Rencontre Zain-médias burkinabè : Pour raffermir les relations avec le 4e pouvoir
Le vendredi 17 septembre 2010, la société de téléphonie mobile Celtel Burkina S.A opérant sous la marque Zain a organisé un diner de presse à l’intention des responsables de médias du Burkina à Azalaï hôtel indépendance de Ouagadougou. Objectif : remercier les hommes du 4e pouvoir pour l’accompagnement de la société depuis les dix ans qu’elle opère dans notre pays.
Ils étaient plusieurs journalistes et patrons de presse à répondre présents à l’invitation des dirigeants de Celtel Burkina. Une rencontre conviviale où les discussions se sont surtout menées de façon informelle. Le but recherché était le raffermissement des relations qualifiées de bonnes entre les différents partenaires. Selon le directeur général de Celtel Burkina, John NDEGO « tous les acquis de la société sont à mettre au crédit de l’ensemble des employés de la société et à la presse nationale qui n’a cessé d’informer les Burkinabè sur les activités de sa compagnie et surtout à la grande famille des abonnés Zain ».
Un point de vue logiquement appuyé par le directeur marketing, Guillaume Bédié, qui a fait une présentation de l’ensemble des produits de la société. Les actions menées, les acquis et les engagements dans les jours à venir ont été passés à la loupe des hommes de médias. Monsieur Bédié a aussi présenté la nouvelle société indienne qui reprend la marque Zain dès le mois d’octobre.
Barthi Airtel avec ses 180 millions d’abonnés à travers le monde dont 42 millions en Afrique se classe parmi les six meilleures sociétés de technologie au monde. Avec son arrivée au pays des hommes intègres, la communication électronique connaîtra plus de dynamisme au grand bonheur du consommateur.
Moussa Diallo
Faso-tic.net
Vos commentaires
1. Le 20 septembre 2010 à 12:21, par Delwindé En réponse à : Rencontre Zain-médias burkinabè : Pour raffermir les relations avec le 4e pouvoir
Vous êtes toujours plein d’initiatives. C’est ce que nous consommateurs, aimons. Car la bonne information éclairée vient des journalistes qui sont les premiers à critiquer la cherté de la communication alors que la bataille est ailleurs : la flambée des prix des produits de première necessité, l’essence qui s’enflamme, la bouteille de gaz dont la détonation se fait ressentir dans les pays cotiers...
Si dans les pays anglophones, les journalistes courent pour avoir l’information, dans les pays francophones, c’est le contraire !!! Il faut que les mentalités changent.