Idrissa Tandamba : Mort d’un élu du peuple
Comme une traînée de poudre, la nouvelle s’est répandue hier, mardi, au petit matin, mettant en émoi plus d’un : le député Idrissa Tandamba n’est plus. C’est vrai, on le savait malade depuis. Et même qu’il avait séjourné en Hexagone pour des soins. Il y a quelque temps, une délégation des ressortissants du Gulmu lui avait rendu une visite de courtoisie à son domicile à Ouaga, non loin des 1200 logements, et l’avait trouvé méconnaissable. En effet, lui qui en imposait aux autres, en raison de sa forte corpulence, avait perdu du poids. Il n’avait pas manqué l’occasion d’expliquer la nature du mal qui le rongeait.
Né le 10 août 1945 à Fada N’Gourma, Idrissa Tandamba, qui était de ceux qui comptaient, politiquement parlant, dans le Gourma, avait opté pour la profession d’enseignant du primaire après ses études secondaires au Cours normal Antoine-Roche de Ouahigouya.
De 1965 à 1973, on le retrouvera dispensant des connaissances aux jeunes élèves. Intendant–Econome au secondaire de 1974 à 1980, il sera par la suite chef des services des Examens et Concours à l’Inspection d’enseignement primaire à Fada jusqu’en 1995.
Militant du Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP), il a été élu maire de la commune de Fada aux municipales de 1995. En 2000, il renouvellera son mandat à la tête de cette commune.
On le retrouvera plus tard siégeant à l’Assemblée en tant que suppléant du député Innocent Coulidiaty, appelé à la tête de la Caisse nationale de sécurité sociale. Aux législatives de 2007, Idrissa Tandamba sera élu député titulaire du Gourma.
En tirant ainsi sa révérence, ce père de famille au verbe haut laisse une population éplorée. L’enterrement est prévu pour ce mercredi 13 octobre à Fada.
Monsieur le député, reposez en paix !
L’Observateur Paalga
Vos commentaires
1. Le 13 octobre 2010 à 10:34 En réponse à : Idrissa Tandamba : Mort d’un élu du peuple
Quelle est donc la nature de de mal dont vous dites être au courant. Si vous ne pouvez le dire, alors n’en faites pas cas.
Vraiment on sera jamais satisfait des prestations de ces journalistes en herbe.
Le 13 octobre 2010 à 19:45, par siidketa En réponse à : Idrissa Tandamba : Mort d’un élu du peuple
"Il n’avait pas manqué l’occasion d’expliquer la nature du mal qui le rongeait" cette phrase est sans objet dans votre article !quel était ce mal dont vous parlez ?
Le 13 octobre 2010 à 19:57 En réponse à : Idrissa Tandamba : Mort d’un élu du peuple
Chers Internautes ;
Ayons un peu de respect pour nos morts. Si vous ne pouvez pas encourager nos jeunes journalistes qui font le sacrifice de nous donner les infos gratuitement sur les sites, ayez au moins l’amabilité de mesurer vos propos quand il s’agit d’une perte en vie humaine. Vous n’êtes pas fichu de présenter vos condoléances à la famille éplorée, ni de déplorer la disparition d’un homme, c’est de quoi il est mort qui vous préoccupe ? Même si vous êtes medecins, ce ne sera certainement pas maintenant que vous lui serez utile. De grâce, respecter notre pays quand vous êtes sur le net, car vos propos sont lus partout dans le monde. Soyons dignes de nos valeurs sur Internet.
2. Le 13 octobre 2010 à 21:53 En réponse à : Idrissa Tandamba : Mort d’un élu du peuple
ça c’est vrai.quand on commence quelque chose, on doit le terminer
3. Le 13 octobre 2010 à 23:27, par eltog28 En réponse à : Idrissa Tandamba : Mort d’un élu du peuple
Repose en paix monsieurle maire !! Tout le gulmu te rend hommage, tte la jeunesse fadalaise t connai en tant k maire à tel point k certain ignoraient k tu était devenu député.
Pour ma part, ayant grandi ds la famille ds TOGUYENI, j dirait k tu sera une icone à jamai gravé ds la tête des fadalais.
Tu rejoint ainsi tn illustre épouse qui ta dévancé ds la vallée du zion.
4. Le 14 octobre 2010 à 11:59, par Bonniseur En réponse à : Idrissa Tandamba : Mort d’un élu du peuple
Soyons receptifs à la critique si nous voulons progresser. il n’a jamais été question de manque de respect envers l’illustre regretté dans le message. Le fait de vouloir savoir la cause du mal que a emporté une personne est plutôt une manifestation de sympathie ; sauf à être susceptible. Lorsque l’on apprend le décès de quelqu’un pour qui on eprouve de l’intéret la première réaction c’est de s’enquérir de quoi il est mort sans que cela soit vu sous un autre angle que la sympathie. Ce que l’information partielle du document suscite, c’est plutôt des interpretations de toutes sortes. En tous cas nous conjugons tous tous nos voeux pour le vieux repose en paix et que la terre lui soit légère.
5. Le 14 octobre 2010 à 12:17, par Bonniseur En réponse à : Idrissa Tandamba : Mort d’un élu du peuple
Soyons receptifs à la critique si nous voulons progresser. il n’a jamais été question de manque de respect envers l’illustre regretté dans le message. Le fait de vouloir savoir la cause du mal que a emporté une personne est plutôt une manifestation de sympathie ; sauf à être susceptible. Lorsque l’on apprend le décès de quelqu’un pour qui on eprouve de l’intéret la première réaction c’est de s’enquérir de quoi il est mort sans que cela soit vu sous un autre angle que la sympathie. Ce que l’information partielle du document suscite, c’est plutôt des interpretations de toutes sortes. En tous cas nous conjugons tous nos voeux pour que le vieux repose en paix et que la terre lui soit légère.
6. Le 17 octobre 2010 à 19:28 En réponse à : Idrissa Tandamba : Mort d’un élu du peuple
Toutes mes condoleances au disparu et a toute la famille Tandamba ainsi qu’a tout le peuple du Gulmu qui pleure encore son heros.
Pour ma paert, je pense que le journaliste n’aurait pas du parler du disparu qui ne faisiat aucunmyster du "mal qy\ui le rongeait". Ce n’est ;pas necessaire puisqu’ on meurt toujours de 3 choses : de maladie, d’ accident ou de violence. Donc, quand vous commentez le depart d’ un frere ou d’ une sloeur, epargnez- nous de quoi la personne est morte surtout quand c’est de maladie carvous jetez en pature la personne a toutes sortes d’ interpretations aussi tendancieuses qu’ inutiles puisque ce n’est [pas en sachant excatement comme un medecin legiste de quoi quelqu’ un est mort que l’ on le ramenra en vie. D’ailleurs, ca meme relever de la vie privee de la famille et du defunt. Cet article n’ a pas fait dans la dentelle quand a son caractere tendancieux. Je m’arrete la pour ne pas etoffer la nature de cette "endance". Le Depute Tandamba fut un grand homme. Pour ceux qui l’ ont connu, sa chaleur humaine sera toujours relevee.
LOP
7. Le 26 novembre 2010 à 15:46, par Zeng En réponse à : Idrissa Tandamba : Mort d’un élu du peuple
Mes condoléleances a la famille du disparu.Que Dieu te pardonne tes péchés et que tu te retrouve parmis les hommes aux quels il a agree.Que la terre te soit legere.Quelque soit le mal qui lui arraché la vie, c est normal car toute vie est appelée à mourir. Arrete les commentaires sterils car nulle ne connait sa fin.Que tu soit bien acceuillis dans ta nouvelle demeure. Tu viens de naitre dans l au dela. Quant aux autres : á mes soeurs et frères sachez que tant que l on est en vie , tout bonheur sur cette terre chacun de nous peut le vivre , vis versa comme tout malheur.Prions ensemble pour cux qui nous dévancés,pour les malades du monde entier, tous ceux qui souffrent d un mal quelconque et que Dieu nous dirige dans une bonne voix. sachez que nous sommes tous des malades ambulants.Apprenons á nous aimer et á nous aider car chaqu un de nous est un merveil de Dieu.Soyons humains.
Que nous bénisse.
Zanga Ras.