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Révision de l’article 37 de la Constitution : “L’Eglise burkinabè a-t-elle sollicité une audience au président du Faso ?”

Publié le vendredi 19 mars 2010 à 01h47min

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Dans ce point de vue, Alexandre P. Yonaba, instituteur à Gaongoh, approuve la volonté de révision de l’article 37 de la Constitution et fustige du même coup, les “détracteurs”.

Position bien délicate que celle que vit présentement Blaise Compaoré. Dans un contexte international où les dirigeants africains ont souvent modifié les constitutions pour se maintenir au pouvoir, il propose au peuple burkinabè d’engager des réformes politiques pour l’approfondissement de la démocratie.

Il n’a fallait pas plus pour susciter la colère de certains médias, du CGD et de l’Eglise du Burkina. Et pourtant, bien avant lui l’homme du “téckré”, Hermann Yaméogo avait embouché la trompette en lançant une campagne politique pour la refondation politique, donnant ainsi naissance au courant des “refondateurs” . Issa Tiendrébéogo, l’homme que personne ne peut soupçonner d’être de connivence avec le pouvoir, s’est associé à cette proposition du chantre du “teckrisme”.

En son temps l’opinion nationale n’a pas accordé assez d’importance à cette offrande. Ensuite, Salif Diallo est passé par là. Au-delà de la forme qu’il a utilisée, il faut se dire que cette question de la refondation politique préoccupait le camp présidentiel.

On n’a pas besoin d’être un devin pour l’imaginer. Le problème ne se posait pas s’il fallait refonder ou pas, mais comment refonder ? Tel un “Siou”, Blaise Compaoré a pris le temps comme à son habitude pour écouter les divers avis, certainement consulté et se former une opinion. Il a ainsi fait preuve de sagesse et de “sens de l’Etat”.

Ne pas faire comme les autres

En se donnant le temps, Blaise Compaoré n’a pas voulu faire comme les autres. Avec une majorité écrasante à l’Assemblée nationale, il se serait enfermé dans’ sa tour d’ivoire et la révision aurait été imposée. C’est ce passage en force même si cela reste démocratique et républicain, qui est condamné. Pour Blaise Compaoré, il faut trouver une autre voie pour la refondation. Cette voie est celle du peuple. C’est-à-dire que le peuple burkinabè à travers ses différentes composantes, doit être le maître de cette refondation démocratique.

Il faut donc saluer cette démarche patriotique. En s’engageant pour les réformes politiques nécessaires au renforcement de la démocratie au Burkina, lors de son discours à la Nation et à l’occasion de la fête nationale, le 11 décembre 2009, Blaise Compaoré faisait de la refondation démocratique un défi national et non une affaire de partis politiques.

Au Burkina et partout dans le monde, l’unanimité est faite que Blaise Compaoré restera au pouvoir jusqu’à 2015. Pourquoi donc se pourrir la vie avec une telle question qui déchaîne les passions et installe une polémique destructrice ?

Ceux qui s’agitent sur la question sans apporter la lumière nécessaire, doivent se ressaisir. Blaise Compaoré a placé sa confiance au peuple burkinabè et attend des contributions. Qui peut dès lors imaginer le sort qui sera réservé à la refondation politique après une large concertation nationale ?

Le manque de retenue de l’Eglise

Que les médias bandent les muscles et que le professeur Loada y trouve en cette volonté de refondation, un fonds de commerce, c’est tout à fait normal. Mais que NOTRE EGLISE-FAMILLE s’enlise, cela est inadmissible. Il est évident qu’en se braquant sur l’article 37 de la constitution, les évêques oublient que cet article seul ne constitue pas le fondement de notre démocratie. Invités par Blaise Compaoré comme toutes les composantes à apporter leur haute contribution, ils ont préféré botter en touche.

Si Blaise Compaoré a fait preuve de “sens de l’Etat” l’Eglise n’a pas su faire preuve du “sens de l’Eglise” qui commande la retenue, l’écoute et la sagesse, L’Eglise burkinabé a-t-elle sollicité une audience au président du Faso (PF) après ses déclarations à la nation ? A-t-elle cherché à connaître les motivations profondes de cette refondation ? Comment une institution aussi sérieuse peut- elle fonder ses opinions à partir des articles de presse ?

Les ambassadeurs de l’Union européenne ont, selon des sources dignes de foi, sollicité une rencontre avec le gouvernement pour s’entretenir sur la situation nationale. On peut aisément deviner que la question de la refondation politique ne sera pas en reste, Voilà un exemple de comportement responsable.

Le dialogue national tant souhaité doit venir de toutes les parties. Autant le pouvoir peut convier les uns, autant les autres peuvent tout aussi inviter le pouvoir ou le rencontrer pour échanger sur la situation nationale. Aujourd’hui, seul le CDP propose un calendrier pour engager les échanges sur les réformes politiques, Que fait l’opposition et son chef de file ? Elle attendra que le CDP ouvre le débat, pour contre-attaquer, alors qu’elle pouvait prendre des initiatives.

Messieurs les évêques, c’est l’Eglise-Famille qui doit féconder le dialogue sociale et restée la force modératrice qui canalise l’ensemble de ses “ brebis” et non celle qui sème les graines de la division et de la haine. Jamais nous n’aurions cru l’Eglise-Famille capable d’une telle “hérésie” après la bénédiction du coup d’Etat des colonels en 1980.

L’exemple viendra encore du Burkina

Le Burkina, bien que pauvre, est cité souvent en exemple pour sa gouvernance, sa capacité à résoudre dans le dialogue, ses contradictions internes.

C’est fort de cette dimension que la refondation politique et institutionnelle souhaitée doit se réaliser par une voie originale qui consolidera l’image positive de notre pays.

Là où les coups d’Etat ont succédé aux réformes politiques, c’est tout simplement parce que le dialogue a fait défaut. Ce ne sont pas les adresses aux élus nationaux ou les éditoriaux des journaux qui ont imposé la loi du canon, mais le refus de la concertation comme au Niger.

Aujourd’hui, la démocratie burkinabè a besoin d’un second souffle au risque de se retrouver essoufflée demain et bloquée dans quelques années. C’est pourquoi le “sens de l’Etat” commande que la génération présente soit à la hauteur du défi de la refondation démocratique pour garantir aux générations à venir, un Burkina stable et politiquement mieux structuré. Cela est possible. Il suffit que nous le voulions ensemble. C’est ce à quoi nous invite Blaise Compaoré. Soyons à sa hauteur.

Alexandre P. YONABA : Instituteur à Gaongoh

Sidwaya

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Vos commentaires

  • Le 19 mars 2010 à 04:01, par Le Ché En réponse à : Révision de l’article 37 de la Constitution : “L’Eglise burkinabè a-t-elle sollicité une audience au président du Faso ?”

    Je vous l’avais dit et les chiffoniers vont encore défilé. C’est triste, mais c’est la réalité. Monsieur YONABA aussi a pri sa part, et rentre à reculons dans l’histoire. Que voulez vous ? C’est la misère qui est à l’origine de tout. Tout se vend et tout s’achète. Même les consciences.
    Ce qui est déplorable, c’est qu’il se dit instituteur.
    Toutes les catégories et couches sociales vont écrire dans les colonnes des journaux. Les sourds muets écriront, ils obligeront les agonisants à écrire en faveur de la révision de l’article 37 avant de mourir. Mais restons fermes et déterminés. Si non, on est mort.
    Touchez pas à l’article 37 !!!!

    • Le 19 mars 2010 à 18:12, par LPT En réponse à : Révision de l’article 37 de la Constitution : “L’Eglise burkinabè a-t-elle sollicité une audience au président du Faso ?”

      Non ! Non ! Non ! M. le Ché. YONABA le prétendu instituteur ne rentrera même pas à reculons dans l’histoire. Il n’y va même pas figurer.

      Si jamais ce monsieur YONABA devait enseigner mon enfant ou mon frère, je le retirerai immédiatement car celui-ci courra le risque d’être nullard et il ne sera jamais ambitieux parce que son ignorant de maître l’aurait abêti.

      Vous savez, il est de coutume que tout bon instituteur formule le vœu que ses écoliers fassent mieux que lui pour la suite de leur carrière. Je parie que ce YONABA va abrutir les enfants des classes qu’il tient ou tiendra au regard du déraisonnement qu’il tient. Il brise déjà le rêve très noble de tous les enfants qui aspirent à être président dans ce pays. C’est un danger pour l’avenir des enfants.

      Encore une fois de plus, non au tripatouillage de la constitution notamment en son article 37.

    • Le 20 mars 2010 à 11:46 En réponse à : Révision de l’article 37 de la Constitution : “L’Eglise burkinabè a-t-elle sollicité une audience au président du Faso ?”

      C’est une fausse identité ! ce monsieur n’existe pas à GAONGOH ; Moi je suis du village gaongoh et je n’ai jamais rencontré un tel monsieur.
      C’est un sondage d’opinion pour savoir exatement votre position sur ce sujet !
      Soyez vigilant !

  • Le 19 mars 2010 à 06:36, par Gpm En réponse à : Révision de l’article 37 de la Constitution : “L’Eglise burkinabè a-t-elle sollicité une audience au président du Faso ?”

    Une chose est pure, la génération future ne peut ses compter sur toi. Tellement tu voter très bas. Combien de fois as tu utilisé le nom de Blaise Compaoré ? Trop de fois, preuve que tu es un vrai griot. C’est poste de PREFET tu veux non ? On verra, tout se passera au Burkina ici

  • Le 19 mars 2010 à 08:41 En réponse à : Révision de l’article 37 de la Constitution : “L’Eglise burkinabè a-t-elle sollicité une audience au président du Faso ?”

    Décidément, arrêtez de citer en exemple le Burkina pour sa bonne gouvernance alors que c’est avant tout un pilier de la françafrique. Révisez le fumeux article 37 est bel et bien un des éléments de cette logique. Je vous souhaite bon courage cher instituteur quand vous aurez des petits enfants avec encore à la tête de ce pays un dinosaure comme Blaise Compaoré. Ouvrez un peu les yeux sur les Paul Buya, Mobutu, Eyadéma, Bongo et autres qui ont fait 30 ou 40 ans à la tête de leurs pays. Où en sont ces pays en matière de développement ? corruption ? Gabégie ? mal gouvernance ? etc.

  • Le 19 mars 2010 à 08:52, par Samalick En réponse à : Révision de l’article 37 de la Constitution : “L’Eglise burkinabè a-t-elle sollicité une audience au président du Faso ?”

    Mr Yonaba ne vous acharnez pas sur l’Eglise Catholique, à mon sens elle a pris ses resonsabilités en donnant sa position. De plus cette position est très sage. Vous parlez de donner la parole au peuple, certes mais entre nous combien de burkinabè (90% analphabète) du pays profond peuvent comprendre la portée d’un tel changement. Quand l’archévêque de Ouaga avait plébiscité Blaise Compaoré quelle a été votre réaction à son temps, c’est tout de même un position de l’Eglise. De grâce faisons la politique et laissons tomber nos états d’âme, car avec ou sans Compaoré le Burkina doit exister, donc apportons des idées constructives pour le développement de notre chère patrie que nous aimons tous.

  • Le 19 mars 2010 à 09:02, par Atanga En réponse à : Révision de l’article 37 de la Constitution : “L’Eglise burkinabè a-t-elle sollicité une audience au président du Faso ?”

    Monsieur YONABA ;
    je suis désolé qu’en tant qu’enseignant tu mènes de tels raisonnements. C’est à dire que tu n’apprends rien aux élèves que tu encadres et c’est decevant qu’il y ait des gens comme ça au Burkina.

  • Le 19 mars 2010 à 09:13, par Penseur En réponse à : Révision de l’article 37 de la Constitution : “L’Eglise burkinabè a-t-elle sollicité une audience au président du Faso ?”

    Monsieur YONABA, ne vous prenez pas pour le centre du monde ! votre écrit frise le manque de respect surtout pour l’église.Heureusement que chacun de nous possede une tete pour penser, reflechir, analyser,comprendre......Donc si vous etes un partisan de la revision de l’article 37, vous devez justifier cela par des arguments sérieux au lieu de de vous en prendre à ceux qui defendent le contraire. Une chose est CERTAINE, le pays vit presentement un malaise profond du fait que tout est fait dans LE SEUL interet de monsieur COMPAORE ! ON PEUT FERMER LES YEUX,ET CONTINUER à justifier l’injustifiable, mais en fin de compte nous allons sortir tous perdants !

  • Le 19 mars 2010 à 09:25 En réponse à : Révision de l’article 37 de la Constitution : “L’Eglise burkinabè a-t-elle sollicité une audience au président du Faso ?”

    Alexandre, je suis sûr qu’avec cet article on te fera quitter ta classe pour te nommer préfet, ou que sais-je encore ?

    Mais tu portes un jugement trop facile qui constitue dans le fond une contradiction avec ce que toi-même tu dis que Blaise Compaoré souhaite.

    S’il attend un débat national, eh bien, il est servi : il veut que tout le monde puisse se prononcer non ? Pourquoi toi, ventriote (pardon, patriote), tu pourrais souhaiter que l’article ne puisse pas être modifié et les évêques qui, eux, sont Burkinabè comme toi et de surcroît des personnes connues pour ne pas êtres des ventriotes, ne pourraient pas donner un sage conseil au Président du Faso en s’adressant du même coup à tous ces ventriotes qui ne voient pas plus loin que le bout de leurs intérêts immédiats et égoïstes ?

    En foi de quoi toi tu aurais le droit de parler et eux, non ? Pourquoi voudrais-tu qu’ils nous laissent foncer tout droit dans le mur quand ils savent que c’est encore vers eux qu’on se retournera pour demander qu’ils veuillent bien éteindre le feu provoqué par la course effrénée à la sauvegarde de nos intérêts égoïstes ? Ceux qui soutenaient Tandja dans sa folie ont aujourd’hui la bouche cousue. Ils ont quand même eu la chance, il n’y a pas eu de grande bataille. Mais faites attention ! La sagessse traditionnelle recommande : quand on te dit : "si tu enjambes ce bâton, ta mère mourra, fais-en le tour et reviens dire que c’est faux".

    Compter quand même sur les insensés, sur ceux pour qui l’existence de leur mère n’a pas d’importance mais leur intérêt personnel, pour relever ce pari. Et ils sont nombreux aujourd’hui ces gens pour qui il n’y a plus d’honneur. Respectons au moins pour une fois cet article 37. Que le Président COMPAORE accepte de partir pour revenir cinq ans après s’il le souhaite encore, avec un peu plus de recul et de lucidité. On a d’ailleurs besoin qu’il soit à côté pour nous aider à survivre de ce système qu’il a créé au fil de ces dernières décennies. Mais s’il meurt au pouvoir, rien ne nous garantit que nous saurons le maîtriser.

    Encore une fois, Alexandre, parle, mais n’enlève pas le droit aux sages de donner des avis dépris de tout partisanisme au peuple et à son Président à qui, rappelle-toi, c’est un grand du système qui l’a lui-même dit, "on pompe l’air" à longueur de journées.

  • Le 19 mars 2010 à 09:30, par tinbiiga En réponse à : Révision de l’article 37 de la Constitution : “L’Eglise burkinabè a-t-elle sollicité une audience au président du Faso ?”

    A vous lire Monsieur Yonaba, on est tenté d’imaginer votre âge qui à mon avis tire vers la cinquantaine à tout cassé supérieur à 47 ans et donc plus de possibilités pour vous de passer un concours professionnel et d’accéder à un grade supérieur. Ce qui n’est pas étonnant au regard de votre production qui est partisane et pleine de contradiction. Pour toi l’église ne devrait pas prendre position avant de rencontrer le président, soit d’un autre côté vous soutenez que l’opposition doit elle par contre doit se prononcer et ne pas attendre que le CDP engage le débat avant de contre attaquer.L’honnêteté intellectuelle voudrait que vous soyez juste lorsque vous vous adressez à des parties belligérantes.

  • Le 19 mars 2010 à 09:30, par Witebyaanda En réponse à : Révision de l’article 37 de la Constitution : “L’Eglise burkinabè a-t-elle sollicité une audience au président du Faso ?”

    non seulement ton écrit est émaillé de fautes et tu prétends être instituteur avec une analyse boîteuse qui frise le comble de l’ignorance et la carrence du bon sens. Pauvres de vous chers élèves d’un instituteur borné.

  • Le 19 mars 2010 à 09:33, par boubacar Yé En réponse à : Révision de l’article 37 de la Constitution : “L’Eglise burkinabè a-t-elle sollicité une audience au président du Faso ?”

    Je crois que c’est parti pour que les choses pourrissent dans notre pays. Maintenant, le débat sur l’article 37 prend des tournures d’insultes à l’endroit d’institutions bien encrée dans notre société, très crédibles et qui ont seulement donné leur point de vue. Seulement parceque ce point de vue ne correspond pas à ce que les tenants du pouvoir veulent entendre, qu’ils mettent en branle des écrivains à la petite semaine pour faire des thèses libres ? Faisons attention.

  • Le 19 mars 2010 à 09:54, par Oly En réponse à : Révision de l’article 37 de la Constitution : “L’Eglise burkinabè a-t-elle sollicité une audience au président du Faso ?”

    Vous les jouraleux de Sidwaya là on a compris votre tic-tac maintenant. Tenez, chaque jour ils griffonnent leurs "âneries sur l’article 37" et ils signent comme auteur de l’article des personnalités genre un commerçant à X, un enseignant à Y, et patati patata... Vos manoeuvres ne passeront pas. Nous ne sommes pas si naïfs que vous le pensez et vos balles d’essai gardez les pour vous ! Heureusement que votre journal ne se recrute pas parmi ceux prisées du lectorat.

  • Le 19 mars 2010 à 10:01, par Martinez En réponse à : Révision de l’article 37 de la Constitution : “L’Eglise burkinabè a-t-elle sollicité une audience au président du Faso ?”

    Vendu que tu es ; tu crois que le fait que tu prenne position pour la révision de l’article 37 te fera quitter ta brousse profonde pour les salons dorés ? C’est simplement de la pure mendicité larmoyante. Quiconque oserait fustiger nos pères évêques à cause de leur position nous trouverait sur son chemin.

    • Le 21 mars 2010 à 05:31 En réponse à : Révision de l’article 37 de la Constitution : “L’Eglise burkinabè a-t-elle sollicité une audience au président du Faso ?”

      C’est vraiment lamentable de s’ en prendre a ces autorites morales. Remarquez. Les eveques, en tant que corps, ne parlent pas au hasard. Ils savent que l’ histoire les observe. Blaise meme ne dort plus du sommeil du juste depuis que ces grands aux petits chapeaux(leur calotte) sans diamant ont parle. Ils ont si bein parle qu’ ils n’ ont fait qu’ effleurer le dos des choses. Que croyiez- vous qu’ ils dissent ? Que ceux qui ont des yeux regardent et voient peut- etre s’ ils n’ ont pas la cataracte. Que ceux qui ont des oreilles ecoutent, s’ ils ne sont atteints de surdite et que ceux qui ont l’ intelligence a la place du cerveau lisent entre les mots.

      A bon entendeur salut.

      N’ Gaow !

  • Le 19 mars 2010 à 10:06, par boudwarba En réponse à : Révision de l’article 37 de la Constitution : “L’Eglise burkinabè a-t-elle sollicité une audience au président du Faso ?”

    mais enfin où est la raison de la révision de l’article 37 si ce n’est que Blaise ne veut pas partir et comment bâtir une démocratie pluraliste si le premier gagnant veut y rester à mort ?

  • Le 19 mars 2010 à 10:19 En réponse à : Révision de l’article 37 de la Constitution : “L’Eglise burkinabè a-t-elle sollicité une audience au président du Faso ?”

    Kôrô yamyélé, dis-moi, je crois bien que mon cher instituteur n’a pas l’argent pour payer la TDC. Alors, il trouve cette démarche originale en publiant ce torchon, et faire du même coup la cour à Simon compaoré afin qu’il en soit exempté du paiement. Mon œil, tu a tiré à terre monsieur l’instituteur. Simon a d’autres soucis.
    Tu es trop "nain" d’esprit pour apprécier de la sorte la réaction du CGD et de l’église catholique...Tu ne mérites même pas qu’on te reponde. Encore un griot ventriote qui veut amadouer Blaise. C’est bien connu vos refreins.

    Et c’est encore ziriwaya qui veut nous torturer les méninges en publiant ce déchet.

  • Le 19 mars 2010 à 10:20 En réponse à : Révision de l’article 37 de la Constitution : “L’Eglise burkinabè a-t-elle sollicité une audience au président du Faso ?”

    Bonjour monsieur YONABA

    "Position bien délicate que celle que vit présentement Blaise COMPAORE. Dans un contexte international où les dirigeants africains ont souvent modifié les constitutions pour se maintenir au pouvoir, il propose au peuple burkinabè d’engager des réformes politiques pour l’approfondissement de la démocratie.

    Il n’a fallait pas plus pour susciter la colère de certains médias, du CGD et de l’Eglise du Burkina."

    Vous avez le sens de la diversion ! De quoi parle-t-on là ? Je comprends que du fonds de votre village l’accès à l’information n’est pas chose facile alors je vais vous résumer la situation : la polémique qui a cours actuellement est née du fait que plusieurs responsables du CDP ont fait savoir clairement que ce parti envisageait de réviser l’article 37 de la Constitution qui selon eux est antidémocratique. Même le plus idiot des observateurs peut comprendre la motivation de cette révision, surtout qu’il y a un précédent. Certains médias, le CGD et l’Eglise du Burkina n’ont fait que désapprouver le fait de réviser notre Constitution pour protéger les intérêts d’un individu ou d’un clan.

    Comme vous le voyez, à part vous, personne ne parle de refondation. Pas même Blaise COMPAORE. A moins que la refondation ne se limite à la seule modification de l’article 37 ?

    Monsieur YONABA, soit vous êtes dupe, soit vous êtes comme tous ces gens qui se croient malins et qui pensent pouvoir faire avaler des couleuvres aux bonnes gens. Dans les deux cas vous êtes à plaindre, mais j’espère pour vous que vous êtes plutôt dupe, car ce serait le moindre mal.

    T.H.C.K.

  • Le 19 mars 2010 à 10:21, par John Ouédraogo En réponse à : Révision de l’article 37 de la Constitution : “L’Eglise burkinabè a-t-elle sollicité une audience au président du Faso ?”

    Qu’il est brave cet instituteur qui ose défier l’Eglise. On espère que le CDP et son président le lui rendront au centuple.

  • Le 19 mars 2010 à 10:25, par Samalick En réponse à : Révision de l’article 37 de la Constitution : “L’Eglise burkinabè a-t-elle sollicité une audience au président du Faso ?”

    Mr Yonaba, croyez vous que si Blaise Compaoré venait a disparaître brquement (crise cardiaque par exemple)le pays doit s’aarêter ? Je m’exuse du mauvais exemple car j’estime l’homme.
    En fait il faut être réaliste en plus alternance ne veut pas dire Burkina sans CDP ou sans Blaise, non lion de là. Je crois qu’il faut laisser l’Eglise catholique et chercher la cause du malheur burkinabè ailleurs.
    Bonne journée

  • Le 19 mars 2010 à 10:39 En réponse à : Révision de l’article 37 de la Constitution : “L’Eglise burkinabè a-t-elle sollicité une audience au président du Faso ?”

    Article extrêmement partisan, sans le moindre sens critique. Dire que l’Eglise a botté en touche, c’est ignorer magistralement l’historique de la limitation des mandats, qui, à mon sens, est bienvenue. Ce que vous ne dîtes pas, c’est que dans toutes les démocraties, on parle d’alternance, de respiration démocratique, car la vérité n’est pas l’apanage d’un seul homme. Pensez-vous qu’il n’y a que Blaise pour répondre aux attentes des Burkinabé ? Dans toute société, il faut savoir quitter les affaires avant qu’elles ne vous quittent. J’ose espére que le Président aura la sagesse de se retirer, et que le parti au pouvoir ne procédera pas par un tripatouillage constitutionnel pour lui garantir un pouvoir éternel. Vous savez, dans la majorité des pays africains où des hommes d’Etat sont restés au pouvoir jusqu’à leur mort (hormis les monarchies), l’histoire nous apprend qu’il y a une grave crise après leur départ : Togo, Côte-d’Ivoire, Ex-Zaïre. Nous ne voulons pas de cette situation. Nous aimons trop le Burkina pour que cela arrive. Le plus grand service qu’un homme puisse rendre à son pays c’est de rechercher son bien. L’histoire retiendra du Président du Faso sa grandeur, si seulement après avoir été médiateur et facilitateur dans tant de crises, il accepte de se retirer.
    Evitons de parler à la place de l’homme ou de lui attribuer des volontés qu’il n’a jamais exprimées, ou encore de lui faire caresser un rêve que peut-être il n’aurait jamais eu. Et, à ce titre, je trouve que le CDP, et des gens comme l’auteur de cet article sont coupables de mettre sur la table un tel débat. En l’absence du Président actuel, y aurait-il aucun homme digne au CDP, dans les autres formations politiques, ou au Burkina, pour présider aux destinées de notre pays ?

  • Le 19 mars 2010 à 10:47, par Wendtoê En réponse à : Révision de l’article 37 de la Constitution : “L’Eglise burkinabè a-t-elle sollicité une audience au président du Faso ?”

    Monsieur Yonaba, nous comprenons que vous chercher une occasion pour obtenir les faveurs de ceux que vous défendez. Mais sachez que le peuple est fatigué par un pouvoir usé par environ trois décennies de pouvoir( puisque tout le monde lui concède les cinq ans encore à venir). La position de l’église est sage et même la bienvenue. Ne dit-on pas que mieux vaut prévenir que guérir. C’est dans ce sens que l’Eglise Famille refuse de cautionner une éventuelle modification de l’article 37. Si l’église n’a pas cherché à rencontrer Blaise pour discuter de ces prétendues réformes politiques c’est parce que tout simplement l’église connaît son rôle : elle n’est pas un acteur politique. L’église n’ayant pas de parti pris et n’accusant personne ne peut utiliser que les canaux ordinaires et recommander ce qu’elle estime juste à l’ensemble du peuple Burkinabè ton président y compris.Ce que tu oublies ’est qu’il est un être mortel et à ce titre il peut nous quitter d’un moment à l’autre et ces vraiment dommage si après plus de vingt ans de pouvoir il n’a pas su préparer une relève puisque personne n’est capable actuellement au sein du CDP de diriger ce pays et c’est pas du tout à son honneur. Il est inadmissible que quelqu’un ait un fils de plus de vingt ans et croit que ce fils ne peut rien faire si lui il mourrait. Si cela arrivait c’est que ce père est irresponsable et se croit éternel. Monsieur Yonaba, l’église a fait son devoir et les vrais fidèles sont fiers d’elle comparativement à vous qui ne penser qu’à votre ventre ! Honte à vous et à tous ceux qui pensent comme mais eux au moins ont le mérite de savoir se taire !

  • Le 19 mars 2010 à 10:58, par Paris Rawa En réponse à : Révision de l’article 37 de la Constitution : “L’Eglise burkinabè a-t-elle sollicité une audience au président du Faso ?”

    « Il propose au peuple burkinabè d’engager des réformes politiques pour l’approfondissement de la démocratie »

    - Tout le problème se pose dans cette volonté soudaine de faire des réformes qui touchent la constitution, alors que ce n’est pas nécessaire : les institutions de notre pays telles que définies par la constitution ne sont pas en crise. Il n’y a pas une urgence à faire des réformes qui ne sont pas nécessaires.

    - La vraie crise dont on s’efforce à faire souffrir tous les Burkinabè, c’est la crise du CDP qui ne sait pas comment faire pour se trouver un autre candidat que Blaise Compaoré. Ce n’est pas normal qu’on impose à tout le monde la crise du CDP ! Les dirigeant du CPD se disputent, et comme ils ne s’entendent pas pour savoir qui d’entre eux sera le successeur de Blaise Compaoré en tant que candidat du partie, ils préfèrent s’attaquer à la constitution pour maintenir Blaise. Mais, la constitution, ce n’est pas les statuts du CDP. Qu’ils fassent des réformes qu’ils veulent au CDP, ce n’est pas notre affaire ! Quant à la constitution et aux institutions de l’Etat elles s’imposent à tout le monde avec la même rigueur : celui qui devient constitutionnellement inéligible ne peut plus être présenté comme candidat. Cela vaut pour tous les citoyens et on a pas besoin de changer la règle. Tout le reste là, c’est du baratin.

  • Le 19 mars 2010 à 11:07, par elvivo En réponse à : Révision de l’article 37 de la Constitution : “L’Eglise burkinabè a-t-elle sollicité une audience au président du Faso ?”

    Je comprends ce Monsieur, il cherche à manger !!!
    Bon courage dans ta quête mais je pense que ce n’est pas la bonne voie et je t’encourage à revenir sur tes pas !!!

  • Le 19 mars 2010 à 11:36, par sage En réponse à : Révision de l’article 37 de la Constitution : “L’Eglise burkinabè a-t-elle sollicité une audience au président du Faso ?”

    Cher instituteur, faudra passer ton temps à mieux préparer tes cours et bien enseigner les élèves, que de te lancer dans cette aventure !!!
    Je ne savais pas qu’on avait des instituteurs de niveau CE1, qui enseignent au Burkina (pauvres élèves) ; c’est pour cela le niveau scolaire est très inquiétant depuis un certain temps !

    Nouvelle tête, nouvelle vision de développement ! Blaise a montré ce qu’il peut.. il n’est pas le seul intelligent de ce pays.. qu’il parte et une autre personne nous montre ce qu’il peut !! On évitera ainsi que le pays reste dans la main d’une famille !

  • Le 19 mars 2010 à 11:40, par karim En réponse à : Révision de l’article 37 de la Constitution : “L’Eglise burkinabè a-t-elle sollicité une audience au président du Faso ?”

    Mr Alexandre P. YONABA si des esprits aussi naïfs comme le votre doivent enseigner nos enfants que je peux sans aucune exagération me préoccuper pour l’avenir du Faso.
    Les évêques n’ont pas sollicité une audience à B. Compaoré parce que ce fois ci le bon Dieu a accordé sa grâce aux laissés pour comptes du Faso et en plus ils ont compris la supercherie après la fameuse journée du pardon.
    En plus Mr l’enseignant, cinq ans passé nous ne vous avons lu quand Monseigneur Untani Jean Marie Compaoré avait déclaré Urbi e Orbi le soutien de L’église Famille à Blaise Compaoré : Pourquoi 2 poids 2 mesures ?
    Mr. A. P. Yonaba, vous avez omis d’ajouter en bas de votre intervention votre numéro de Compte : Peut Etre que du Palais de Kosyam ça peut servir !

  • Le 19 mars 2010 à 11:43, par Sidlabéogo En réponse à : Révision de l’article 37 de la Constitution : “L’Eglise burkinabè a-t-elle sollicité une audience au président du Faso ?”

    Monsieur Yonaba, vous semblez n’être qu’un pitoyable clairon du pouvoir en place. L’Eglise-Famille n’a fait que son devoir ; celui d’être vrai ; celui d’être juste ; celui d’être la voix des sans voix ; celui d’attirer l’attention des plus forts sur le fait qu’ils sont injustes ; celui d’être la lumière qu’on ne cache pas sous un boisseau. C’est cela aussi la bonne démocratie.La révision de l’article 37 de la constitution est le fait des déloyaux et des anti-démocrates qui confondent démocratie et pagaille dans laquelle l’on revient n’importe comment sur ce qui a été murement réfléchi et adopté par le peuple.

  • Le 19 mars 2010 à 11:50, par sidzabda En réponse à : Révision de l’article 37 de la Constitution : “L’Eglise burkinabè a-t-elle sollicité une audience au président du Faso ?”

    qui d’autres peut publieer une telle lettre si c’est pas Sidwaya
    mais je demande aux uns et aux autres d’eviter de critiquer l’eglise pour sa prise de position et cela afin d’eviter avant l’heure des affrontements religieux car un bon chretien qui se reconnait dans l’ecrit de l’eglise n’admettrait pas qu’on lui traite de tous les noms d’oiseaux alors un peu de retenue dans nos intervention pour preserver comme tout le monde le souhaite la apix sociale

  • Le 19 mars 2010 à 11:52, par hamed el faso En réponse à : Révision de l’article 37 de la Constitution : “L’Eglise burkinabè a-t-elle sollicité une audience au président du Faso ?”

    EN VOICI UN SOI DISANT INSTITUTEUR QUI VEUT NOUS EMBROUILLER AVEC SES FOUTUES ANALYSES. NOUS SALUONS TOUS LE COURAGE DE L EGLISE QUI A OSE.ET NOUS APPELONS LES PROTESTANTS ET LES MUSULMANS A LES REJOINDRE MEME SI LE PRESIDENT DE LA COMMUNAUTE MUSULMANE S APPELLE OUMAROU KANAZOE. CA VEUT DIRE CE QUE CA VEUT DIRE.JE NE PARLE PAS DES CHEFS COUTUMIERS CAR CORROMPUS JUSQU AUX OS. QU AS TU DIS MONSIEUR YONABA QUAND L EX ARCHEVEQUE EN SON TEMPS AVAIT DIT QUE SANS BLAISE NUL NE POUVAIT DIRIGER LE FASO. AVAIT IL SOLLICITER UNE AUDIENCE. ET QU ELLE GENRE D.AUDIENCE PARLES TU.BLAISE COMPAORE MONSIEUR SOI DISANT YONABA CAR CE N EST MEME PAS SUR QUE TU SOI YONABA EST ENTRAIN DE RENTRER DANS LA LIGNEE DES MOBUTU. DES TANDJA. DES LASSANA CONTE. DES EYADEMA.L EGLISE EST DANS SON DROIT LE PLUS ABSOLU.PARCE QU ELLE EST UNE EGLISE FAMILLE. PARCE QU ELLE AIME LE FASO. ALORS ELLE EST ENTRAIN D ATTIRER L ATTENTION DES POLITICIENS ET NOUS PENSONS QU IL EST TEMPS. L EGLISE NE DOIT PAS LAISSER LA SITUATION S EMPIRER AVANT D AGIR ET SACHE ENFIN MONSIEUR YONABA QUE SI L EGLISE BAT CAMPAGNE CONTRE LE NON DE LA REVISION DE L ARTICLE 37 ALORS...

    • Le 28 mars 2010 à 23:12, par HOLLO En réponse à : Révision de l’article 37 de la Constitution : “L’Eglise burkinabè a-t-elle sollicité une audience au président du Faso ?”

      MR YONABA N’est pas vraiment pas un instituteur sinon il saurait que les enseignants enseignent le jeu démocratique et mème mieux le pratiquent en classe quand ils veulent élire le chef de classe en début d’année ,quand ils veulent rediger le règlement interieur de la classe et j’en passe.Vous ètes un danger pour les futurs batisseurs du pays en pensant qu’il faut permettre un seul citoyen qui semble fatigué car ayant trop de crises à resoudre à diriger notre pays qui a tant besoin de nouvelles idées de developpement.
      M yonaba pardon faut pas salir notre nom(instituteur)vous voulez ètre mommé préfet ou quoi ?sache que notre président a besoin d’alternance pour mème se reposer et créer des fondations de resolution des crises dans le monde.

  • Le 19 mars 2010 à 13:02, par lance de fer En réponse à : Révision de l’article 37 de la Constitution : “L’Eglise burkinabè a-t-elle sollicité une audience au président du Faso ?”

    A courte vue de l’esprit,pas la peine de trop argumenter,peut être que vous n’avez pas eu la chance de découvrir ne serait ce que par les médias les aspirations a une réelle démocratie des populations de nos jours...Cher maitre,le chemin est encore long pour vous,j’espère que ce ne seront pas vos élèves qui vs apprendront un jour ce qu’est vraiment la démocratie...

  • Le 19 mars 2010 à 13:13, par Dem En réponse à : Révision de l’article 37 de la Constitution : “L’Eglise burkinabè a-t-elle sollicité une audience au président du Faso ?”

    Je pensais que tous les enseignants possedaient une capacité d’analyse couplée à une mémoire nationale. Autant pour moi alors

  • Le 19 mars 2010 à 14:48, par Papus En réponse à : Révision de l’article 37 de la Constitution : “L’Eglise burkinabè a-t-elle sollicité une audience au président du Faso ?”

    Bonjour,

    J’ai lu avec attention votre opinion sur la contribution de l’Eglise aux débats sur l’article 37. Votre argumentaire n’apporte aucune lumière dans la mesure où il s’agit d’un raisonnement bancal et reptile. Vous imaginez ce que les populations endurent en termes frustrations lieu à cet individu. Aucune démocratie n’a fonctionné sans un partage du pouvoir. Et du reste, les exemples sont légions dans les pays où les dirigents sont restés très longtemps au pouvoir. J’imagine que vous n’avez pas d’enfants, donc peu importe ce qui arrivera plus tard. Je vous exhorte à grandir davantage en sagesse. L’Eglise n’est pas une institution humaine, elle est de Dieu et sa position est toujours inspirée par l’Esprit Saint. Tenez vous tranquille et recherchez votre pain quotidien à la sueur de votre front car la médiocrité et les racourcis ne sont pas de moyens à employer pour se tirer d’affaire.

  • Le 19 mars 2010 à 16:35, par Machiavel En réponse à : Révision de l’article 37 de la Constitution : “L’Eglise burkinabè a-t-elle sollicité une audience au président du Faso ?”

    On reconnaît ici les MEBA CDP là. Même avec ça, vous n’allez pas continuer à politiser notre école. Encore un qui a raté la chance d’être la fierté de ses élèves.

  • Le 19 mars 2010 à 16:46, par autre-façon-de-voir En réponse à : Révision de l’article 37 de la Constitution : “L’Eglise burkinabè a-t-elle sollicité une audience au président du Faso ?”

    Salut,
    voilà quelqu’un qui gatte le nom des enseignants de ce pays. Où tires-tu tes informations ? C’est aussi ça le bébé de la gouvernance du système, une classe de griot prête à sacrifier tout y compris leur famille. Bonne chance, on retient ton nom dans la liste de ceux qui veulent déstabiliser le pays, le moment viendra où on te jugera.

  • Le 19 mars 2010 à 16:50, par itmo En réponse à : Révision de l’article 37 de la Constitution : “L’Eglise burkinabè a-t-elle sollicité une audience au président du Faso ?”

    je le comprend il veut un jour être préfet de brousse car il voit que son statut d’enseignant permanent de brousse la est dépassé.mais !mais !il n a rien vu d’abord il finira par être chimpanzé de brousse s’il n y prend pas garde car les petits frères ,les petites sœurs et les maitresses de ceux qui vous dirigent ne sont pas tous nommés.et d’ici la yonaba l’enseignant prendra sa retraite dans son dernier village ou il sera,contente toi d’une affectation à bantougdo ou à ipelcé puisque c’est une autre façon de nomination mon tonton.quel misère ,je vous invite à une lutte collective pour bouter hors du Burkina ces insensés ayant comme devise "tout pour moi et rien pour vous"courage et victoire !

  • Le 19 mars 2010 à 17:43, par Per Amore En réponse à : Révision de l’article 37 de la Constitution : “L’Eglise burkinabè a-t-elle sollicité une audience au président du Faso ?”

    Decidement le ridicule a atteind un certain niveau dans notre chere patrie a tel point que ceux meme charger d’inculquer les valeures patriotiques et republicaines a la nouvelle generation deraillent. Voyez-vous avec cela on passe le temps a denoncer la baisse du niveau de l’enseignement au Burkina. Les enfants ont de moins en moins un esprit analytique digne de leurs classes respectives et ben on a la reponse a ce probleme maintenant ; avec des enseignants comme le sieur YONABA ayant pour cheval de bataille la theorie de la mendicite la situation ne peut etre qu’ainsi..c’est dommage il a fait retourner plus d’un de nos dignes enseignants dans leurs tombes avec cette redaction qui n’a rien avoir avec l’analyse d’une situation nationale.

  • Le 19 mars 2010 à 23:47, par KOURA En réponse à : Révision de l’article 37 de la Constitution : “L’Eglise burkinabè a-t-elle sollicité une audience au président du Faso ?”

    C’est trés interressant ce que dit ce Monsieur ;Mais il oublie que Blaise fait de la politique depuis 1991 et pour un homme politique qui est aux affaires, l’essentiel c’est de rester le plus longtemps pour pouvoir réaliser son programme.Et comme 10 ans ou 14 ans ne suffisent pas pour ça certains oublient que leur programme doit les survivre et s’il ont bien penser leur programme il y’aura toujours des continuateurs meme opposants car ce programme ou ces politique sectoriels peuvent etre fondamentaux pour l’avenir de la nation.En une année la belle mère à elle seule construit plus de maisons que l’Etat la preuve:les 10.000 logements soçiaux près de 3 ans après le lancement,combien de Burkinabè en on benéficier ? C’est un exemple de mauvais choix lié à la longevité au pouvoir car la famille e le clan se developpe au détriment du Pays et de la Nation. Et Dieu seul sait combien Blaise est conscient de cela mais malheuresement n’a plus les mains libres parce que à sa droite la famille,à sa gauche son clan,en face de lui le peuple Burkinabé et derrière lui les amis tous confondus de la première comme de la dernière heure,l’Armée qui tente bien que mal a garder la cohésion,le passif de son long règne qu’il n’a pas su évacuer donc entre les marteaux,les enclumes,les etaux,les longues pinces,les cisailles et autres ;Alors qu’est-ce que Blaise peu faire ? La majorité des Burkinabé ne croit plus à rien , on veux manger c’est tout.On s’en fou du Pays,de Blaise ou de Me Sankara de toute façon on mange pas chez eux. KOURA

  • Le 20 mars 2010 à 00:11 En réponse à : Révision de l’article 37 de la Constitution : “L’Eglise burkinabè a-t-elle sollicité une audience au président du Faso ?”

    Qu’est-ce qu’un instituteur de brousse peut savoir de la démocratie ? Il n’est nullement pas loin du pauvre paysan qui avec qui, il mène quotiennement sa vie. Aujourd’hui, certains paysans raisonnent mieux que certains de ces instituteurs de brousse qui finissent se fondre dans la masse paysanne burkinabè. Cet instituteur pense que c’est écrivant en faveur de Blaise, qu’il finira par sortir de sa brousse. Mon pauvre, tu n’es pas loin de ceux du pouvoir qui ne pensent qu’à leur ventre

    • Le 21 mars 2010 à 12:37 En réponse à : Révision de l’article 37 de la Constitution : “L’Eglise burkinabè a-t-elle sollicité une audience au président du Faso ?”

      "Qu’est-ce qu’un instituteur de brousse peut savoir de la démocratie ?"
      Arretez svp d’insulter les enseignants. Ces hommes et femmes qui luttent quotidiennemnt contre l’analphabétisme méritent respect et considération. Toute personne censée devrait savoir qui est derrière cet écrit. Maurice Yaméogo avait dit que la Haute Volta est un pays de savane, mais le Burkina est un desert, on se sait et on se connait. Mon cher YONABA, ayez le courage de signer sous votre vrai profession "ventriote" et épargnez cette injure faite à nos braves éducateurs.

  • Le 20 mars 2010 à 00:46, par ({{C}}ompaoré{{D}}oit{{P}}artir) En réponse à : Révision de l’article 37 de la Constitution : “L’Eglise burkinabè a-t-elle sollicité une audience au président du Faso ?”

    Bonjour chers frères,

    Juste pour vous informer que cet instituteur est fictif ! c’est une pure invention du directeur de rédaction de SIDSAYA pour sonder les intellectuels.

    Par C.D.P. (CompaoréDoitPartir)

  • Le 20 mars 2010 à 10:44, par nogsida En réponse à : Révision de l’article 37 de la Constitution : “L’Eglise burkinabè a-t-elle sollicité une audience au président du Faso ?”

    je suis d’avis avec vous. la plupart des média Burkinabè sont politisés et corrompus. c’est pas étonnant qu’il tentent par tous les moyens de soutenir cette position de modification de l’article 37 de notre constitution. cet enseignant n’existe pas du tout.

  • Le 20 mars 2010 à 11:17 En réponse à : Révision de l’article 37 de la Constitution : “L’Eglise burkinabè a-t-elle sollicité une audience au président du Faso ?”

    Je crois que ce site se fout de nous les lecteurs burkinbés en publiant des articles de ce genre.Il faut qu’ils nous prennent au sérieux parce que l’on parle de l’avenir de notre pays quand même. svp ya-t-il pas un site bcp plus serieux que celui là ?

  • Le 20 mars 2010 à 13:15, par Le VOLTAIQUE En réponse à : Révision de l’article 37 de la Constitution : “L’Eglise burkinabè a-t-elle sollicité une audience au président du Faso ?”

    Questions aux CDPistes :

    Que dit le reglement interieur(ou le statut) du CDP pour la duree des mandants des respondsables ?

    Duree illimitee ?

    Continuons a maintenir et a renforcer ce semblant de climat de PAIX qui prevaut dans notre tres cher pays.

    Des reformes politiques pour :

    renforcer la democratie ? OUI

    modifier l’article 37 ? NON

    Mettons l’accent sur toute chose succeptible NOUS unir.

    Paix des coeurs et d’esprit.

    Unite...Travail...Justice

  • Le 20 mars 2010 à 13:26, par Gomezemsé En réponse à : Révision de l’article 37 de la Constitution : “L’Eglise burkinabè a-t-elle sollicité une audience au président du Faso ?”

    pauvre frère. Le depaysement est plus pesant que l’indemnité qui te le compense. Et tu fais un appel de pied pour etre sauvé. je te conseille de te pourvoir autrement. Ce debat te depasse.

  • Le 20 mars 2010 à 23:54, par mwinbè En réponse à : Révision de l’article 37 de la Constitution : “L’Eglise burkinabè a-t-elle sollicité une audience au président du Faso ?”

    Le sir Yonaba a simplement faim, c’est pourquoi il s’exibe dans cet article pour avoir à manger.Nous l’invitons humblement à s’investir plus pour la stabilité locale entre Gaongoh et bègdo.

  • Le 21 mars 2010 à 02:14 En réponse à : Révision de l’article 37 de la Constitution : “L’Eglise burkinabè a-t-elle sollicité une audience au président du Faso ?”

    Alexandre P. Yonaba n’existe pas !!!
    C’est une invention du pouvoir en mal d’inspiration !!
    Triste

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