du développement durable (GADD), qui se dérouleront les 29 et 30 novembre 2010 à Toulouse en compagnie des premiers responsables de la mairie de Toulouse et du Rectorat de l’Académie, sur le thème : "Education numérique au service de l’alphabétisation au Burkina Faso". L’objectif de ces journées est d’éclairer les différents acteurs de la région de Toulouse sur la situation actuelle et envisager un partenariat avec le Burkina Faso, afin de mettre en œuvre les moyens visant à améliorer durablement la satisfaction des besoins élémentaires des communautés villageoises. Le GADD est une association qui agit pour le développement endogène des communautés rurales.

Elle place la question de l’alphabétisation au cœur de la pérennisation des innovations techniques en utilisant les outils numériques pour en améliorer l’efficacité et rendre les formations plus attractives. Les actions mises en place visent à améliorer durablement la satisfaction des besoins élémentaires et rendre visibles rapidement les changements de leur vie quotidienne. Cette rencontre sera l’occasion de s’ouvrir sur les grandes problématiques de l’Afrique de l’Ouest. C’est aussi l’opportunité d’envisager les perspectives futures à travers le développement de nouveaux projets mis en place par des associations comme le GADD.


La diplomatie burkinabè s’ouvre au public

La première semaine du mois de décembre sera particulière au ministère des Affaires étrangères et de la coopération régionale. En effet, le département s’active pour la commémoration du cinquantenaire de notre diplomatie. L’événement qui se déroulera du 2 au 4 décembre prochain, est placé sous le très haut patronage du Président du Faso, avec pour thème : "cinquante ans de construction diplomatique et d’affirmation internationale d’une nation". Plusieurs activités sont au programme, dont des Journées portes ouvertes prévues pour les 2 et 3 décembre de 9h 30 à 17h 30, auxquelles le public est vivement convié pour mieux découvrir ce département et son action.


Prix Nobel de la Paix au Burkina ? Pourquoi pas ?

Idrissa Ky est un Samo qui admire les actions de médiation de Blaise Compaoré. Il estime donc, dans l’écrit ci-dessous teinté de parenté à plaisanterie, qu’il mérite le prix Nobel de la paix.

"Un adage africain dit que même si tu n’aimes pas le lièvre, tu dois reconnaître qu’il court vite. Et cet autre bien connu de chez nous dit que si ton camarade est « homme », tu dois avoir le courage de le dire ; cela ne t’empêche pas toi aussi d’être « homme ». S’il y a un homme qui s’est spécialisé dans la médiation, c’est bien le « Blaizo ». Il est sur tous les fronts : au Togo, en Côte d’Ivoire, en Guinée, et même dans le désert malien où il a réussi à faire libérer des prisonniers par AQMI. Ce sont là quelques faits d’armes qui montrent éloquemment que l’homme est un grand diplomate confirmé et surtout un homme de paix. Ce qui étonne plus d’un et désarçonne ses détracteurs, c’est que, sur toute la ligne, ses efforts sont couronnés de succès.

Il a parfois réussi avec brio là ou ceux qu’on qualifie de grands et de puissants ont échoué. C’est le cas de la médiation entre les frères ivoiriens dans laquelle feu Eyadéma du Togo, Tabo Mbéki de l’Afrique du Sud, Abdoulaye Wade du Sénégal, John Kuffor du Ghana et même Jacques Chirac de la France ont échoué. Je crois qu’il faut reconnaître la valeur de l’homme, même si on ne l’aime pas. Grâce à lui, la paix est revenue dans beaucoup de pays. Il y a de quoi penser à lui décerner le Prix Nobel de la Paix. Avis donc à tous ceux qui sont en conflit ouvert ou latent et qui voudront une médiation. Au cas où Barack Obama voudrait fumer le calumet de la paix avec les Talibans ou Ben Laden, il pourrait s’attacher les services de « l’enfant terrible de Ziniaré ». Mais là où il va échouer dans sa médiation, c’est quand le chef de Toma va monter pour la reconquête de Ouagadougou. Ni le Mogho Naba Baongo, ni ses ministres cultivateurs de jatropha ne pourront résister devant l’artillerie lourde des Samo. Là, il va perdre tout son latin et même tout son mooré. Veuillez agréer, Monsieur le Directeur, l’expression de sentiments les plus respectueux."


Agence ECOBANK de Dédougou : des retraités mécontents

Dans cette note, un groupe de retraités, clients de l’agence ECOBANK de Dédougou, s’offusque du refus de leur délivrer l’attestation de non-engagement. Aussi, invitent-ils les instances juridiques de cette instance à veiller au bon fonctionnement afin d’éviter le chaos.

"Suite à l’accroissement des banques au Burkina Faso et particulièrement à Dédougou, certains retraités, après mûre réflexion, ont jugé bon de changer de banque suivant les engagement des uns et des autres. Les nouvelles banques ont accepté de racheter les prêts en leur permettant de solder. Depuis deux mois, le chef d’agence d’Ecobank de Dédougou ne veut pas nous délivrer d’attestation de non- engagement pour nous faciliter nos transactions dans les autres banques. Le prétexte de cette mauvaise volonté : « nous n’avons pas le droit de délivrer une attestation sans l’accord préalable du service chargé du contrôle ». En quoi le contrôle bloque-t-il l’établissement d’une pièce administrative ? Nous demandons aux instances juridiques de ECOBANK – Burkina de veiller au bon fonctionnement de ses services afin d’éviter le chaos."


La section APSB du Mouhoun en deuil

La section de l’Association professionnelle des secrétaires du Burkina (APSB) du Mouhoun, porte le deuil de sa vice-présidente. Mme Ki Martine Sanou, puisqu’il s’agit d’elle, est décédée le 21 novembre à Dédougou des suites de maladie. Agée de 41 ans, la défunte, épouse de Ki Albert Saturnin, était secrétaire du chef de région cotonnière de la SOFITEX Dédougou. Elle a été inhumée le 22 novembre à son domicile sis au secteur n°1 de Dédougou, laissant derrière elle un veuf et deux enfants. Parents, collègues, amis et connaissances lui ont rendu un hommage bien mérité.


MESSRS : une mesure qui fait grincer des dents

Cette année, les candidats au BEPC doivent fournir dans leur dossier, leur diplôme du CEP. Cette disposition qui est nouvelle, a été portée à la connaissance des parents ce mois de novembre, au moment où les dossiers des élèves de 3e doivent être bouclés. La surprise est grande chez bien des élèves et parents, qui n’ont pas par devers eux la copie d’un diplôme datant de plusieurs années. Certains élèves sont obligés de retourner au village, voire se rendre en Côte d’Ivoire, pour retrouver les traces d’un document qu’ils avaient négligé. Les parents se demandent pourquoi cette nouvelle mesure n’a pas été portée à leur connaissance plus tôt.

Le Pays

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