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Fait divers : Justice impitoyable d’un mari cocufié au secteur n°25 de Bobo-Dioulasso

Publié le jeudi 11 février 2010 à 01h20min

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Les faits se sont déroulés au secteur n°25 de Bobo-Dioulasso. Cette nuit du lundi 8 février 2010, des voisins dont certains étaient déjà dans les bras de Morphée, sont alertés par des cris de douleur d’un homme bien connu dans les parages.

Il était 22 heures passées quand AZ, vigile au domicile d’un artiste résidant en France, est étendu au sol, baignant dans son sang. Comme seul accoutrement, il portait autour de la taille, un pagne. Il lâche quelques bribes de mots et pointe du doigt MO, son bourreau qui n’est personne d’autre que le mari de l’amie de sa femme. Il raconte avec peine qu’il a été piégé pour être mis dans cet état. Ses blessures sont graves : bras gauche fracturé, les deux jambes hachées et la cheville droite sérieusement tailladée.

Les sapeurs- pompiers, alertés, l’embarquèrent quelques instants après, dans un état semi- conscient. Il venait de frôler la mort. Selon les sources avisées, AZ et la femme de MO, son voisin dont le domicile est à un jet de pierre, entretenaient depuis des mois, des relations coupables. A ce qu’on dit, la femme aurait même confié à son mari qu’elle avait reçu des avances de la part de AZ.

Toujours est- il que cette nuit-là, son mari les a surpris en pleins ébats sur le lit conjugal vers 22 heures. Son coupe-coupe fut impitoyable ! AZ n’aura son salut qu’au mur qu’il escaladera promptement pour tomber ensuite au domicile d’un agent de la SNTB. Après cette vengeance, le mari cocufié se saisit de la culotte de l’amant imprudent, abandonnée sur le lit conjugal, de ses chaussures et les dépose dès le matin, à la police.

Depuis, les commentaires vont bon train, au secteur n°25 sur cette mésaventure de AZ qui, aux dernières nouvelles, serait toujours alité au Centre hospitalier universitaire Souro Sanou. Tandis que son bourreau (le cocu) et son épouse ont été entendues par la police hier (mercredi 10 février 2010 ) dans l’après-midi.

F.O

Sidwaya

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Vos commentaires

  • Le 11 février 2010 à 03:35, par SIMPO En réponse à : Fait divers : Justice impitoyable d’un mari cocufié au secteur n°25 de Bobo-Dioulasso

    Je ne sais vraiment pas sil aut en rire ou en pleurer ! Devant le flagrant delit, il n,est pas evident de se maitriser, les emotions l,emportent sur le raisonnement, a moins d,etre prophete.Neanmoins, reconnaissons quand meme que nul n,a le droit de se rendre justice.Les commentaires feront certainement bon train, mais c,est quand meme mon humble avis.

  • Le 11 février 2010 à 04:09 En réponse à : Fait divers : Justice impitoyable d’un mari cocufié au secteur n°25 de Bobo-Dioulasso

    Pitié pour les deux hommes ! Que Dieu redonne au fautif la santé, et la sagesse pour mieux se comporter à l’avenir et enseigner la bonne leçon à ceux qui seraient tentés de faire comme lui. Et, que Dieu guérisse le coeur blessé du mari, et fasse que plus personne ne courtise sa femme. Quant à la femme...je ne sais pas quoi...Que Dieu l’aide à être désormais fidèle.

  • Le 11 février 2010 à 05:55, par honore En réponse à : Fait divers : Justice impitoyable d’un mari cocufié au secteur n°25 de Bobo-Dioulasso

    C’est avec sa femme qu’il faut regler les problemes. Si Madame est infifele, il ya bien des raisons qu’il faut comprendre au lieu de se venger sauvagement. Il aurait pu tuer de facon non premeditée ou meme se faire tuer si le cocu avait eu le temps de se defendre. Peut-etre que la femme s’est mariée de force ou est moins heureuse avec son homme.Cette femme recommencera son activité avec une autre personne sans aucun doute.

  • Le 11 février 2010 à 10:08, par Madjer En réponse à : Fait divers : Justice impitoyable d’un mari cocufié au secteur n°25 de Bobo-Dioulasso

    Je pense que de nos jours il y’a trop de femme célibalaire pour se laisser piégé dans une très sale affaire du genre. C’est pas digne d’un homme de faire la cour à une femme mariée, et de surcroît sur son lit conjugal. C’est risqué sa vie. Y’a trop de femme pour ça. Et puis c’est lâche et même très lâche de draguer une femme mariée. C’est pas digne d’un homme qui se veut sérieux. J’ai remarqué ces temps ci, les gens s’adonnent trop à cette pratique et puis c’est les femmes même qui sont toujours les première a commencé. Mais il faut résisté à la tentation et à la provocation. Il y’en a même qui te propose de l’argent mais il faut réfuser car tu pêches contre Dieu et contre tes semblables. Les femmes d’aujourd’hui sont très légère, mais il nous appartient de les éviter.

  • Le 11 février 2010 à 10:09, par héra En réponse à : Fait divers : Justice impitoyable d’un mari cocufié au secteur n°25 de Bobo-Dioulasso

    le mari cocufié a réagi de façon louable ! Il aurait du profiter pour castrer le salopard. mais l’article finit en queue de poisson car le journaliste n’a pas daigné nous dire quelle a été la sanction infligée à la femme indigne par son mari ?

  • Le 11 février 2010 à 11:18, par c’est de trop En réponse à : Fait divers : Justice impitoyable d’un mari cocufié au secteur n°25 de Bobo-Dioulasso

    C’est de trop. Il faut que les hommes sachent que maintenant ce temps est devolu. meme si vous trouvez un homme avec votre femme sur votre lit un jour, ce n’est pas la peine d’agir impitoyablement comme ca. La faute revient a votre epouse. C’est avec l’accord de votre epouse que le monsieur est venu sur votre lit conjugal. Gardez votre sang froid, demandez poliment au Monsieur de quitter votre lit, votre domicile, prenez le soin d’avoir une piece maitresse comme preuve, et le lendemain allez y deposer votre demande de divorce. Divorcez cette salope de femme et c’est tout au lieu de devenir un assassin pour rien a cause d’une salope de femme.
    Une femme qui peut se coucher avec un autre homme sur le lit conjugal, cette meme femme peut empoisonner son mari si elle gagne l’occasion.C’est une veritable sorciere qu’il faut etre tres loin d’elle.

  • Le 11 février 2010 à 11:30, par I S PLa En réponse à : Fait divers : Justice impitoyable d’un mari cocufié au secteur n°25 de Bobo-Dioulasso

    que bon DIEU nous en garde !
    je ne peut pas dire grande chose sur le cas de AZ ou MO
    mais je pense que cela sert de leçon pour tous.quelle sanction encoure MO ;sa femme.merci a nos media(l’information à notre porte)

  • Le 11 février 2010 à 13:02 En réponse à : Fait divers : Justice impitoyable d’un mari cocufié au secteur n°25 de Bobo-Dioulasso

    Je pense que le mari cocufié à tord de se comporter ausi impitoyablement. Quelque soit les circonstances, il faut respecter la vie d’autui, car aucun homme ne peut donner la vie à part Dieu seul. En plus, je trouve qu’il aurait du, comme l’a dit le précédent intervenant, s’en prendre à sa femme, car c’est éffectivement elle la vrai responsable de la situation. A ce que je sache, elle n’a pas été violée ! C’est avec son consentement que le vigile est parvenu à coucher avec elle. Un homme doit savoir se maitriser face à des situations de genre, et non se transformer en criminel, car n’eut été le fait que le vigile ait escaladé le mur, il serait surement mort haché !!!! Je n’excuse pas le mal que le vigile a fait, loin de là, mais je dis simplement que le mari cocufié est bien pire, car selon moi c’est un criminel. Et un bon croyant ne serait pas capable de faire ce genre d’acte, je ne dirai pas quelque soit la situation, mais en tout cas pas devant une situation comme celle-là ! C’est simple, divorce et trouve toi une autre femme ! Il y a trop de femmes qui cherchent des maris actuellement !

    Un panamien

    • Le 11 février 2010 à 18:29 En réponse à : Fait divers : Justice impitoyable d’un mari cocufié au secteur n°25 de Bobo-Dioulasso

      je pense que cet panamien doit avoir les memes comportement que la victime raison pour laquelle il le defend. sinon comment peut-on defendre un monstre si on n’a pas les memes intentions. Evitez de taper sur le dos d’autrui sinon ne soyez pas etonné de voir un jour votre ZIZI en pleine putréfaction.N’GAOW !!!!
      L’incolore

  • Le 11 février 2010 à 14:37, par WIZARD le MAGICIEN En réponse à : Fait divers : Justice impitoyable d’un mari cocufié au secteur n°25 de Bobo-Dioulasso

    Je pense que la femme est un être très difficile à cerner<. Un peu des mots de réflexion sur cet être du philosophe Jean Jacques Rousseau nous fera du bien pour ce genre de flagrant délit. Bonne lecture

    LA FEMME POURQUOI FAIRE...

    La seule erreur monumentale que Dieu ait commise c’est d’avoir créé la femme. Problématique naturelle, représentant la vie et ce qui se situe à son antipode ; la mort. Elle intrigue par le fait qu’elle n’a ni conscience, ni inconscience, qu’elle n’a ni raison, ni déraison. Avec ses deux armes sophistiquées, la première c’est le sexe et la deuxième c’est sa bouche, elle possède le don de décevoir et n’a pour centre d’intérêt de sa vie que l’homme qui lui a toujours obéit depuis l’origine de leur création. Si force est de comprendre un être, comment pouvons-nous comprendre la femme dans son existence ?

    Ce qu’est la femme
    La femme surprend et surprendra toujours. Être bizarre et bizarroïde par essence elle rejette systématiquement ce qui est de tout intérêt pour suivre une logique mystérieuse de la misère… Tu lui donnes une rose toute fraîche pour son bonheur, elle rejette et laisse faner la fleur avant de la désirer ardemment. Tu lui propose la vie : elle négocie la mort puis t’y engouffre sans pitié. Tu lui offres la joie, elle préfère la malchance de souffrir. Tu lui ouvres le chemin de l’opulence, elle t’écrase en misère. Tu lui donnes tord, elle te répond violemment « NON » qu’elle a raison. Tu lui donne raison, elle reconnaît avoir tord. Tu la raisonnes, elle te déraisonne. Tu lui présentes tes excuses pour une faute, elle t’accuse pour tes excuses comme quoi tu es l’homme le plus sot qu’elle ait jamais vu. Furieux, tu la rosses elle va crier et te proclamer grand chancelier de férocité. Inspirée par les premières semaines de la lune de miel, elle va te demander de lui confier tes principes pour ainsi dire les choses que tu n’aimes pas qu’on te fasse. Et ce sont ces choses totems qu’elle te ferra justement le lendemain même de cette confidence pour te faire mourir de remords ou de soucis ou de colère. Selon elle, c’est tant pis pour toi. Tout en récusant, elle accepte.
    C’est une « bénie non non » qui ne voit qu’en l’homme une machine à fabriquer ou produire de l’argent. Quand la machine tombe en panne ou se gâte, elle déblatère contre proprement avant de l’envoyer au diable.
    Par convoitise, la femme est quête de facilité, du prêt à manger. Et c’est dans cette quête sempiternelle de la facilité, du prêt à manger du poulet rôti devant tomber du ciel qu’elle se laisse aisément séduire.
    La femme, nous dit le proverbe, est un épis de maïs à la portée de toutes les bouches pourvu qu’elles ne soient pas édentées ; et nous de dire même les plus édentés parfois.
    Vivant de promesses, la femme, nous dit un autre adage, ne voit pas ce qu’on lui a fait ou déjà fait, mais ce qu’on va lui faire. La promesse bien entendu une promesse mirifique est en quelque sorte son apanage. Même si tu ne la tiendras pas, il faut lui en faire sinon elle en conclut immédiatement que tu ne l’aimes pas.
    Elle a pour manie d’agir qans réfléchir sur un vulgaire coup de tête pour succomber sous le poids de lourds regrets par la suite. Elle est la vérité, mais vénère le baratin. Tu lui dis la vérité, elle te gifle comme quoi, elle n’a besoin que du baratin pour aimer en applaudissant des mains et des pieds.
    Là, elle te suit jusqu’à la prochaine déception. Jamais satisfaite, elle se plaint tout le temps de l’homme même si celui-ci sue sang et sueur pour subvenir à ses besoins et pour son bien être.

    Qu’elle drôlerie ! L’homme n’a rien, n’a jamais rien fait pour la femme. Si sur cent fois, tu manques de lui donner une fois ce qu’elle demande, elle te traite d’incapable, de chenapan à tout vent.
    La femme ne vit pourtant que par l’homme, pour l’homme, puis au dépend de l’homme, paravent derrière lequel elle développe sa dignité, son autorité, sa jalousie et autres lubies.
    Serviteur dompté, l’homme ainsi tenu en laisse n’est qu’un forçat dévoué à la cause de la femme qui soutient sans cesse le contraire.
    Si la femme sent que l’homme n’est pas voué à sa cause, elle sort ses griffes, fait la gaffe et le boucan cyniquement.

    Qu’est ce que l’homme fait sur cette terre ? A vrai dire rien. En ce sens que l’homme bosse parce qu’il sait que la femme existe et qu’il doit l’avoir à sa charge. C’est d’une façon généralement admis c’est l’homme qui entretient la femme. N’est-ce pas ?
    La femme est à la charge de ses parents et après l’homme décharge ses parents d’elle. Cette charge que l’homme endosse avec une immense fierté à la longue lui pèse et l’écrase de tout son poids d’infidélité, d’irrespect, de honte, de félonie, d’ingratitude, d’impasse. Et que sais-je encore ?
    La femme représente une responsabilité que l’homme doit assumer Ciguë, il faut s’en méfier. Ceux qui affirment urbi et orbi que la femme est un mal nécessaire sont ceux qui sont souvent vautrés dans un aveuglement érotique ou féministe n’ayant pour passion que l’entrejambes de la femme de la femme ou plus précisément son petit sexe. Cette porte ouverte et fermée à la fois donnant sur une immense obscure, une situation ténébreuse que la volonté masculine ne peut à tout jamais débrouiller à part entière.

    La nécessité ne pouvait jamais être entendue à l’instar de la complémentarité, car la femme et l’homme sont compléments l’un pour l’autre et c’est là que persiste l’erreur divine, c’est donc un baliverne non un simple mais un véritable baliverne voire d’affirmer que la femme est plutôt un mal complémentaire. Enigme ambiguïté à nul égard, elle détient le secret de l’indiscrétion fatale et brandit ses fantasmes tel un permis à conduire à tout même à l’affirmation de la personnalité que l’homme aurait de tout temps cherchée à lui dénier. Pour réagir contre une pareille situation aussi illusoire qu’invraisemblable, elle dresse une conscience utopiquement revancharde pour prétendre être égale de l’homme. Absurdité et contradiction l’incitent à des errements qui suscitent la plupart des problèmes de vie et de mort. Elle est la source totarissable des sinistres de l’homme c’est-à-dire, la femme est le malheur de la femme et de l’homme à la fois. Si l’homme divorce avec sa femme, c’est sûrement à cause d’une autre femme. Et vice versa. Souvenons-nous en : la souffrance de l’homme avait commencé à partir de l’originelle désobéissance d’Eve. Elle avait transgressé la loi divine parce que le diable lui aurait parlé. N’est-elle pas elle-même diable puisqu’elle avait poussé Adam à la désobéissance en fin de compte ? Ce qui est surprenant dans cette histoire, c’est l’attitude de Dieu. Dieu s’est borné simplement à punir les coupables en les maudissant de souffrance, de peine et mort. Puis à travers eux nous tous alors qu’il nous aime. Il aurait mieux à l’époque de retirer Eve de la terre et par la suite créer un autre type d’homme car il avait la force. Mais hélas, Dieu est un artisan grave. C’est à cause de sa complicité de l’existence de la femme qu’on s’accorde à reconnaître que ce que la femme veut, Dieu le veut. Est-ce la femme est à l’image de Dieu ou Dieu à l’image de la femme ? Nous ne blasphémons guère. Dieu, lui-même, quelque part dans le firmament a conscience que nous parlons avec conviction. Donc s’étant ainsi référé à l’origine, nous croyons qu’il est clair et net que la femme est une source fatale et qu’il est grand temps qu’elle cesse de situer l’homme à la base de ses maux.
    L’homme est une irresponsabilité, une lâcheté, une incapacité que clame constamment la femme. Bien que la femme soit une responsabilité lourde que l’homme toujours et en dépit de tout, assumé. Cela se justifie tant au niveau du foyer à une tête que du foyer à deux têtes c’est-à-dire que celui dans lequel l’homme et la femme repartissent les « dépenses à faire entre eux ». Autrement dit, ils se définissent en « quota » des devoirs matrimoniaux à remplir. Si l’homme geint, c’est pour la femme. Si l’homme rigole c’est encore pour elle. Mais que peut la femme pour l’homme ? Rien. Hormis son sexe qu’elle peut lui offrir. Là encore elle reste l’idole de l’homme quand bien même elle ne peut point procréer. Possessive, elle active les feux les plus ardents de jalousie en se targuant de faux orgueils. Provocatrice, la femme excelle en querelle de chapelle. Elle accorde beaucoup plus de prix aux banalités en reléguant au dernier plan les choses d’une importance capitale.
    La femme pourquoi faire ? Assurément pour faire l’amour : Rôle uniquement principal. Ce qu’on doit se dire est que si l’homme est capable de procréer tout seul, la femme n’aurait jamais existé dans sa conscience peut- être accessoirement. C’est pour éviter que la femme soit de reste dans le monde, Dieu, durant ses œuvres de créations, avait arrangé la situation en faveur de la femme en lui subordonnant la vie.

    Pour une perspective de recréation du monde et de l’être.

    Si la femme vainc l’homme par son sexe, c’est par la complicité divine. Cette erreur dont on pâtit ne sera réparée qu’à l’heure de la récréation.
    Il faut que Dieu y pense. Dès que Dieu aura façonné, à cette heure de récréation, un monde avec un nouveau type d’homme c’est-à-dire un être neutre qui sera ni homme, ni femme mais quand même un être normal qu’il va doter de la faculté d’auto procréation sans l’investir du sentiment de jalousie, le cours de la vie aura pour une large part changé et sera vraiment le monde.

    JEAN-JACQUES ROUSSEAU .

    WIZARD

    • Le 11 février 2010 à 16:34 En réponse à : Fait divers : Justice impitoyable d’un mari cocufié au secteur n°25 de Bobo-Dioulasso

      Mon très cher, sans la femme la vie sera bien trop triste et les hommes ne feront que s’entre-tuer. Au lieu de te plaindre remercie Dieu d’avoir crée la FEMME, et surtout remercie ta MERE de t’avoir permis de voir le jour.

    • Le 11 février 2010 à 21:35, par Burkinabé en France En réponse à : Fait divers : Justice impitoyable d’un mari cocufié au secteur n°25 de Bobo-Dioulasso

      Merci pour cette analyse.A Victor Hugo d’ajouter"malheur à celui qui se livre au cœur changeant de la femme ;elle déteste le serpent par jalousie de métier".L’histoire(le passé ;le présent et le futur)nous montre que ce caractère mystique(mais pas diabolique) de la femme ;tantôt source de bonheur ;tantôt source de malheur ;base de conflit entre ami ;frère ;ou voisin.
      Mais hélas on y peut rien ;prudence ;méfiance et encore prudence oh les hommes !!!

  • Le 11 février 2010 à 15:08, par femmec’estpal’homme En réponse à : Fait divers : Justice impitoyable d’un mari cocufié au secteur n°25 de Bobo-Dioulasso

    AZ est un voleur.
    Un voleur se prepare toujours(et tres bien alors..) avant de rendre visite a sa victime.AZ connaissant tres bien le risque en vue,a,malgre tout,tente sa chance.En temps que vigile en faction(22h)n’etait-il pas arme ?Quelle chance pour le mari.

    Quant a la femme,je dirai qu’elle est pire qu’un serpent venimeux.Apres le lit conjugal,ca devrait etre au tour de l’assiette de MO et un peu de teissons de bouteille broyes(en poudre) dans la bouillie et hop...le tour est joue
     : Ulceres par-ci,maux de dos par-la et..un beau jour salut les degats.

    Et MO ?Un mari cocufie est un mari qui a cocufie.A chacun son tour chez le...?et l’acte qu’il a pose est celui dun mari qui voit un (son)film en direct et celui qui a decide de divorcer l’a vu en difere.

  • Le 11 février 2010 à 15:45, par Kôrô Yamyélé En réponse à : Fait divers : Justice impitoyable d’un mari cocufié au secteur n°25 de Bobo-Dioulasso

    Dans le voisinage immédiat, ces choses-là ne sont pas conseillées.

    - Il fallait lui taillader les testos en plus. Ce type a dû être trop tenace envers la femme. Malheureusement, on ne lui a pas coupé les machins.

    Par Kôrô Yamyélé

  • Le 11 février 2010 à 15:50 En réponse à : Fait divers : Justice impitoyable d’un mari cocufié au secteur n°25 de Bobo-Dioulasso

    Monsieur le panamien je crois que vous etes pas marié ; et vous savez pas non plus ce que c’est que la jalousie.Ne traitez pas ce monsieur de criminel.Il pouvais ne rien dire à cette homme et aller se faire du mal, penser à cela aussi.Le premier remède pour un homme qui a le courage de faire la cours à la femme d’autrui et de plus faire des relations sexuelles dans le lit conjugale de celle-là c’est lui laisser des signes incurables pour le restant de sa vie.Pour la femme la balle est dans camp de son mari.Je crois comme avertissement sa femme en eu un.

  • Le 11 février 2010 à 18:37, par SERE En réponse à : Fait divers : Justice impitoyable d’un mari cocufié au secteur n°25 de Bobo-Dioulasso

    vous avez tous oublier que le fautif n’est pas mort donc rester prudent pour la suite que je vois catastrophique.

  • Le 13 février 2010 à 12:24, par beke76 En réponse à : Fait divers : Justice impitoyable d’un mari cocufié au secteur n°25 de Bobo-Dioulasso

    Franchement je ne sais pas comment les uns et les autres pensent mais une chose est sûre vous êtes tous libre de dire ce que vous allez faire si vous etiez le mari cocufié, mais je pense que c’est cas même exageré d’aller jusque sur le lit conjugal même si la femme a voulu c’est chez la femme à elle seule il ya des chambres de passe pour ça qu’en bien même que ce soit un acte condanable d’apprecier même la femme d’autrui à plus forte raison vouloir coucher avec elle et de surcroit sur son lit et en plus celui conjugal où ils doivent fonder leur famille ? mais ecoutez !! nous sommes dans quel monde ? si le ce Mr a eu le courage d’aller jusque sur le lit d’un autre homme pour coucher avec sa femma, dite moi qu’est-ce-qui peut empêcher le propriétaire de ne pas faire ce qui lui passe par la tête ? donc pour vous dire toute reaction à tel ou tel probleme,dependra de la maîtrise de soit face à tel ou tel probleme il faut être déjà en face des faits comme MO pour savoir comment tu reagiras mes feres et soeurs essayons de garder nos valeurs humaines merci de me comprendre

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