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Libre propos : Le droit de penser, la liberté d’informer

Publié le jeudi 4 mars 2010 à 01h52min

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Sidwaya a reçu une contribution de Rema Em Belbou sur l’action du président Blaise Compaoré. Nous vous la proposons en intégralité

Depuis l’accession du Burkina Faso, ex-Haute Volta à l’indépendance, beaucoup de présidents se sont succédé à la tête de l’Etat. Tous se sont montrés dévoués à la cause de la nation.

Un seul s’est illustré dans la marche vers la démocratisation, fruit d’un esprit patriotique ; il a su éviter à notre pays maintes dérives : d’abord sociales, puis économiques et ensuite politiques.

Pourquoi fermer les yeux sur tant de bienfaits et ouvrir des yeux dépourvus de toute reconnaissance sur certaines failles ? Mais nous disons que tel est le fort de certains. Certes, il n’est pas le père de l’indépendance, mais il est sans conteste le père fondateur de la démocratie burkinabè. Il a été d’un très grand recours pour notre pays et pour la sous-région.

Le Burkina Faso doit en être fier. Il restera le plus intègre dans le pays des Hommes intègres. "La nation toute entière doit reconnaissance à Son Excellence Blaise Compaoré".

Reima Em BELBOU

Sidwaya

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Vos commentaires

  • Le 4 mars 2010 à 06:18, par some En réponse à : Libre propos : Le droit de penser, la liberté d’informer

    "Le Burkina Faso doit en être fier" mais comme la Nation (BF) n’est pas fier, par contraposée tu démontres toi même que l’action de Blaise n’a pas apporté grande chose au développement du BF. Preuve à l’appui, regarde les statistique de développement (économique) en comparaison avec ceux des autres pays africains. même entre les médiocres nous figurons parmi les plus médiocres en terme de développement économique.

  • Le 4 mars 2010 à 09:57, par Boudwarba En réponse à : Libre propos : Le droit de penser, la liberté d’informer

    JE sais pas si ce Belbu connait bien l’histoire de la Haute Volta, ou s’il s’est arrêté au Burkina ?

  • Le 4 mars 2010 à 11:23, par radio libre En réponse à : Libre propos : Le droit de penser, la liberté d’informer

    Monsieur Rema,
    C’est votre droit de penser ainsi. Mon avis est que tu oublies que les vestiges des tazarchistes au niger sont encore très fraîches dans nos esprits et ce fait divers devrait créer des freins dans ton enthousiasme à féliciter un pseudo démocrate. Depuis 23 ans le BF vit une une démocratie à visage militaire.Retenez que les régimes qui durent longtemps n’échappent à la régle : qu’advindra-il après Blaise ? L’enfer pour les burkinabè, le paridis pour lui. Je ne le souhaite pas, mais la stabilité dont vous parlé est précaire et se négocie avec la satisfaction des besoins du peuple. Pour l’instant le fossé est grand, et toute comapraison avec d’autres régime passé n’est que élucubrations. Pensez !

  • Le 5 mars 2010 à 08:59, par ysouf En réponse à : Libre propos : Le droit de penser, la liberté d’informer

    Soyons sérieux Mr Belbou

    La grande majorité des Burkinabé ne déteste pas Blaise et ne nie pas son apport sur tous les plans dans le Développement du Burkina. Il se trouve seulement que toute cette levée de bois vert qui vous dérange lui demande tout simplement de respecter ce qu’il avait dit en 1997 et que vous nous rendez service en le rappelant. Finalement quel est le but de votre message ? En réalité vous vous ranger maladroitement du côté de ceux qui rappellent à Blaise qu’il est simplement mortel et qu’il n’est pas le seul burkinabè capable. Alors qu’il passe son chemin et nous laisse essayer autre chose. Si cette autre chose est mauvaise, on changera encore. c’est cela la démocratie

  • Le 5 mars 2010 à 12:34, par Carquois En réponse à : Libre propos : Le droit de penser, la liberté d’informer

    Assurement, ce Rema Em Belbou ne connaît pas l’histoire de notre pays. Il ignore également ce qui veut dire reéllement "INTEGRE" et "DIGNITE" car c’est ce qui manque cruellement à ce Monsieur dont il fait les louanges. Mais on suit votre regard Rema Em Belbou. Vous faîtes simplement parti du processus de ceux qui ont la tâche de blanchir "Son Excellence" pour lui permettre de forcer encore des serrures. Mais nous vous attendons. N’Gaw !

  • Le 5 mars 2010 à 12:56 En réponse à : Libre propos : Le droit de penser, la liberté d’informer

    Le Burkina Faso a déjà entendu et lu des gens comme vous. L’enveloppe doit être bien épaisse.

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