Groupe ONATEL SA : Une croissance des revenus consolidés1 de +5,5% et une progression généralisée du parc du groupe en 2008
Le Groupe Onatel a réalisé en 2008 un chiffre d’affaires consolidé de 82,35 milliards FCFA, en
progression de 5,54%, grâce principalement aux bonnes performances enregistrées par
l’activité Mobile dont la croissance des revenus a atteint 22,1% par rapport à 2007.
Dans un contexte économique difficile caractérisé notamment par le renchérissement du
coût de la vie ayant affecté tous les marchés de la région, le groupe Onatel a réalisé des
performances opérationnelles significatives grâce à l’innovation de ses offres, à la baisse de
ses tarifs et à ses efforts d’investissement pour l’amélioration de la couverture et de la
qualité de ses réseaux.
Au 31 décembre 2008, le parc Fixe a enregistré une progression de 19,3% avec 145 301
lignes et le parc Internet une croissance de 47,8% pour un parc de 17 378 abonnés, composé
à 37% par des abonnés ADSL.
Avec plus de 977 000 clients à fin 2008, le parc actif du Mobile a enregistré une hausse de
73% par rapport à l’année 2007.
UN RESULTAT NET EN PROGRESSION DE 34,1%
Le résultat net consolidé de l’exercice s’établit à 8,89 milliards de FCFA, contre 6,63 milliards
de FCFA en 2007, soit une hausse de 34,1%. Le bon niveau du résultat du groupe s’explique
par :
La forte progression du résultat net de Telmob qui atteint 15 milliards de FCFA, en
hausse de 15,6% par rapport à 2007 ;
le résultat net de l’Onatel qui atteint son point d’équilibre avec 0,38 milliards de
FCFA, contre un résultat négatif en 2007 de 0,78 milliards de FCFA.
1 Le périmètre de consolidation intègre les données de l’Onatel et de sa filiale à 100% Telmob.
Vos commentaires
1. Le 30 avril 2009 à 13:13, par ded En réponse à : Groupe ONATEL SA : Une croissance des revenus consolidés1 de +5,5% et une progression généralisée du parc du groupe en 2008
Apparemment la privatisation de l’ ONATEL est en train de proter fruit et est une bonne affaire pour l’Etat : 18 milliard rentrés dans les caisses de l’Etat au titre des taxes et impôts.Comme quoi, toutes les privatisations ne sont pas mauvaises. seulement, il faut que les travailleurs profite également du fruit de cette croissance