Même s’ils ont le mérite de ralentir l’allure des jeunes qui font des vitesses éperdues dans les « six-mètres », ces ralentisseurs de vitesse causent d’autres désagréments. Car ils ne sont pas posés par les autorités compétentes et ceux qui sont victimes d’accidents.

Aussi, si ces « gendarmes couchés » étaient posés uniquement dans les quartiers, cela passe. Mais que les autorités communales laissent des individus construire des ralenti de vitesse sur la voie bitumée, il y a de quoi se poser des questions.

En effet, un petit tour sur l’avenue du docteur Joseph Issoufou Conombo vous met devant le fait accompli. Les riverains ont « sali » cette voie avec la terre sans que le bourgmestre n’intervienne. Sinon en plus des nids de poules, s’il faut éviter des « gendarmes couchés » en pleine chaussée, c’est très dangereux pour la sécurité des citoyens

SOS pour CSPS sans électricité

Le constat est amer pour ceux qui fréquentent les centres de santé et de promotion sociale (CSPS) de Ouagadougou, surtout en cette période de délestage.

Il suffit de s’y rendre pour s’en rendre compte. Ces CSPS fonctionnent habituellement avec l’énergie servie par la nationale de l’électricité ont besoin d’électricité pour un bon fonctionnement. Par ces temps qui courrent les agents de santé sont souvent obligés d’allumer des bougies pour placer des intra nulles aux malades qui sont sous perfusion.

Avec de grands risques et pour le malade et pour l’agent de santé. Sans compter que le manque d’électricité rend la garde pénible. Il est souhaitable que ces centres de santé et de promotion sociale de Ouagadougou soient équipés de groupes électrogènes. Ce qui permettra d’éviter des désagrements et de sauver beaucoup de vies

Image de la cité

Ce camion s’est renversé non loin du siège de l’ONEA.

Selon les témoignages, le chauffeur a manqué de vigilance.

On ne cessera de le dire, la prudence est recommandée au volant.

Sidwaya