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Littérature : « Blaise Compaoré : un homme, un style » vient de paraîtreCompaoré

Publié le vendredi 19 novembre 2010 à 02h16min

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« Blaise Compaoré : un homme, un style », tel est l’intitulé de l’ouvrage paru aux Editions Choristri à Ouagadougou et présenté ce 18 novembre 2010. L’auteur de cette œuvre est Marie-Viviane Yaméogo, économiste exerçant aujourd’hui, le métier d’imprimeur. Composé de quatre parties, l’ouvrage présente l’actuel chef de l’Etat, Blaise Compaoré, ses qualités, l’homme de la période de l’Etat d’exception à l’Etat de droit, les acquis de ses mandats successifs. Elle se veut être une contribution pour les générations montantes.

Le livre « Blaise Compaoré : un homme, un style », dédicacé ce jeudi 18 novembre 2010, est une œuvre de 115 pages de format A4. En papier journal glacé, entièrement en couleur, avec beaucoup d’illustrations tout aussi en couleur qui ne laissent personne indifférent, l’œuvre de Marie-Viviane Yaméogo, présentée par Demba Fofana, comporte quatre grands chapitres. Le premier : « Qui est Blaise Compaoré ? » porte sur la vie civile, militaire et la fonction présidentielle de Blaise Compaoré.

Le deuxième chapitre traite du passage de l’Etat d’exception à l’Etat de droit. Il développe les qualités intrinsèques de l’homme d’Etat qu’est Blaise Compaoré. Ses convictions et actions, ses qualités d’écoute, d’homme de dialogue et son réalisme y sont soulignés. Quant au troisième, il relate les acquis des mandats successifs de Blaise Compaoré.

Il s’agit notamment, de ses deux septennats et le quinquennat 2005-2010 « marqués par l’humilité, la tolérance et le renforcement de l’Etat de droit ». Le dernier chapitre intitulé « Blaise Compaoré aujourd’hui » le présente comme l’homme de la stabilité institutionnelle, de la gouvernance politique, économique et de la médiation des crises en Afrique.

Née le 17 octobre 1966 à Koudougou, Marie Viviane Yaméogo estime qu’il faut aider le président Compaoré à consolider les acquis « au lieu de se perdre en conjecture » : « Qu’on soit pour ou contre ses idées et ses positions, on ne peut manquer de reconnaître à travers ses actions et sa gouvernance, qu’il s’est forgé une stature de leader charismatique au fil des ans, non seulement pour son pays, mais aussi pour la sous-région et le monde ».

L’ouvrage a été tiré en 5000 exemplaires. Il sera bientôt traduit en langues nationales. Son coût unitaire est de 10 000 FCFA. Il a été réalisé sur fonds propres de l’auteur, deux années durant. Selon Marie-Viviane Yolande Yaméogo qui ne se proclame pas politique, cet ouvrage est surtout destiné aux générations montantes qui ont besoin de connaître l’histoire du Burkina Faso et surtout, de mieux connaître Blaise Compaoré. « Ce livre peut contribuer à se remémorer, à se rappeler certaines choses qu’on a oubliées. Il permet de se ressourcer et de corriger beaucoup d’erreurs, beaucoup de clichés », a déclaré Demba Fofana, le présentateur de l’œuvre.

Enok KINDO

Sidwaya

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Vos commentaires

  • Le 19 novembre 2010 à 15:16, par nacado En réponse à : Littérature : « Blaise Compaoré : un homme, un style » vient de paraîtreCompaoré

    pourvu que vs ne tronquez pas l’histoire pour mentir aux generations a venir mes chers intellectuelles qui ne sait pas grand a faire pour aider au devloppement du pays que de jouer au griot

  • Le 19 novembre 2010 à 22:00 En réponse à : Littérature : « Blaise Compaoré : un homme, un style » vient de paraîtreCompaoré

    félicitation à marie-viviane yolande yaméogo pour son ouvrage sur blaise. c’est vrai, blaise a beaucoup fait pour le burkina et pour l’afrique ; il a beaucoup fait pour l’avancée de la démocratie au burkina. mais s’il veut mériter cette reconnaissance, qu’il quitte le pouvoir à la fin de son dernier quinquennat, pour parfaire son oeuvre, pour montrer vraiment qu’il est démocrate. un démocrate ne s’éternise pas au pouvoir. on ne lui dit pas de quitter le pouvoir parce qu’on a une dent contre lui, mais pour le respect de la constitution, pour que le burkina soit sur les rails de la démocratie. autrement cet ouvrage demeure et demeurera l’apologie de la dictature.

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