LeFaso.net, l'actualité Burkinabé sur le net
Proverbe du Jour : “Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux.” Proverbe chinois

Laurent Bado : « Il faut chasser un chef d’Etat qui triche »

Publié le vendredi 16 octobre 2009 à 04h39min

PARTAGER :                          

Dans l’entretien qu’il a accordé à Thierry Hot, Directeur de l’Information de la chaîne de télévision Africa24, Laurent Bado, professeur de droit et fondateur du Parti pour la renaissance nationale (Paren), montre une fois de plus, qu’il n’a pas sa langue dans sa poche. C’est avec la verve qu’on lui connait qu’il s’exprime sur la démocratie au Burkina et en Afrique, la vie de son parti, et le statut de chef de file de l’opposition qui vient d’être conféré à Me Bénéwendé Sankara.

Thierry Hot-Africa24 : Quel regard portez-vous sur la vie politique au Burkina Faso ?

Laurent Bado : De façon générale dans les pays africains, et au Burkina Faso en particulier, on ne peut pas parler de vie politique interne, mais plutôt de gestion quotidienne du pouvoir. Loin du peuple, entre deux élections, il y a d’une part une majorité et de l’autre, une opposition qui se font des coups bas. Tout se résume à cela. Pour le reste, le peuple n’est pas informé, éduqué, conscientisé, responsabilisé. Personnellement, je pense qu’avant de parler de vie politique, il faut parler d’abord de la vie démocratique au Burkina Faso. Il n’y a pas de démocratie. Le peuple s’efforce, il n’est pas mûr.

Vous êtes député à l’Assemblée nationale, preuve qu’il y a tout de même des joutes électorales…

Les joutes électorales existent. Par contre, la vie démocratique interne n’existe pas.

Est-ce de la désaffection vis-à-vis de la chose politique ?

C’est tout simplement parce que la notion de pouvoir que les occidentaux nous imposent est inadaptée. Le discours de la Baule, la chute du mur de Berlin, tous ces évènements n’ont rien à voir avec la conception traditionnelle du pouvoir. Je résumerai ma pensée en un seul exemple que j’ai vécu. Je suis allé dans un village dans le cadre de ma campagne. On m’a alors suggéré d’aller présenter mes salutations au chef. Je me suis présenté à lui comme étant un candidat à l’élection présidentielle. Mais un candidat de l’opposition, c’est-à-dire qui œuvre à un changement à la tête de l’Etat. Je lui ai dit que je pensais que le pays était mal géré par le pouvoir actuel. Il m’a fait savoir qu’il ne savait pas que le chef de l’Etat était décédé. Sa réaction s’explique parce que, dans la tradition, on ne remplace pas un chef de son vivant.

Vous avez fondé un parti politique en 1999. Cinq ans plus tard, vous en confié les rênes à une camarade de parti. Pourquoi ?

Tout simplement parce qu’il faut habituer les peuples africains à l’alternance, à commencer par leurs élites. C’est inadmissible que quelqu’un créé un parti politique et refuse de céder son poste à un autre. C’est à croire qu’il est né pour diriger seul sa chose. Si c’est un parti d’idées, on doit pouvoir changer le personnel politique, notamment le chef du parti.

Est-ce un message fort que vous avez voulu lancer ?

Exactement. Un message non seulement pour le Burkina Faso, mais pour toute l’Afrique.

Vous êtes arrivé en troisième position à la présidentielle de 2005, avec 2, 48% des voix. Pensez-vous faire mieux en 2010 ?

Je ne sais pas si je serai candidat ou pas en 2010. Tout a été orchestré pour barrer la route à des personnes comme moi. On a augmenté d’abord la caution, qui est passée de cinq millions de francs CFA à dix.

Les militants de votre parti peuvent tout de même réunir les dix millions…
Les militants ne cotisent pas. Aucun militant ne cotise cent francs dans mon parti.

Comment financez-vous les activités de votre parti ?

Les militants comptent sur quelques cadres du parti et le fondateur pour mener les activités.

A cette allure vous serez ruiné !

J’ai beau attirer l’attention des militants la-dessus, les choses ne changent pas. Or, en créant le parti, j’ai bien précisé qu’il n’aura jamais de financement au plan national. Si les opérateurs économiques financent un parti d’opposition, ils perdent vite les marchés. Pas de financement aussi en occident, parce que mon parti est contre le libéralisme, le socialisme. Nous proposons une troisième voie. Et cela n’est pas pour nous permettre d’avoir des financements.

Cela dit, si vous avez les moyens nécessaires, allez-vous vous présenter à la présidentielle de 2010 ?

Si j’ai les moyens, je suis certain que je serai président. L’évolution des choses me donne raison. Quel est le parti politique qui a pensé que le capitalisme privé allait avoir des problèmes au Burkina Faso ? Ma voie est très claire. Il nous faut partir de nos racines pour aller vers le développement. Parce qu’en occident, c’est l’individu-roi qu’on a exalté depuis 1789, la révolution française. Cela se matérialise au plan économique par l’égoïsme économique, l’exploitation de l’homme par l’homme. Dans le socialisme, c’est le contraire, c’est le groupe qu’on a fait roi. C’est l’égoïsme collectif. C’est un pour tous.
Nous disons qu’en Afrique, c’est un pour tous et tous pour un. Il faut organiser l’économie à partir de ce principe vital.

Revenons au Burkina Faso. Est-ce que vous serez candidat en 2010 ?

On a augmenté la caution. Je peux surmonter cet obstacle parce que je peux trouver des parents et des amis pour m’aider.

A vous seul, pouvez-vous trouver cette caution, si vous voulez être candidat ?
Je le peux. Ma famille et moi, nous pouvons réunir les dix millions de francs CFA. Je ne suis pas un mendiant larmoyant.

Un chef de file de l’opposition vient d’être désigné au Burkina Faso, en l’occurrence Me Bénéwendé Sankara. Comment avez-vous accueilli cette désignation ?

Personnellement la question de chef de file de l’opposition ne m’a jamais intéressée. C’est dommage qu’en Afrique, nous aimons copier tout ce qui se fait à l’extérieur. Quelqu’un ne peut pas répondre à ma place si j’ai un parti politique. Si j’ai des choses à dire, je vais les dire. Pourquoi doit-on laisser le chef de file dire des choses au nom de tout le monde ?

Est-ce à dire que vous ne reconnaissez pas le chef de file de l’opposition ?
Je m’en fous d’un chef de file moi. Si l’opposition est digne de ce nom, qu’elle se regroupe. Il tire toute la couverture à lui. C’est ça la réalité.

Vos détracteurs claironnent que vous êtes un intellectuel qui s’est égaré en politique ? Que leur répondez-vous ?

Je leur réponds que leurs idées ne sont pas à la hauteur des miennes. Nous sommes au Burkina Faso, un pays où les ténèbres s’efforcent d’éteindre la lumière. Ceux qui font de telles déclarations ont quel niveau ? Des anciens instituteurs ! Ce sont eux qui ont fait de telles déclarations. Pourquoi dire que je me suis égaré en politique ? La politique, ce sont les idées. J’ai des idées. Je n’ai jamais dit qu’elles sont les meilleures, encore moins qu’elles sont vraies. Ayant quand même de bonnes idées, si je pense qu’elles peuvent servir au développement de mon pays, il est de mon devoir moral de les partager avec les gens.

Gardez-vous toutes vos illusions en politique ?

Vous utilisez de très mauvais termes. En politique, il n’y a pas d’illusions. Il y a des convictions. On a ses convictions et on travaille à les exécuter, à faire d’elles des réalités. C’est tellement simple ce que je propose.

Que vous inspire la situation en Guinée ?

Près de cinquante ans après les indépendances, c’est toujours les massacres. C’est la preuve que les dirigeants africains n’aiment pas leur peuple. Ce sont des affamés. Ils cherchent à manger. Ils cherchent la gloire, les honneurs militaires. Si bien que, tant qu’il n’y aura pas une nouvelle race d’homme politique, des philosophes, les choses ne vont pas changer. Dans la vie politique, il y a l’intellectualité et la moralité. Mais si on met des gens qui ne sont pas intelligents et qui n’ont pas un minimum de moralité, il ne peut qu’avoir des massacres de ce genre.

Quel est votre point de vue de juriste sur le capitaine Dadis Camara ? Va-t-il être poursuivi par la Cour pénale internationale ?

C’est une suite logique à l’autre question. Personnellement, j’appréciais au fonds l’action de Dadis Camara, mais c’est dans la forme qu’il a tout raté. Il me semble bien que la Guinée est poursuivie par une malédiction. Je demande pardon aux Guinéens. Qu’ils ne soient pas offensés par mes propos. Leur jeunesse et leur élite intellectuelle doivent se ressaisir. On ne comprend pas pourquoi il n’y a eu que des dictateurs dans ce pays. Comment l’un des plus riches pays d’Afrique de l’Ouest traîne t-il à la queue des nations ?

Vous avez l’impression que c’est une malédiction ?

C’en est une. Depuis Sékou Touré…

A qui la faute ?

Ce serait inutile de dire à qui la faute. La faute est à tout le monde. Aux colons, aux élites africaines…Tous ont fauté. Vous n’avez pas remarqué qu’avant, ce sont les élites qui montaient les dictatures ? Ce sont ces élites venues des universités de Dakar, d’Abidjan, de Paris … Elles parlaient de socialisme, de biens d’autres théories. Une fois au pays, elles fabriquent des monstres, des dictateurs. Il a fallu la chute du mur de Berlin, la déclaration de la Baule pour que, automatiquement, ces mêmes élites se retirent du pouvoir et se déclarent opposants aux dictateurs qu’ells ont façonnés. L’élite africaine me fait pleurer. Elle n’a pas honte. Elle s’en fout du continent noir. Il faut que le peuple se rende compte qu’il n’a pas de serviteurs. Il n’a que des bouffons sur son dos.

Vous avez déclaré en novembre 2008 : « En vérité, un coup d’Etat peut se justifier pleinement au regard de l’accession au pouvoir d’une part et au regard des modalités de gestion du pouvoir d’autre part ».Venant d’un constitutionnaliste, cette déclaration a beaucoup surpris...

Qu’est ce qu’il y a d’extraordinaire dedans ?

Est-ce qu’il y a des bons et des mauvais coups d’Etat ?

On dit démocratie. Personne n’est né pour commander. Il faut le consentement du peuple. Qu’est-ce que les dirigeants font ? Ils trichent. Ce qui fait que je suis d’accord avec les coups d’Etat salvateurs, moralisateurs. Imaginez que pour les élections, les dirigeants vont voir les chefs traditionnels qui donnent des directives à la masse.

En Guinée cela a donné un coup d’Etat…

Les candidats empêchent l’expression libre du peuple. Ce n’est pas cela la démocratie. Il y a des fraudes massives. Au Burkina, il y a combien de d’élections où il y a des spécialistes qui vont voir des étrangers pour les faire voter au Burkina ?

C’est la première fois que j’entends cela…

Si ce sont les élections, c’est ce que je connais le mieux. C’est ma capacité, ma maîtrise. On se tait parce qu’on ne veut pas faire de scandale. C’est tout.

Donc, il y a des bons et des mauvais coups d’Etat ?

Il y a de très bons coups d’Etat. Un chef d’Etat qui triche pour se maintenir au pouvoir, il faut le renvoyer. Il n’est rien. Un bon coup d’Etat, c’est le coup de force contre un chef d’Etat qui gère nos ressources de façon patrimoniale. Il y a des chefs d’Etat dont les parents étaient pauvres, leurs grands parents misérables qui sont aujourd’hui assis sur des milliards. Pendant ce temps, les enfants meurent de paludisme dans le pays.

Quels sont les exemples de mauvais coups d’Etats en Afrique ?

Ne faites pas en sorte qu’il y ait des chefs d’Etats qui m’en veuillent spécialement. Les bons coups d’Etats se sont ceux qui vont permettre la démocratie réelle. C’est-à-dire permettre qu’il y ait de vraies élections, l’exercice du pouvoir dans l’intérêt de tout le monde. Le mauvais, c’est lorsqu’on le fait parce qu’on veut être simplement chef de l’Etat.

Fasozine

PARTAGER :                              

Vos commentaires

  • Le 16 octobre 2009 à 05:50, par Techno En réponse à : Laurent Bado : « Il faut chasser un chef d’Etat qui triche »

    Pauvre Laurent !!!
    Vraiment les intellectuels africains, ceux qui sont comme vous, font la honte du continent. Le seul bon coup d’état que je pense comprendre selon vous est celui qui vous permettra d’être président du Burkina Faso car vous semblez être le seul qui le mérite, éclairé, instruits, modeste, plus intelligent que tous.
    Pourtant votre connaissance ne vous permet pas de vous distinguer économiquement de tous les autres. Il vous faudra être président pour devenir riche car sans le pouvoir vos connaissances ne vous ont pas permis de l’être. Oui le peuple a faim. Donnez-lui simplement du pain et il vous votera. C’est bien simple ça. Les gens vous demandent le minimum, la nourriture. Qu’en sera-t-il s’ils vous demandaient la santé, l’éducation, le travail ? En occident les gens votent ceux qui peuvent leur donner du travail, améliorer leur situation économique. Obama a été élu aux États Unis en partie à cause de la crise économique.
    Arrêtez d’insulter les braves africains, vous n’êtes pas digne de diriger le pays. En occident ce ne sont pas les professeurs en sciences politiques qui sont élus présidents, ni les plus intelligents, ni les plus forts. La réussite en politique ne dépend pas du nombre de diplôme qu’une personne possède.
    Celui qui a écrit ce message n’est pas un instituteur mais admire tous ces instituteurs qui par leur efficacité et amour du métier lui ont permis d’obtenir une bonne éducation. Vous n’avez pas donné plus de choses au Burkina que n’importe quel instituteur du pays. Pourtant vous vous sentez supérieur à eux.
    Il faut simplement arrêter de rêver et comprendre que la vie est plus complexe que vos idées. Si vous parveniez à être président, vous vous enrichiriez et seriez plus dictateur que tous les dictateurs que le continent a connu.
    Que Dieu garde notre pays d’un futur président qui aura vos idées car elles sont bonnes seulement dans la théorie. Dans votre propre famille ou village, les gens ne suivront pas ces idées car ils ne pourront se nourrir, s’émanciper à partir d’elles. Les bonnes idées sont universelles et s’imposent quelque soit la volonté des autres. Vos idées sont seulement bonnes si vous êtes président. En tant qu’homme privé elles sont inutiles. Vous cherchez alors un terrain pour tester vos idées, un terrain d’essai. Si vous ne pouvez pas appliquer vos idées actuellement au Burkina pourquoi ne pas les vendre dans un autre pays ? Sans doute parce que personne ne s’intéresse à vos rêves et ne vous laissera détruire son pays.
    Vous voulez coute que coute être président on l’a compris. Le prochain coup d’état au Burkina vous offrira peut-être une chance mais si elle rate, sachez calculer vos chances de sur vie. Ca c’est de la politique.

    • Le 16 octobre 2009 à 15:57 En réponse à : Laurent Bado : « Il faut chasser un chef d’Etat qui triche »

      Bien dit ; d’ailleurs ce type n’est plus crédible depuis l’affaire des 30 millions qu’il a reçu de Blaise ; qu’il se fasse oublier

    • Le 16 octobre 2009 à 16:27 En réponse à : Laurent Bado : « Il faut chasser un chef d’Etat qui triche »

      De quoi tu parles toi ? Essais de te relire et relis l’interview, tu véras que c’est plutôt toi qui fais pitié.

      Prends tes médicaments

    • Le 16 octobre 2009 à 16:43, par wend waoga En réponse à : Laurent Bado : « Il faut chasser un chef d’Etat qui triche »

      Bonjour à Techno !Il y a des fois où je me demande si dans ce continent,nous allons nous en sortir !Personellement,je ne vois nulle part dans les propos du Proffesseur où il est mentionné qu’il lui faut coute que coute etre président !Je pense que pour se sentir en droit de réagir de la facon dont vous faites sur les propos du proffesseur,il eut fallu disposer d’éléments d’antithèse pour contrer ses dires !Vous auriez par exemple pu trouver des éléments qui contredisent le mode de gestion des pays africains par les dirigents actuels,est-ce qu’il dit vrai,ou bien il se laisse tout simplement aveugler par "SON AIGREUR" ? Si votre réaction est dictée plus par conviction positive vis-à-vis de la situation actuelle des pays africains,que par peur de perdre "VOTRE PARADIS DORÉ" éventuel,sortez alors vos arguments et faites le lui savoir !Mais si c’est par pessimisme que vous réjetez systematiquement la vision du proffesseur,alors que la vision de celui en place (qui est du copier coller !)ne sort pas non plus le pays de l’auberge,pourquoi ne pas tenter l’aventure du prof.? Dans tous les cas,nous sommes des CABRIS MORTS !Devons-nous choisir de geindre éternellement dans un système qui a montré ses limites en matière de gestion des affaires africaines,tout simplement parcequ’on a peur d’expérimenter l’inconnu ? À vous voir prendre des exemples,on est tenté de se dire,ce ne sont pas des propositions fiables car n’ayant pas été pensées par tel ou tel penseur,ou tel philosophe de tel pays d’occident donc,nulle et non avenue !.Comme si l’expérience des gens comme Sheik Anta diop,dénigré par ses propres frères africains,n’avait pas suffit,on persiste dans la méprise des idées de ceux qui tentent de garder le flambeau allumé !Dernier élément de mon intervention ;vous dites que les gens ont besoin de voter ceux qui peuvent leur trouver à manger !J’aimerai savoir de quel genre de manger il s’agit ?Celui qui s’étant sur le temps et qui va profiter aux enfants,les enfants des enfants,ou bien celui qui se donne seulement pendant les campagnes électorales ? Si c’est ce dernier cas,les plus intelligents iront voter là où ils n’ont rien,car se disant que ca va venir par le temps ! Fraternellement !

    • Le 16 octobre 2009 à 18:28 En réponse à : Laurent Bado : « Il faut chasser un chef d’Etat qui triche »

      si vous n’avez rien n’a dire Mr techno. vous la fermez !!

    • Le 16 octobre 2009 à 19:31 En réponse à : Laurent Bado : « Il faut chasser un chef d’Etat qui triche »

      Je crois qu’il y a un minimum de respect et de sagesse a témoigné sur ce site. Le professeur Bado a-t-il parlé de lui ou de ses espoirs pour le continent africain ? S-est-il vraiment présenté comme le plus brillant, détenteur de vérités et le seul capable de développer le Burkina ? NON. NON.

      Ceux qui s’intéressent au développement, en général et celui d’un groupe social en particulier, ne peuvent que se frustrer de voir ce qui se passe en Afrique. Partout les One beautiful ne sont pas encore nés. Et le pessimisme risque de gagner plus d’espace fertiles si on aura encore des réactions aussi superficielles, personnalisées et partisanes comme celle-la.

      Sans amour pour son pays, on ne pourrait le développer. Il ne peut y avoir de l’amour pour son pays si on pense qu’on est le seul capable. Sa participation devrait correspondre à une pierre qu’on apporte comme contribution. Comprendre qu’une pierre ne construit pas une maison et une pierre est une pierre parmi tant d’autres et chacun doit apporter sa pierre. Donc on aura besoin de tout le monde, mais personne n’est indispensable. Surtout pas ceux qui écarté d’autres. Qu’on se comprenne.

      • Le 17 octobre 2009 à 13:33 En réponse à : Laurent Bado : « Il faut chasser un chef d’Etat qui triche »

        Bravo,
        Je crois que l’élite africaine est la cause des malheurs des africains.
        L’idée du professeur BADO devrait être soutenu. Comment comprendre qu’en Afrique, on nous fasse croire qu’il y a en qui sont nés pour commander et sans eux, c’est la fin du monde.
        Tout en soutenant la Démocratie, les Chefs d’États africains devraient avoir le courage de dire à leurs pairs qui ne respectent pas les principes démocratiques et la déclaration qu’ils ont librement souscrite à BAMAKO de se ressaisir et respecter le peuple qui les a porté au pouvoir. Si non il faut les chasser du pouvoir.
        N’est-ce pas une fierté que de voir un fils d’un paysan soutenir une thèse en doctorat et accéder au grade du Professeur ? n’est-ce pas une richesse ? Alors que les biens nés sont souvent confondus aux voyous dans les pays du Nord.Voilà des personnes peu cultivées qui se servent d’une partie de l’élite africaine pour opprimer le peuple ! Bravo Professeur, je pense que votre idée fera son chemin et qu’on va arriver à faire comprendre sont à ceux qui croient parler au nom du peuple qu’ils se trompent.
        Aux intellectuels qui courent après la gloire en soutenant les dictatures, revenez à la raison et penser à vos frères qui souffrent.

    • Le 16 octobre 2009 à 20:20, par Le Raisonnable En réponse à : Laurent Bado : « Il faut chasser un chef d’Etat qui triche »

      Bonjour,
      À vous lire vous êtes aussi pire que Bado, parce que obnubilé par la pensée unique. Je vous invite à relire Bado sans préjugé et à analyser vos propres vues du propos de l’homme que vous détestez visiblement. Une critique positive du contenu de l’entretien apporterait un éclairage sur l’avancée démocratique du Burkina Faso. C’est dommage de s’en prendre au messager et non au message.

    • Le 16 octobre 2009 à 20:40, par BRAHIM En réponse à : Laurent Bado : « Il faut chasser un chef d’Etat qui triche »

      Par BRAHIM
      Personnellement je ne connais pas Mr. Larent, néanmoins à 1ère vue, mes impressions sont bonnes à l’endroit de cet intellectuel africain. Non seulement par le fait qu’il n’a pas sa langue dans la poche mais par sa vision des Chefs d’Etat Africains qui veulent s’éternir au pouvoir. En paraphrasant les propos du Président OBAMA qui disait que ’’l’Afrique n’a pas besoin des hommes forts mais des institutions fortes’’ ; hors nous connaissons et comme le dit Mr. Laurent que c’est la triste réalité. Nous avons en Afrique des ’’Généraux’’ qui s’érigent en ’’hommes’’ forts devant les pauvres populations et se plit en en 10 prés d’un tout petit ’’arrière fils de colon’’. C’est la honte, la France continu de nous gérer à travers ces ’’bidas’’ qui n’ont aucune pitié à maintenir les peuples dans la souffrance pendant que beaucoup des pays africains exploitent déjà des richesses issues des matières premières. La France-Afrique a encore des beaux jours devant elle tant que ces hommes de main de la France sont maintenus à la tête des Etats. Mr. Laurent dénonce à juste titre ces mascarades électorales que nous connaissons en Afrique Francophone. Il n’y’a aucune chance qu’un Mr. de ce talent comme Mr. Laurent puisse accèder à la magistrature suprême car il n’y’a que les lèche-pieds d’un Sarkozy, Chirac et autres qui peuvent prétendre à ce podium. Les élections en Afrique sont truffées du faux, les candidats au pouvoir passera d’office car il a d’abord la bénédiction de son ’’maître de France-Afrique’’ et tous les moyens de l’Etat sont utilisés pour sa cause. Vue sous cet angle, je donne parfaitement raison et adhère entièrement aux propos de Mr. Laurent s’agissant des mascarades électorales dans la plupart des pays d’Afrique Francophone. Il nous faut des forces armées qui prennent les Chefs d’Etat faux et les jeter au délas des frontières comme il s’est passé aux Onduras. Chapeau au Pr. Laurent, continuez à vous nourrir de cette fierté que vous affichée en tant que vrai africain. La vie sur terre n’a jamais été un paradis et le paradis sur terre, c’est là où on vit. En tout cas l’Afrique ne sortira jamais grandie tant que nous continuons dans cette malgouvernance tant décriée. Salu...Pr. Bado.

    • Le 16 octobre 2009 à 21:42 En réponse à : Laurent Bado : « Il faut chasser un chef d’Etat qui triche »

      de quelle éducation parler-vous vous faites des reproches à Mr bado parce qu’il insulte est ce que celui qui a reçu une bonne éducation critique pas comme ça ? quand on critique on suit une certain nombre de logique. le site n’est pas un lieu de règlement de compte de grâce merci
      si vous mangez dans la poche des dictateurs gardez le pour vous et faites comme vous pouvez car il y a la fin qui arrive et chaqu’un assumera la responsabilité de ses actes.

    • Le 17 octobre 2009 à 01:16, par eltog En réponse à : Laurent Bado : « Il faut chasser un chef d’Etat qui triche »

      Oh mon frère je suis à 200% d’accord avec vos propos. Votre sens critique vous rend plus présidentiale que le Dr BADO.
      Que dire de ces vaillants instituteur, sans lesquels vous Dr BADO vous ne seriez pas au niveau peu enviable que vous êtes.
      Que djah garde le Faso dans sa paix legendaire !!!

    • Le 17 octobre 2009 à 01:21, par scofield En réponse à : Laurent Bado : « Il faut chasser un chef d’Etat qui triche »

      Belle intervention ;je salut le camarade qui vient de realiser ce commentaire.
      Il y a une chose qu’il faut comprendre dans ce pays.La politique, ce n’est pas etre président.La politique,c’est un art et une vision du développement d’un pays.Laurent Bado fait de la politique depuis plusieurs années et échoue aux élections.Je pense que c’est le moment pour lui de tout areter pour favoriser le renouvellement de la classe politique.Ces idées n’ont pas cnvaincu les électeurs et sa vision de la politique est trop en decalage avec la réalité.Quand il pense qu’il est le plus intélligent et le plus diplomé, il ne se rend pas compte que cela n’interesse pas le peuple ; comme le disait mon prédecessuer, le peuple a faim et le le peuple est malade.
      N’ayons pas une mémoire courte car nous nous rappellerons toujours de cette afaire de 30 millions que Bado a disputé avec Emile Paré.Cela a été la honte de l’opposition et a definitivement scellé et entaché leur credibilité.
      Meme l’oppositin est eloigné du peuple carson programme est basée sur les batailles électorales.Alos qu’il faut elever le niveau de civilité de la population.Une opposition de façade qui n’est visible que lors des élections.

      • Le 18 octobre 2009 à 16:23 En réponse à : Laurent Bado : « Il faut chasser un chef d’Etat qui triche »

        Vous avez raison. Les peuples dans nos pays ont faim, sont malades, sont peu instruits et participent peu à l’économie mondiale. Et nous devons en remercier nos dirigeants actuels qui en sont les auteurs. C’est vrai cette situation est préférable plutôt que de vouloir en discuter et admettre qu’elle n’est pas acceptable et surtout qu’elle peut changer.
        Le professeur nous invite tout simplement à oser demander des comptes à nos dirigeants, à oser dire que nous voulons manger à notre faim, nous soigner et envoyer nos enfants à l’école et que cela est à la porté de tout pays fut-il qualifié de sous-développé. Il faut juste vous prendre en exemple. Est-ce que vous acceptez que votre famille souffre de faim, de maladie sans rien tenter et sans inlassablement vous mettre à la recherche des possibilités d’y répondre ? Il faut juste aimer son peuple comme on aime sa famille et alors tout devient possible. Il faut se souvenir de la période révolutionnaire qui a poser un certain nombre de jalons vite détruits. les récentes inondations nous ont rappelé qu’il y avait un fonds de solidarité nationale qui était abondé annuellement en prévision de telles catastrophes. le bilan de son utilisation n’a jamais été fait au peuple burkinabé.
        Bref je m’arrête là. La vie d’un pays est l’affaire de tous et de chacun, même des "imbéciles heureux", dont je me réclamerais volontiers.
        Cicéron

    • Le 17 octobre 2009 à 02:49 En réponse à : Laurent Bado : « Il faut chasser un chef d’Etat qui triche »

      Techno, comme tu es surement une machine, je ne t’en veux pas. Tu appliques seulement l’ algorithme juridique et autre que tu as mentalement appris. Sinon, Bado ne me fait pas honte a moi et a des milliers d’ autres qui pensent avec leur cerveau, pas avec leur bas- ventre. Il dit tellement la verite mais gbe quoi. Tu aimes ou tu n’ aimes pas. Bravo Laurent. Tu n’avais meme pas besoin d’ epiloguer sur les coups d’etat, d’ en etablir une taxonomie. De toutes les facons, la mauvaise gouvernance, la triche democratique sont le terreau democratique des coups d’ etats. Si on veut les eviter, il faut faire le travail en amont. Bado, tu es le meilleur. Sache que beaucoup de jeunes qui ne militent pas dans un parti sont derriere toi. Celui qui a ecrit le brulot comme toi est l’ un de tes anciens etuidiants, refugie economique en france et qui se fait le heraut auto nomme du regime anti democratique patrimonial (dixit un du serail)de Blaise. Il est tellement connnu et discredite sur ce site. Mais sache que c’est un rabougri au sens tout aussi physique q’ intellectuel. Il merite toute notre pitie. Nous ne jugeons pas. Verstehen (comprendre ou Comprehension en allemand).

    • Le 18 octobre 2009 à 09:06 En réponse à : Laurent Bado : « Il faut chasser un chef d’Etat qui triche »

      combien d temps as tu pri pour ecrire tout ca.
      lol

  • Le 16 octobre 2009 à 08:20, par F. En réponse à : Laurent Bado : « Il faut chasser un chef d’Etat qui triche »

    J’ai toujours respecte le Professeur Bado pour ses idees, meme avec son franc parler...si seulement on pouvait prendre en compte certains de idees, celles de Tom Sank, le pays allait avancer mais dommage....
    "La politique, ce sont les idées. J’ai des idées. Je n’ai jamais dit qu’elles sont les meilleures, encore moins qu’elles sont vraies. Ayant quand même de bonnes idées, si je pense qu’elles peuvent servir au développement de mon pays, il est de mon devoir moral de les partager avec les gens" Joustement !

  • Le 16 octobre 2009 à 09:11, par Zemzem En réponse à : Laurent Bado : « Il faut chasser un chef d’Etat qui triche »

    "Ceux qui font de telles déclarations ont quel niveau ? Des anciens instituteurs ! Ce sont eux qui ont fait de telles déclarations !"

    Sacré Bado. parce que pour toi un instituteur n’a pas de niveau ?

    Avec de telles réflexions, tu resteras loin du pouvoir.

    • Le 17 octobre 2009 à 21:10 En réponse à : Laurent Bado : « Il faut chasser un chef d’Etat qui triche »

      Oui. Pour ton information, les instituteurs n’ont vraiment pas de niveau. Il ne faut pas envouloir a Bado pour cela.

      • Le 18 octobre 2009 à 12:43 En réponse à : Laurent Bado : « Il faut chasser un chef d’Etat qui triche »

        si toi tu te permets de parler ainsi c’est tout simplement parce que tu n’as eu la chance d’avoir un instituteur qui t’a instruit alors va t’instruire d’abord apres tu pourras pretendre etre mieux qu’eux. Quelle mentalité !
        somé

    • Le 17 octobre 2009 à 21:53 En réponse à : Laurent Bado : « Il faut chasser un chef d’Etat qui triche »

      il oublie qu’il est la aujourdh’ui parce qu’il a eu un instituteur. rien que de telles idees le disqualifient. On peut avoir la belle parole, les belles idees et derriere il n’y a rien sinon de la pourriture sous les apparences de quelqu’un de bien ce monsieur il me fait pitié tout simplement c’ests au burkina que les Bado se prennent pour des intellectuels mais que voulez vous au pays des aveugles le borgne est roi mais le pays est aveugle parce que nous le voulons
      un simple mamadou

  • Le 16 octobre 2009 à 09:36, par Hamane En réponse à : Laurent Bado : « Il faut chasser un chef d’Etat qui triche »

    Merci à vous pour cette interview. je suis 10000% d’accord avec le professeur lorsqu’il affirme : "Il y a de très bons coups d’Etat. Un chef d’Etat qui triche pour se maintenir au pouvoir, il faut le renvoyer. Il n’est rien. Un bon coup d’Etat, c’est le coup de force contre un chef d’Etat qui gère nos ressources de façon patrimoniale. Il y a des chefs d’Etat dont les parents étaient pauvres, leurs grands parents misérables qui sont aujourd’hui assis sur des milliards. Pendant ce temps, les enfants meurent de paludisme dans le pays".
    personnellement, je pense que le pire ce n’est pas la manière d’arriver au pouvoir (coup d’état, élection trichée, etc.) mais c’est la "mauvaise façon de gouverner". la malgouvernance. des gens sont sont arrivés par un coup d’état et ont mieux gerer le pouvoir. des gens sont arrivés au pouvoir par des électioons relativement transparentes et ont très mal geré le pouvoir.

  • Le 16 octobre 2009 à 09:46, par revolution En réponse à : Laurent Bado : « Il faut chasser un chef d’Etat qui triche »

    Merci encore mon Professeur.je pensais quil allait repondre a Maitre sankara (car connaissant le Pr BADO ;il avait deja ridiculise Maitre sankara dans une emmision a canal3 en parlant de l’affaire des travailleurs,ect).je pense que opposition doit laisser les guerres de positionnement et avancer.je l’admire pour ses idees mais il nest pas un fin politicien(dommage,il doit savoir que la politique,cest des coup bas.)

  • Le 16 octobre 2009 à 10:01 En réponse à : Laurent Bado : « Il faut chasser un chef d’Etat qui triche »

    "ces mêmes élites se retirent du pouvoir et se déclarent opposants aux dictateurs qu’elles ont façonnés".cette phrase du Pr BADO nest pas fortuite.A universite,il demontrait comment certains politiciens etaient avec le Pouvoir pour apres etre des opposants(apres seulement que leur interet etait en peril).Au moins il ya la democratie au sein de son parti.jai entendu dire que son dauphin du nom de Dango qui a ete son etudiant a aussi le verbe comme lui.

  • Le 16 octobre 2009 à 12:57, par le gunt En réponse à : Laurent Bado : « Il faut chasser un chef d’Etat qui triche »

    un opposant qui va à la soupe du parti au pouvoir est aussi un tricheur.

  • Le 16 octobre 2009 à 13:35 En réponse à : Laurent Bado : « Il faut chasser un chef d’Etat qui triche »

    Une fois encore, merci professeur. Qui dit mieux ?

  • Le 16 octobre 2009 à 13:57, par Techno En réponse à : Laurent Bado : « Il faut chasser un chef d’Etat qui triche »

    Pauvre Laurent !!!
    Vraiment les intellectuels africains, ceux qui sont comme vous, font la honte du continent. Le seul bon coup d’état que je pense comprendre selon vous est celui qui vous permettra d’être président du Burkina Faso car vous semblez être le seul qui le mérite, éclairé, instruits, modeste, plus intelligent que tous.
    Pourtant votre connaissance ne vous permet pas de vous distinguer économiquement de tous les autres. Il vous faudra être président pour devenir riche car sans le pouvoir vos connaissances ne vous ont pas permis de l’être. Oui le peuple a faim. Donnez-lui simplement du pain et il vous votera. C’est bien simple ça. Les gens vous demandent le minimum, la nourriture. Qu’en sera-t-il s’ils vous demandaient la santé, l’éducation, le travail ? En occident les gens votent ceux qui peuvent leur donner du travail, améliorer leur situation économique. Obama a été élu aux États Unis en partie à cause de la crise économique.
    Arrêtez d’insulter les braves africains, vous n’êtes pas digne de diriger le pays. En occident ce ne sont pas les professeurs en sciences politiques qui sont élus présidents, ni les plus intelligents, ni les plus forts. La réussite en politique ne dépend pas du nombre de diplôme qu’une personne possède.
    Celui qui a écrit ce message n’est pas un instituteur mais admire tous ces instituteurs qui par leur efficacité et amour du métier lui ont permis d’obtenir une bonne éducation. Vous n’avez pas donné plus de choses au Burkina que n’importe quel instituteur du pays. Pourtant vous vous sentez supérieur à eux.
    Il faut simplement arrêter de rêver et comprendre que la vie est plus complexe que vos idées. Si vous parveniez à être président, vous vous enrichiriez et seriez plus dictateur que tous les dictateurs que le continent a connu.
    Que Dieu garde notre pays d’un futur président qui aura vos idées car elles sont bonnes seulement dans la théorie. Dans votre propre famille ou village, les gens ne suivront pas ces idées car ils ne pourront se nourrir, s’émanciper à partir d’elles. Les bonnes idées sont universelles et s’imposent quelque soit la volonté des autres. Vos idées sont seulement bonnes si vous êtes président. En tant qu’homme privé elles sont inutiles. Vous cherchez alors un terrain pour tester vos idées, un terrain d’essai. Si vous ne pouvez pas appliquer vos idées actuellement au Burkina pourquoi ne pas les vendre dans un autre pays ? Sans doute parce que personne ne s’intéresse à vos rêves et ne vous laissera détruire son pays.
    Vous voulez coute que coute être président on l’a compris. Le prochain coup d’état au Burkina vous offrira peut-être une chance mais si elle rate, sachez calculer vos chances de survie. Ca c’est de la politique.

    • Le 18 octobre 2009 à 12:54, par H.B En réponse à : Laurent Bado : « Il faut chasser un chef d’Etat qui triche »

      ecoutes techno, pour avoir reconduit ton message, je commence vraiment à croire que tu as un problème entre les deux oreilles.
      Pour mes amis instits, de grace vous savez vous même, être des gens biens, ne sorter pas le propos de Pr de son context. vous êtes de braves gens, et surtout courageux, reliser sans interuption toute l’interview, vous verrer bien qu’il ne remet pas cela en cause. comme aime à dire le Pr,"je parle à votre intelligence..." . et vous êtes intelligents Mrs .

  • Le 16 octobre 2009 à 16:03, par WOBG-ZANDSANEM En réponse à : Laurent Bado : « Il faut chasser un chef d’Etat qui triche »

    Il a de belles idées mais les propose avec peu de sagesse et beaucoup d’arogance. Pourtant celui qui est humble, sage et courtois peut se faire de bons conseillers pour mieu gerer un Etat. si BADO veut se faire respecter, quil joigne l’intelligence à la courtoisie et à la sagesse.

  • Le 16 octobre 2009 à 17:26, par titi En réponse à : Laurent Bado : « Il faut chasser un chef d’Etat qui triche »

    REPONSE A TECHNO
    J’AI VRAIMENT HONTE DE VOTRE REACTION SUR LES PROPOS DE BADO. JE PENSE QUE VOUS DEViEZ PLUTOT ANALYSER LA VISION DE BADO ET DANS CE KA SIL YA DES CRITIQUEs DE FOND a FAIRE QUE VOUS LE FASSIEZ OBJECTIVEMENT. JE SUIS DECU PAR DE TEL PROPOS A L’ENDROIT DES IDEES DE BADO. QUI LUI AU MOINS MM SIL A DES AMBITIONS PRESIDENTIELLES A KA MM UN PROGRAMME REALISTE ET REALISABLE. JE PENSE COM LUI QUE POUR SE DEVELOPPER IL FO COMPTER SUR SES PROPRES REALITES ET NON PAS CHERCHER TJR A COPIER LES AUTRES. JE VOUS INVITE A POUSSER VOTRE REFLEXION ET A FAIRE DES PROPOSITIONS CONCRETES POUR LE DEV DU BF AU LIEU DE VS CONTENTER DE CRITIQUER LES IDEES DES AUTRES. FAITE DES CRITIQUES OBJECTIVES QUI PEUVENT AIDER A CONSTRUIRE. VOUS DMD CE Q BADO A FAIT PR LE BF POSER VOUS D’ABORD LA QST KS Q JAI FAIS POUR MON PAYS ?

    NB faite pas attention o fo : lisez plutot le contenu, je suis ouvert a la discution

  • Le 16 octobre 2009 à 18:54, par militant du PAREN En réponse à : Laurent Bado : « Il faut chasser un chef d’Etat qui triche »

    Le Pr Bado ne demande meme pas quon le vote Mr techno.Pendant sa campagne il etait le seul politicien qui avait le courage de dire que le peuple peut mettre leur vote dans leur Q. il refuse de promettre des T shirt ect.Qu’il ne soit pas un fin politicien,oui je suis accord avec toi car en politique il faut des coups bas mais homme a un franc parler.Maintenant comparer sa contribution au pays a celle dun instituteur(ou etaientt les autres sous la revolution quand BADO navait pas peur de parler de certaines derives de la revolution ;ou etaient les autres quand le Pr BAD0 et son ami Norbert Zongo critiquait la gestion du pays),je paris quils etaient apres les 3 B(biere,brochette,....) comme la dit le BADO.Critiques les idees du philosophe mais ne critique pas sa personne .

  • Le 16 octobre 2009 à 19:09 En réponse à : Laurent Bado : « Il faut chasser un chef d’Etat qui triche »

    Le Pr BADO avait deja predit la crise financiere qui secoue le monde.il aimait dire que le capitalisme est meilleur au socialisme mais il faudra une troisieme voie qui est son tercerisme.Le pouvoir a commence a copier certaines de ces idees sans lui attribuer cela.Le consommons burkinabe nest pas de sankara comme on le pense mais du Pr BADO."c’est le silence des hommes bien ...."nest pas de Norbet zongo mais du PR BADO.lis son livre paru en 1979 et tu seras plus eclaire mon camarade techno.Homme manque de ruse cest tout, alors que cest necessaire en politique.

  • Le 16 octobre 2009 à 19:43, par kabreandree@yahoo.fr En réponse à : Laurent Bado : « Il faut chasser un chef d’Etat qui triche »

    je suis d’accord avec mon compatriote evitons les intellectueles rates

  • Le 16 octobre 2009 à 20:49 En réponse à : Un parcours

    Professeur de Droit Constitutionnel et Sciences Politiques à l’Université de Ouagadougou, Président du Parti pour la Renaissance Nationale (PAREN), député à l’Assemblée Nationale burkinabé, Laurent Kilachu BADO est un intellectuel bien connu au Burkina Faso. Il est né le 28 août 1945 à Zoula un village de la province du Sanguié. Il fréquenta successivement :

    - L’Ecole primaire catholique de Réo (1952-1958) ;

    - Les Petits Séminaires de Koudougou et de Pabré (1958-1967) ;

    - La Faculté de Droit et des Sciences Economiques d’Abidjan (1967-1970) ;

    - La Faculté de Droit et des Sciences Sociales et Politiques de Bordeaux (1970-1971 puis 1976-1977) ;

    - L’institut International d’Administration Publique de Paris (1971-1972) ;

    - Il est titulaire du CEPE acquis en 1958, du BEPC (1964) du baccalauréat série Philosophie (1967), de la Licence en Droit (1971), du Diplôme de l’Institut International d’Administration de Paris (1972), du Diplôme d’Etudes Approfondies de Droit Public (1981).

    A l’issue de son cursus universitaire, il est engagé dans la Fonction Publique burkinabé en 1973, et a occupé depuis lors plusieurs postes de responsabilités, notamment de :

    - Directeur du Recouvrement et du Contrôle des Risques à la Banque Nationale de Développement (1974-1975)

    - Conseiller Technique du Ministre de la Fonction Publique et du Travail (1975)

    - Directeur de la Fonction Publique (1976)

    - Conseiller Technique du Ministre du Travail et de la Fonction Publique (1978-1979)

    - Conseiller Technique du Ministre Chargé des Relations avec le Parlement (1979-1980)

    - Directeur de l’Ecole Nationale d’Administration (1982-1983)

    - Assistant à l’Ecole Supérieure de Droit (1984-1986)

    - Maître Assistant à l’Université de Ouagadougou (1986)

    - Chef du Département de Droit Public (1988-1991)

    - Commissaire à la Réforme de l’Administration (1994-1995).

    Brillant orateur au langage direct et truculent, très apprécié de son auditoire, Laurent BADO qui aime les débat d’idées pense que le mal qui mine la Société burkinabé « provient moins de l’action des méchants que du silence des justes ». Aussi, logique avec lui-même, « accepte-t-il avec une douloureuse résignation, le choix de son parti pour exhorter le peuple burkinabé à ne pas abandonner les leviers de son histoire aux mains de politiciens « cleptomanes et prédateurs dont l’œil de cyclope ne voit que les centimes et les milliards de la Nation ».

    Pour ce faire, il créé en 2000 le Parti de la Renaissance Nationale (PAREN) qui participe aux élections législatives et aux municipales de 2002, et obtint quatre députés et la gestion de la Commune de Réo chef-lieu de la province du Sanguié.

    Plus tard, le 5 novembre 2005, le PAREN de Laurent BADO, le Mouvement Populaire pour le Socialisme/Parti Fédéral du docteur Emile PARE et quelques autres formations politiques s’unissent en une coalition, « l’Opposition Burkinabé Unie » (OBU), en vue de présenter un candidat unique, crédible, à l’élection présidentielle du 13 novembre 2005. Mais l’OBU éclate, faute d’entente sur le choix du candidat à présenter.

    A travers le programme de son parti, Laurent BADO propose au peuple burkinabé de « réapproprier sans complexe aucun, le modèle négro-africain de vie en société, de suivre une voie originale de développement moderne pour se réaliser et d’accepter les réformes visant la promotion d’un capitalisme populaire, équidistant du capitalisme d’Etat et du capitalisme privé ». Cette voie intermédiaire de développement social, Laurent BADO l’a aussi appelée « le tercérisme », et l’a exposée dans certains de ces écrits : « Au-delà du libéralisme », « l’Alternative », « quel modèle pour l’Afrique », etc…

    Laurent Bado se présente sous la bannière de son parti à l’élection présidentielle du 13 novembre 2005 ; il se classe en troisième position avec 2,48% des suffrages exprimés.

    Le parti de Laurent BADO, le PAREN, au titre duquel il est député à l’Assemblée Nationale comme élu de la région du Centre Ouest, a connu ces dernières années des revers politiques, notamment :

    - La perte de la Gestion de la Commune de Réo suite à la dissolution du conseil municipal en raison de blocage de son fonctionnement ;

    - La démission du parti le 16 juin 2005, de trois députés sur quatre à l’Assemblée Nationale ;

    - La vive polémique qui a opposé le professeur BADO Laurent au docteur Emile PARE président initial de l’Opposition Burkinabé Unie (OBU) à propos d’une affaire de sous (30 millions) que le pouvoir leur aurait remis pour créer une vraie opposition politique au Burkina Faso.

    Intellectuel universitaire et homme politique, Laurent BADO donne dans des activités multiples et multiformes :

    - Personne ressource (Ecole Internationale de Bordeaux de 1979 à 1983 ; Centre Ouest africain de Formation et d’Etudes Bancaires de Dakar de 1984 à 1987)

    - Encadreur et animateur de séminaires au Burkina Faso

    - Nombreux colloques, séminaires en Afrique et en Europe

    - Nombreuses missions en Afrique, Amérique, Europe…

    - Plusieurs résultats d’audits et études, notamment sur l’organisation de l’Ecole Nationale d’Administration et de Magistrature (1993), le renforcement du crédit de l’Etat (1995) ; le système de formation professionnelle des fonctionnaires du Burkina Faso (1995) ; etc…

    Laurent BADO est aussi l’auteur de nombreuses publications dont notamment plusieurs articles de doctrine en droit administratif, science politique, science administrative, droit public économique etc…

    Laurent BADO est marié, père de quatre enfants.

    Statut(s) de la personnalité

    Homme Politique ,Parlementaires

    • Le 17 octobre 2009 à 21:57 En réponse à : Un parcours

      et puis quoi ? cela fait-il de lui un homme de bien ? vous voulez prouver quoi ?

  • Le 17 octobre 2009 à 02:44, par yidantoua En réponse à : Laurent Bado : « Il faut chasser un chef d’Etat qui triche »

    mr le professeur, je suis un de vos admirateurs.mais suite a votre interview,je crois que vous avez derape.je ne suis pas instituteur mais sachez que si tout ces analphabetes avais le niveau des enseignants,la demoncratie allait avancer au burkina.ce qui me surprend sais que vous n ignorer pas que beaucoup d enseignants vous supporte.pourquoi les traiter comme de moins que rien.lors de vos conferences dans les provinces ils sont les plus nombreux a faire le deplacement pour vous ecouter.si vous aviez un contentieux a regler avec un ancien instituteur faite le sans offenser les autres.vous aurez besoin d eux pour les prochaines batailles a venir.merci professeur

  • Le 17 octobre 2009 à 04:56, par Beauregard En réponse à : Laurent Bado : « Il faut chasser un chef d’Etat qui triche »

    Tout le BROUHAHA du Professeur Bado n’engage que lui. Je suis dans l’obligation de lui dire que tout bon programme d’un pretendant a` la magistrature supreme du Burkina, reserve une large place a` l’Education. Elle est la base de tout progres et par consequent il faut compter sur les Instituteurs. C’est bien dommage que le Professeur Bado se refere a`des ancients instituteurs pour prouver que son niveau intellectuel est bel et bien "au top". Je fus Instituteur puis Encadreur Pedagogique et je n’eprouve aucun regret si n’est que le fait d’avoir exerce’ un metier oh combien noble malgre’ l’ingratitude de ces Professeurs qui sont eux memes des produits finis de ces Instituteurs aussi ancients soient-ils.Je constate amerement que le corps enseignant de l’epoque a eu des difficultes pour faire assimiler des lecons de morale comme le " respect, la discipline, la vanite’ et personne pourrait condamner nous, les Instituteurs. En realite’ les connaissances sur la psychologie de l’enfant etaient bien existantes mais exploitees comme il se devait du fait du contexte colonial qui voulait des intellectuels "vite fait sur gaz". La difficulte’ de faire un choix entre batir un homme instruit et homme eduque’ n’existait pas. Professeur Bado est bel et bien un homme hautement instruit et je reste persuade’ que les viels instituteurs auraient pu faire de lui un homme hautement complet. Nous nous excusons de cette defaillance fortement liee au contexte d’avant les independances.

    • Le 17 octobre 2009 à 19:50, par Kili En réponse à : Laurent Bado : « Il faut chasser un chef d’Etat qui triche »

      Les gnes ont peur des propos du professeur Bado parcequ’il dit la vérité mème si lui n’est pas dans le vrai.Tous ses propos visent a renforcer la démocratie mème si lui mème a des attitudes ant-démocratiques.Le professeur Bado dit toujours de bonnes choses pour non seulemlent le Burkina Faso mais toute l’Afrique.Il ya des coups d’Etat salvateurs pour ceux qui détournent l’argent du pepule ou qui patrimonialisent le pouvoir.Attention suivez mon regard...

  • Le 17 octobre 2009 à 16:19, par bogan En réponse à : Laurent Bado : « Il faut chasser un chef d’Etat qui triche »

    je n,aime pas Bado mais l,instituteur
    des temps courant manquent crucialement
    de niveau.un de mes collegues les qualifiait
    souvent de semi instruits ayant des connaissances
    tres generiques et bequilleuses

    • Le 18 octobre 2009 à 21:16, par Arnaud Some En réponse à : Laurent Bado : « Il faut chasser un chef d’Etat qui triche »

      Moi pour ma part la politique en Afrique ne trouve pas sa vrai definition et sa bonne exploitation. Encore moins la democratie. Un pouvoir destinee au peuple devient une entreprise familiale. Le pere gouverne, et cede la place au fils, ou le frere gouverne et cede la place au petit frere. Avec cela on espere voir un developpement. La democratie africaine est considerer comme une entreprise capitaliste et l’opposition, une arme de distraction. Pourquoi je considere l’opposition comme arme de distraction car elle fait la publicite du parti au pouvoir et recoit en retour des dividentes. Et dans tout cela le peuple est isole, manipule, neglige. C’est pourquoi les dirigeants n’hesitent pas a prendre les armes pour faire reigne leur loi. Pour eux le peuple ne merite aucun respect, ni consideration. Et comment peut-on parler de democratie en ce moment. En Afrique les chefs d’etat qui trichent voient leur pays sur la voie de la regression, et ceux qui s’efforcent a faire de la bonne gouvernance voient leur pays sur le chemin de la croissance economique. Je veux juste attirer l’attention de chacun de nous tous car le sors de notre continent est loin de plaire a tous...

    • Le 19 octobre 2009 à 00:29, par Beauregard En réponse à : Laurent Bado : « Il faut chasser un chef d’Etat qui triche »

      Le probleme n’est pas de juger le niveau des enseignants contemporains mais de dire le "pourquoi" de leur niveau et le "comment " ameliorer le niveau general de l’education de nos enfants.Il ne servira pas de medire sans propositions de construire.Tout le mal actuel est jete sur les intituteurs.Malgre tout le nombre d’ecoles publiques ou prives qui ne cesse d’accroitre le "rouleau compresseur du bas niveau" jouit d’un terrain libre et ne peut qu’aller en vitesse.On met l’accent sur le nombre d’enseignants sur leur revenu mensuel qui est incontestablement le mieux fourni si l’on se refere a` la grille salariale de la fonction puiblique categorie pour categorie et on occulte le cote’ formation qui est au rabais de nos jours.Pour votre propre gouverne dans les annees 70 des enseignants ont ete recrutes sans le BEPC mais n’empeche que les resultats etaient bons.On les appelait les 8/20 ce qui veut dire qu’ils ont echoue’au BEPC sans note eliminatoire.Souvenez vous que c’est une chaine et que si vous etes le fruit de cet enseignement et que vous devez enseigner vous ne ferez que perpetuer le systeme(bon ou mauvais).Il faut alors revoir notre copie sinon nos futurs intellectuels auront des jugements ou des resultats sans fondements face aux situations critiques qui ont besoin d’etre solutionnees.

  • Le 18 octobre 2009 à 02:18, par trankil En réponse à : Laurent Bado : « Il faut chasser un chef d’Etat qui triche »

    Moi je pense que ce n’est pas comme sa qu’il faut voir la chose. Actuellement nous sommes entrain de rentrer dans l’année 2010 ou il y aura les élections, nous devons simplement nous unir pour que les choses change. Il y a n’en qui disent que Mr Laurent Bado a eu a prendre de l’argent avec le président, ces vrai il a fauter, mais qui me dis qu’a ta place tu n’aurais pas fait pareil ? Actuellement, l’objectif premier serais d’avoir un nouveau gouvernement. Même on pense qu’ils sont tous pourrie, votons donc pour le moins pourries. Mais même pour cela, il faut que les partie politique puisse se réunir pour avoir plus de chance. S’il faut voter pour un changement pendant qu’il y a 10 ou plus, partie politiques, faut voir que ces mal partie. Il faut qu’il aie des entente et qu’ils se soumettent laissant le plus chanceux d’œuvrer pour le changement.

  • Le 18 octobre 2009 à 03:03 En réponse à : Laurent Bado : « Il faut chasser un chef d’Etat qui triche »

    Vous pensez que Le Pr Bado s’en prend vraiment aux instituteurs,allez voire.je suis instituteur et connais homme pour sa bonte et son intelligence.je ne le hais pas,lui non plus,cela s’appelle une tournure en francais.Les chefs d’etats africains sont malades,cela ne signifie pas quils sont tous malade ;pauvre afrique

  • Le 18 octobre 2009 à 13:07, par h-bado.blogspot.com En réponse à : Laurent Bado : « Il faut chasser un chef d’Etat qui triche »

    BRAVO POUR LE DYNAMISME DU SITE !

  • Le 18 octobre 2009 à 17:55, par Polyglotte En réponse à : Laurent Bado : « Il faut chasser un chef d’Etat qui triche »

    Je complimente tous ceux qui ont fait entendre leurs voix à propos de cette entretien avec le Pr Laurent BADO. Je crois qu’il ne s’agit pas de s’acharner l’un sur l’autre avec des propos de toutes les couleurs. Oeuvrons tous pour l’avènement d’une vraie démocratie dans notre cher Burkina Faso. Que Dieu vous bénisse tous !
    Etudiant burkinabè, faculté de droit université Frederic II de Naples( Italy)

  • Le 20 octobre 2009 à 13:45, par coulsogo En réponse à : Laurent Bado : « Il faut chasser un chef d’Etat qui triche »

    je pense que m. BADO reste l’homme le plus intègre parmis les hommes politiques

  • Le 21 octobre 2009 à 22:02, par tomy to zi En réponse à : Laurent Bado : « Il faut chasser un chef d’Etat qui triche »

    que bado nous dise ce qu’il en fait des 30 millons qu’il a prit avec blaise pour soit disant cree une vraie opposition et puis quand il parle d’ancien instituteurs c’est grace a eux qu’il est maitre assistant de droit pas professeur ce qu’il omet de dire s’il est tres intelligent qu’il aille faire l’agregation on verra ce dont il est capable on admet qu’il a des idées mais de grace respecton le niveau intelectuel des autre les grand hommes (grandeur d’esprit ) ne sont pas ne sont ceux qui ont fait math sup ou autre , mr bado gagnerais a etre plus modeste dans son vocabulaire s’il a toujours des ulisions pour le pouvoir

  • Le 22 octobre 2009 à 11:51, par Lesupreme En réponse à : Laurent Bado : « Il faut chasser un chef d’Etat qui triche »

    sacré Pr Bado. L’histoire du BURKINA vous réserve une très grande célébrité. A l’image d’autres qui t’ont précédé

    Dommage....!!! Mais c’est toujours comme ça.....

  • Le 24 octobre 2009 à 20:43, par NEBIE En réponse à : Laurent Bado : « Il faut chasser un chef d’Etat qui triche »

    mon professeur tu sais en afrique la verité fais toujour mal tu deviendras president de la republique si dieu le veut
    tu es honnete digne et travailleur je rentre au pays bientot

    du courage comme ton colègue LAURENT GBAGBO}}

  • Le 16 juin 2010 à 12:17 En réponse à : Laurent Bado : « Il faut chasser un chef d’Etat qui triche »

    Je crois que certains manquent d’imagination parce qu’ils n’imaginent pas ce qui leurs manque !
    BADO a pleinement raison !
    BADO lui même est instituteur ! non, ou professeur c’est le meme métier !d’ailleurs c’est les instituteurs qui tiennent souvent cest genres de propos !Qui se sent morveux se mouche !!

 LeFaso TV
 Articles de la même rubrique