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Duel entre le Larlé Naba et le prince Abdoul Aziz Congo : "Les choses vont mal dans le royaume de Ouagadougou"

Publié le jeudi 7 juin 2007 à 08h26min

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Dans cet écrit, Prince Congo Abdoul Aziz, fils du Mogho-Naba Kougri, 37e empereur des Mossé, évoque des problèmes au sein de la chefferie traditionnelle, particulièrement dans le royaume de Ouagadougou.

"Les propos tenus par le Larllé Naaba contre moi lors de la dernière campagne des législatives seraient restés sans suite s’ils ne venaient pas alimenter encore le complot fomenté depuis le palais impérial de Ouagadougou contre notre mère, l’impératrice Zarra, et ses enfants, et donner l’opportunité à son auteur d’exécuter la "Fatwa" lancée contre moi, Aziz Congo, depuis la dernière explication houleuse avec notre frère aîné, Naba Baongo, sur des problèmes familiaux.

Les propos tenus par le Larllé Naba Tigré pendant la campagne des législatives 2007

D’abord à Manga, le Larllé a promis aux barons du CDP de s’occuper de moi au cours d’une réunion qui se tenait sur la percée du RPC dans le Centre- Sud. Contre toute attente, un serpent est tombé de la cime de l’arbre sous lequel se tenait la rencontre, semant la panique et augurait de la défaite de ceux que le larllé était venu supporter.

A Ouagadougou ensuite, alors que le RPC faisant son chemin au Kadiogo, le Larllé accompagné de quelques chefs à sa solde s’est investi d’une mission de sauvetage du royaume, repassant sur les pas de notre équipe de campagne pour demander aux électeurs de ne pas honnir le Moro Naaba Baongo en se trompant sur le compte de Aziz Congo qu’il défie en duel au palais impérial.

Décidément, les choses vont mal dans le royaume de Ouagadougou. Comment comprendre que le Larllé puisse me provoquer en duel dans ma cour paternelle ? Il s’agit là d’un plan approuvé pour me faire tomber dans un piège qui se refermerait sur moi à jamais.

Je ne vois pas comme un crime de lèse-majesté, ma candidature au RPC. Je vais rapporter ici au Larllé des faits venant de sa famille à l’époque (1977) et qui n’ont ébranlé ni le Moro Naaba Kougri, ni le Moogho.

Votre grand-père, le Naaba Ambga, a boycotté le RDA pour l’UNDD où votre oncle, Son Excellence Anatole Tiendrébeogo, avait pu obtenir de conduire la liste du Centre.

Le Naaba Kougri n’a pas prononcé de "Fatwa" contre votre grand-père ni même interdit l’accès du palais à votre oncle.

Mieux, il n’a pas considéré l’élection de votre oncle comme une honte pour lui. De même que les trois autres ministres du Naaba qui étaient candidats sur la liste RDA n’ont raconté des insanités sur votre oncle.
Je vais faire un décompte avec vous.

Vous avez, avec votre oncle, Anatole étrenné beaucoup de maroquins de la République - député, ambassadeur, ministre, Secrétaire général de l’OUA et, vous, député durant 20 ans. Si les autres ministres de l’Empereur qui sont allés au Parlement (Baloum, Ouidi, Goughin, Kamsongho jusqu’à vous) y avaient séjourné au moins vingt ans comme vous, vous ne seriez pas député à l’heure actuelle.

Je comprends alors que pour votre pérennité comme représentant de la chefferie traditionnelle au Parlement, vous ne voulez pas de la candidature de Aziz Congo, frère de Naaba Baongo, comme cela est écrit dans le ciel.

La pensée unique que vous professez en ce moment est dépassée. J’en veux pour preuve le syndicat des chefs qui n’est pas unanime avec vous. Sous d’autres cieux, d’autres "Dim Biissi" et rois sont candidats et se font élire sous des bannières différentes des vôtres.

Le complot contre notre mère et ses enfants

On tente d’accréditer au pays la thèse selon laquelle l’impératrice Zarra et ses enfants veulent le trône du Moogho. Allégation fantaisiste quand on sait que le trône n’est pas vacant. Naaba Baongo y a accédé en tant que fils aîné de Naba Kougri.

Les enfants de Zarra qui étaient mineurs au décès de leur père ont, au fur et à mesure qu’ils grandissaient, prouvé leur bonne foi et fait allégeance au Naaba. Ils ont tenté d’établir des relations fraternelles avec lui par des visites régulières et des échanges sur certains problèmes familiaux. Mais rien n’y fit. Une suspicion inexplicable a eu raison de toutes nos bonnes intentions.

C’est ainsi que, profitant d’une explication houleuse entre lui et nous au sujet d’un de nos frère soldat en poste à Dori, j’ai été mis au banc de la société moagha pour avoir tenté d’empêcher mon frère, le Naaba, de se retirer dans ses appartements, sabotant du coup la réunion familiale à laquelle ne participait aucun dignitaire du royaume. On m’a accusé d’avoir serré les coles du Naaba. Sur ces faits mensongers, le Larllé Naaba porta plainte contre nous à la Sûreté nationale. Il nous accusa d’avoir voulu tuer le Moro Naaba. L’enquête est restée sans suite.

Notre frère soldat avait conservé sa chambre avec l’accord du Naaba dans la maison libérée par les enfants de Zarra. Le Naaba l’en a expulsé, livré à la gendarmerie affirmant ne pas le connaître. (Cet inconnu était venu casser une porte chez lui et l’avait menacé). Notre frère avait pourtant été rappelé de Dori au chevet de sa mère qui souffrait d’un cancer assez avancé et décédera peu après.

Dans toutes les familles, on rencontre souvent les mêmes difficultés pour régler certains problèmes.

Nous avons vu notre père vivre et prendre soins de ses frères, sœurs, cousins, cousines et autres. Aujourd’hui il faut des intermédiaires entre le Naaba et ses frères, à telle enseigne que le Larllé peut, par délégation, s’occuper des problèmes de la famille du Moro Naaba.

Nous ne l’acceptons pas comme tel, puisque notre famille compte encore quelques grands parents et oncles que le Naaba est tenu d’écouter.

Enfin, la campagne haineuse contre notre mère vise à camoufler certains actes graves commis au départ. On échafaude donc des histoires que le commun des Mossis ne pourra pas vérifier à la source.

Je m’en vais donc dire ceci au Larlé Naaba : C’est votre grand père, le Naaba Anbga, que Naaba Koougri a chargé de demander la main de ma mère. Et ce sont votre autre grand- père Ouédraogo Tibo Bernard et le docteur Issoufou Joseph Conombo qui sont venus chercher ma mère à Bobo Dioulasso pour le mariage. Comment pouvez vous nous détester gratuitement ?

Le mariage s’est fait aux conditions suivantes :
- que ma mère demeure musulmane et puisse prier ;
- que ses enfants soient baptisés dans l’Islam ;
- que ma mère ne s’occupe pas des tâches coutumières qui lui seraient dévolues dans la pratique animiste.

Pour terminer, mon père et ma mère célébrèrent leur mariage à Ouagadougou, devant le maire Joseph Ouédraogo, sous le régime français de la communauté de biens. Après réception et bal sur l’aire de l’aéroport de Ouagadougo, le Moogho s’ouvrait au monde.

"Pourquoi tant d’animosité ?"

Ils acquirent des biens ensemble ne venant d’aucun héritage, certains étaient au nom de ma mère avec aussi des actions dans des sociétés de la place.

Ma mère était absente de Ouagadougou à la mort de mon père. Rentrée en catastrophe de Paris ou elle s’était rendue au chevet de sa mère malade, elle ne pu que récupérer quelques effets personnels pour se retirer chez sa mère qui devait nous quitter aussi.

Ma mère n’a pas retrouvé son acte de mariage ainsi que les diplômes de BEPC et de certificat d’études primaires de mes aînés. De source bien informée, le feu ne serait pas étranger à cette disparition. Pourtant nous sommes accusés de demander le partage des biens de Naaba Kougri.

On n’a même pas pensé à reloger ma mère. Quand vint le projet ZACA qui devait emporter la maison de ma grande-mère maternelle, nous avons appris que les plus hautes autorités de notre pays avaient pensé à elle en lui attribuant une villa. Mais la voie choisie pour la remise de ce don a été obstruée jusqu’à ce jour.

L’ouverture de Naaba Kougri au monde et à la modernité a été battue en brèche. Et tout chef, à quelque niveau qu’il se situe, soupçonné d’un quelconque égard pour Zarra et ses enfants perdrait son bonnet.

Telle est la réalité que nous vivons. Tout le Moogho est ainsi invité à nous haïr, selon la volonté des Naaba Baongho et Larllé.

Je demande donc au Larllé Naaba de me montrer dans tout ce que j’ai écrit la faute contre le royaume mossi de Ouagadougou pour qu’il prenne la tête d’une croisade destinée à nous discréditer partout. Pourquoi tant d’animosité ?

Vous n’êtes pas de notre famille. Alors restez à votre place !

Tout le monde voit bien qu’il s’agit ici de problèmes de famille entre le Naaba Baongo et ses frères qui ne demandent qu’a être solutionnés dans la discrétion et selon les règles transmises au sein de notre famille.

Votre attitude venant d’un tenant de la tradition qui ambitionne de la pétrir dans la modernité ne s’explique pas quand on pense que certainement vous avez outre- passé votre rang protocolaire et vos prérogatives pour des affaires qui échappent aux "tombes royales" dont vous êtes le gardien. Oubien alors vous considérez vos autres collègues ministres de l’ l’empereur comme acquis à la cause de Zarra et ses enfants, eux qui ont pourtant la sagesse d’éviter les confusions.

Jusque-là, je me suis abstenu de verser dans une polémique stérile. Mais votre acharnement m’amène à exposer ici les faits crus pour aider tous ceux qui voudraient comprendre ce qui se passe et pour vous demander d’arrêter là vos affabulations qui sont des contrevérités.

Prince Congo Abdoul Aziz
Fils de Sa Majesté le Mogho-Naba Kougri
37e empereur des Mossé

P.-S.

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Vos commentaires

  • Le 7 juin 2007 à 09:23 En réponse à : > Duel entre le Larlé Naba et le prince Abdoul Aziz Congo : "Les choses vont mal dans le royaume de Ouagadougou"

    Voila ce qui en découle quand la chefferie traditionelle se mêle de la politique. On finit par laver le linge sale hors de la maison. Ca ne fait honneur à personne.

    • Le 7 juin 2007 à 13:10, par Le Fou du Desert En réponse à : > Duel entre le Larlé Naba et le prince Abdoul Aziz Congo : "Les choses vont mal dans le royaume de Ouagadougou"

      Bonjour ; ecoutez les freres c’est pas vous : c’est Blaise Compaoré qui a fait tout ca ! Que fabrique un chef traditionnel dans une Assemblée Nat.? Allez nous presenter son bonnet d’administrateur traditionnel ? Ne t’en fait pas cher Aziz, l’heure va bientôt sonner, les REVOLUTIONNAIRES (je parle de la jeunesse instruite, assoifée, affamée, sous-employée, mal logée... en auront mare et paf...
      Toi aussi si tu veux faire ta politique, fais la mais ne fait pas usage de ton rang social : tu cris sur tous les toits que t’es prince ; hein on s’en fou...faut convaincre ton electorat que t’es d’un bon bord politique, que vous avez une bonne stratégie de developpement... et tu veras.

      • Le 7 juin 2007 à 16:13, par un jeune samo En réponse à : > Duel entre le Larlé Naba et le prince Abdoul Aziz Congo : "Les choses vont mal dans le royaume de Ouagadougou"

        J’interpelle toute la fammille moaga de se demarquer de toute cette situation politique car celà ne conduira à rien si le Larlé Naaba aussi aura à réagir. Ne maîtrisant pas la tradition Moaga je suggère à chacun de mettre de l’eau dans son vin et repartir sur de nouvelles bases. La politique ne sugnifie pas la guerre mais une idéologie. Ne pas appartenir à un même bord politique ne signifie pas non plus de mélanger la tradition à vos convictions politiques. Le Moro Naaba dispose certainement des sages qui puissent règler des problèmes familiaux au lieu de vendre la mèche.

        Je propose aux différents protagonistes de laver le linge sale en famille.
        (Je ne suis pas mossi mais plutôt leur maître qu’ils n’ont pas le choix de m’obéir. Je suis vraiment consterné si célà va paraître sur la place publique. Monsieur le Larlé Naaba je vous en supplie ne réagissez pas à la presse mais règler célà entre vous en tant que dignitaires de la société Moaga. Je parie que si jamais célà va perdurer nous assisterons à un catastrophe que vous avez longtemps su maintenir.)

        • Le 14 juin 2007 à 11:34 En réponse à : > Duel entre le Larlé Naba et le prince Abdoul Aziz Congo : "Les choses vont mal dans le royaume de Ouagadougou"

          Oui mon frere je suis carrant même tres c... J’attaque Blaise ? C’est pas grave : des Burkinabes, lui aussi en a attaqué et même... Et le Larlé dans tout ca pour qui et avec la couverture de qui agit-il ? Les chefs traditionnels ne devraient pas entrer dans la politique politicienne. Evitons l’amalgame parce que l’issue c’est le chaos. Tu me parle de l’engagement des confreries musulmanes aupres de Wade au Senegal : "lorsque la masse vient d’en haut, c’est le sauve qui peut". Imitons les bons exemples de de stratégie de developpement, evitons à notre pays les engagements politiques de certains individu : les religieux et les traditionnels. Ces deux entités sociales constituent des forces catalysatrices des differentes divergences que la societé degage. Elles doivent rester neutres et viser SEULEMENT l’interêt superieure de la Nation.
          Merci d’avoir traité de certains noms(carrant, tres carrant...) l’inconnu que je suis pour vous.

      • Le 9 juin 2007 à 12:54, par wouloufatoo En réponse à : > Duel entre le Larlé Naba et le prince Abdoul Aziz Congo : "Les choses vont mal dans le royaume de Ouagadougou"

        Toi tu dois être carrant alors là très carrant....tu attaques blaise, c’est ton point de vue que ce soit partagé ou pas on en est pas là. mais de la à dire qu’est ce qu’un chef fou à l’A.N, et vouloir que ce soit disant prince partent sur le terrain politique, je trouve qu’il ya contradiction....
        ministres, princes, naba, ils ne sont pas au dessus de la lois et sont des citoyens comme tt le monde.ils ne sont pas des supers hommes, ils peuvent librement s’exprimer sur les questions de societés, mais eviter tant que ce peut le terrains politiques.
        au sénégal, les dignitaires réligieux sont des griots de wade actuellement, et tt ça à cause dela panse.le gombo frais des corompus.

    • Le 7 juin 2007 à 17:27, par bambino En réponse à : > Duel entre le Larlé Naba et le prince Abdoul Aziz Congo : "Les choses vont mal dans le royaume de Ouagadougou"

      Je suis vraiment indigné de voir que des personnes se livrent à des diatribes inutiles.
      Moi je ne suis qu’un observateur et ne me sent aucunement impliqué, mais force est de constater que ce qui se passe actuellement au palais royal des Mossé de Ouagadougou est vilain et dégoutant. La république s’en fout de cela mais il faut savoir que des problèmes de famille ne doivent pas être exposés dans la rue et doivent être reglés autrement. Je me demande ce que que les ministres de la culture et de l’administration térritoriles font pour ne pas regler cela ? Je constate et je prédis que d’ici peu si vous ne prêtez pas garde, les chefs traditionnel qui sont versés dans la politique sans retenue risquent de discréditer la chefferie traditionnelle, et pour le plateau mossi cela sera dangereux. J’ai déjà vu un petit Naba (Nabion) se faire giffler par une serveuse de bar pour n’avoir pas su se retenir de toucher les fesses de la fille au plateau Sonar en face de l’aéroprt.
      Les bonnets et pouvoir sont distribués au hasard et à tout bout de champ.
      A bonne entendeur salut

      • Le 7 juin 2007 à 22:37, par Lucie OUEDRAOGO En réponse à : > Duel entre le Larlé Naba et le prince Abdoul Aziz Congo : "Les choses vont mal dans le royaume de Ouagadougou"

        La situation est grave. Ou sont passes Basile GUISSOU et Michel OUEDRAOGO ? Ils doivent donner leurs points de vue par rapport a cette crise qui secoue la chefferie traditionnelle a cause de la politique. D’abord c’est un prince de la cour royale de Kokologho qui interdit l’acces de cette cour a des hommes politiques, ensuite deux chefs gourmatche nous livrent leurs divergences dans les journaux et la derniere en date se passe carrement dans le royaume des mosse de Ouagadougou.

        Le constat que je fais c’est que tous ces chefs qui sont entrain de casser la barraque sont tous "instruits". Ils ont eu la chance d’aller a l’ecole contrairement a la majorite des chefs traditionnels de notre pays. Et malheureusement c’est precisement eux qui sont entrain de detruire cette institution traditionnelle mise en place par nos ancetres pour des considerations personnelles et egoistes.

        Ce qui est sur et certain, vous, chefs traditionnels toutes tendances confondues, vous ne representez plus rien aux yeux d’une grande majorite des populations que vous etes sense representer. Vous n’etes rien parce que vous memes vous ne vous respectez pas. On ne peut pas respecter une personne qui ne se respecte pas elle meme surtout quand cette personne dit etre chef. Vous nous fatigue avec vos querelles incessantes et steriles dans les journaux.

        Je crois qu’il ya une association de chefs coutumiers. Vous avez vraiment interet a organiser un semaire des chefs traditionnels par region et ensuite au niveau national pour vous pencher sur le theme "Role et place de la chefferie traditionnelle dans le processus democratique au Burkina Faso". C’est un conseil d’amis. Cette noble institution qui jadis etait respectee ne represente plus rien. Vous n’avez pas su consolider les acquis de la chefferie traditionnelle que vous ont legues nos ancetres.

        • Le 8 juin 2007 à 06:03, par Le guibal En réponse à : > Duel entre le Larlé Naba et le prince Abdoul Aziz Congo : "Les choses vont mal dans le royaume de Ouagadougou"

          Le professeur Laurent Bado avait proposé qu’il y’ait un statut du chef coutumier au burkina.Qu’ils servent de relais de l’administration publique vers les administrés et qu’il leur soit interdit d’appartenir officiellement à un parti politique.C’est une bonne idée, mais comme il n’est pas dans l’interêt du CDP de perdre toutes ces têtes couronnées qui lui offre le batail électoral la loi du professeur n’est pas passée malheuresement.

      • Le 8 juin 2007 à 17:35, par Alkatraz En réponse à : > Duel entre le Larlé Naba et le prince Abdoul Aziz Congo : "Les choses vont mal dans le royaume de Ouagadougou"

        Elle n’esxiste même plus cette chefferie, ils ne sont que des épouvantail et c’est dommage.
        Vous comprenez pourquoi la revolution les avait mis à l’écart, c’était pour qu’il reste à leur place et soient toujours respectés. Bonnet ? on s’en fou !!!!!

        • Le 9 juin 2007 à 13:01, par wouloufatoo En réponse à : > Duel entre le Larlé Naba et le prince Abdoul Aziz Congo : "Les choses vont mal dans le royaume de Ouagadougou"

          on a vu des chefs qui ne pouvait plus mobiliser un rat tant ils se sont fait ridiculiser sur le terrains politique. plus aucun respect.... ils devaient se contenter des enveloppes bien que ce ne soit pas non plus une bonne pratique, au moins la cours ne sait pas ce qu il ya dans l’enveloppe et ils peuvent se cacher derrière le fait que c’est une aide et non une façon de corrompre.

          • Le 11 juin 2007 à 17:52, par BOMBSAD En réponse à : > Duel entre le Larlé Naba et le prince Abdoul Aziz Congo : "Les choses vont mal dans le royaume de Ouagadougou"

            cette histoire de chefferie dans la politique est vraiment écoeurante. Quel jeu ou quelle politique le Larlé est en train de mener au sein du royaume Mossi ? Est il mandaté ? ou sur quoi ( qui) il s’est adossé pour semer cette zizani ? Soyons vigilants et sachons raison garder pour ne pas nous laisser divertir par des théseurs libres qui veulent nous dérouter ! la société Mossi a tjs été organisée et disciplinée. Nous connaissons la honte et en bon moaga ne faisons pas le jeu des politiciens. Je propose que tout bon chef voulant faire de la politique démissionne ou renonce au bonnet.

            • Le 12 juin 2007 à 16:49 En réponse à : > Duel entre le Larlé Naba et le prince Abdoul Aziz Congo : "Les choses vont mal dans le royaume de Ouagadougou"

              Aziz, tu sais quoi ?? T’as fait l’école, Crée une SARL au lieu de t’appitoyer sur des titres inutile de prince. Ne cherche pas à te faire des partisans par cet écrit. Je comprend bien ton sentiment d’injustice et en tant que défenseur des droits humains cela me changrine que le Larlé vient à atteindre ta dignité et te profère des menaces.
              Sinon écoutes, Sankara a semé la revolution et quoique aujourd’hui en hybernation cette revoution se reveillera et alors naaba, prince, dimas, tout n’aura plus de sens. Alors basta.
              Bats toi, et tu te fera une place à l’ombre sous ce chaud soleil du Burkina et arrete de t’accrocher à de conneries de titres et autres considérations. Il yavait des princes en France, tu sais où sont ils partis après 1789 ??? Tu connais l’histoire ou quoi ?, tu m’enerves Zouzou( AZIZ), libère toi man.
              Peace Heron.

            • Le 12 juin 2007 à 17:41, par SOOMBO En réponse à : > Duel entre le Larlé Naba et le prince Abdoul Aziz Congo : "Les choses vont mal dans le royaume de Ouagadougou"

              slt et voila encore ses monsieurs de la chefferie traditionnelle nous mettre la honte, vraiment jai honte de ce q jai lu.on doit simplement prié ses monsieurs de se retiré de la scène politique du moin publiquement car si cela continu j ne voi pas comment les gens pouron les respecté franchement ils doivent se retiré de la chose politique.mai que voulé vous quand le CDP les utilise comme il veu et qu’ils accepte jouer le jeux just pour largen,ces genre de situation seront toujours vecu ;

              • Le 14 juin 2007 à 11:01, par tangba En réponse à : > Duel entre le Larlé Naba et le prince Abdoul Aziz Congo : "Les choses vont mal dans le royaume de Ouagadougou"

                Salut,

                J’ai vraiment honte pour vous, honte pour la chéferie traditionnelle et honte pour ce déballage du Naaba Congo. Si vous ne pouvez pas régler cette affaire entre vous frères, invitez-vous sur le terrain neutre l’ASFA-Y par exemple pour en finir avec cette affaire !
                Quelqu’un a dit plus haut que d’ici 20 ans la chéferie traditionnelle risque de disparaitre, je trouve que 20 ans c’est trop ! dans 5 ans s’ils ne se réssaisissent pas ce sera la catastrophe.
                Tenez-vous tranquille ! ils ne sont pas versés dans la politique seulement ; à l’hémicycle ils sont peut être mal perçus mais je trouve celà normal car ils sont avant tout des citoyens du Burkina, par contre quand je croise un Naaba bien vêtu dans un bar ou dans une buvette entrain de descendre des dizaines de bouteilles de flag,tripotant des fesses des filles de bar, c’est déplorable et honteux.
                Si vous ne pouvez plus respecter vos traditions, de grâce cachez-vous un peu car vous donnez l’impression d’être de mauvais exemples pour vos postérieurs.
                Je ne suis pas contre que vous buviez du vin, mais au moins diluez-le !

                Bon vent à vous !

                • Le 14 juin 2007 à 14:32 En réponse à : > Duel entre le Larlé Naba et le prince Abdoul Aziz Congo : "Les choses vont mal dans le royaume de Ouagadougou"

                  je suis désolé pour ce qui est arrivé au mooro et son entourage et surtout au royaume des moosses. la polemique entre le princes et le larlé n’aurait pas existé s’ils n’avaient pas prété le flan. les ches coutumiers devraient resté à l’écart de la politique et joués plutôt le role de conseillé que de vouloir eux-meme rentrés dans l’arène politique. les consequences sont visibles partout où les chefs coutumiers ont pris le devant de la politique. je touve qu’il n’est pas tard pour celui qui veut mieux faire. retirez-vous de la scène politique et vous aurez le respect et la dignité d’entan.
                  tlk

  • Le 7 juin 2007 à 09:26, par sawa En réponse à : > Duel entre le Larlé Naba et le prince Abdoul Aziz Congo : "Les choses vont mal dans le royaume de Ouagadougou"

    On vous dit qu’il ne faut pas mélanger la tradition seculaire de la chefferie et la masturbation pécuniaire de la politique et vous n’ecoutez pas.
    Vous avez courru comme des mouches attirés par les excréments vous incrire au CDP pour avoir un trone de deputé.

    Vous voila aujourd’hui a vous ridiculiser dans des engueulades sur la place publique comme des prostitués.

    Depuis quand est ce que les "Rois" se battent en publique comme des chiffonniers ?

    Vos ancetres auraient honte de vous.

  • Le 7 juin 2007 à 09:40 En réponse à : > Duel entre le Larlé Naba et le prince Abdoul Aziz Congo : "Les choses vont mal dans le royaume de Ouagadougou"

    Ah ces mossè. Un de mes professeurs (un chameau, pardon un samo) avait l’habitude de dire qu’ils
    aiment tous se faire appeler prince. Je suis bien tenté de le croire. Le naam, quand tu nous tiens !...Sanwé !

  • Le 7 juin 2007 à 11:01, par surcula En réponse à : > Duel entre le Larlé Naba et le prince Abdoul Aziz Congo : "Les choses vont mal dans le royaume de Ouagadougou"

    Voici bien ce que je craignais de l’implication des chefs traditionnels et surtout de ceux des grands royaumes dans la politique. Je ne suis pas mossi, je ne connais pas grand chose de l’histoire de la chefferie traditionnelle pour apprécier de la véracité ou non des propos du prince. Mais j’appelle ça une HONTE POUR LE MOGHO, tout camp confondu !
    Il n’est pas trop tard pour se ressaisir. Bonne chance au Faso !

  • Le 7 juin 2007 à 11:17 En réponse à : > Duel entre le Larlé Naba et le prince Abdoul Aziz Congo : "Les choses vont mal dans le royaume de Ouagadougou"

    Apres le royaume du Goulmou, voici que la politique politicienne divise le grand royaume mossi. On a toujours dit qu’il n’etait pas de l’interet de la chefferie traditionelle de descendre dans le bourbier de la politique politicienne MAIS les "soldats" du regime Compaore soutiennent le contraire... Il faut qu’ils s’expriment sur cette situation.

    Dans cet article, il faut comprendre que bien au-dela des problemes familiaux c’est bel et bien la politique qui divise la chefferie traditionnelle.

    D’autres situations actuelles et non encore revelees au grand public ne manqueront pas ! La politique fragilisera encore plus la chefferie traditionnelle et ce sera la faute de tous ceux qui soutiennent a cor et a cri la presence des bonnets rouges en politique. La n’est pas leur place et il faut qu’ils "quittent dans ca".

  • Le 7 juin 2007 à 11:41, par Amkoulel En réponse à : > Duel entre le Larlé Naba et le prince Abdoul Aziz Congo : "Les choses vont mal dans le royaume de Ouagadougou"

    Je suis deçu de ce que je viens de lire, j’en suis même consterné car j’ai toujours considéré la société Moaga comme la plus discrète et la plus discipliné. S’il faut resoudre des problèmes de famille dans la presse je croit que c’est le comble, quand on parle du Mogho Naaba, tout Burkinabè se reconnait en lui et fière de lui, mais hélas la politique à eu raison de leur clairevoyance et c’est dommage.
    Il est impératif que la chefferie traditionnelle se demarque de la politique sinon dans 20 ans à coup sure nous ne parlerons plus que de roitelets sans bonnet. A bon Roi.........

  • Le 7 juin 2007 à 16:43, par Siloé En réponse à : > Duel entre le Larlé Naba et le prince Abdoul Aziz Congo : "Les choses vont mal dans le royaume de Ouagadougou"

    Soyons tous très vigilants. Hier ça se bagarrait dans le Gulmu ; aujourd’hui c’est dans le Moogho. Demain ça sera où ?

  • Le 8 juin 2007 à 23:24 En réponse à : > Duel entre le Larlé Naba et le prince Abdoul Aziz Congo : "Les choses vont mal dans le royaume de Ouagadougou"

    Mr le prince Congo vos propos sont déshonorants car vous même d’abord vous parlez de la discrétion, je ne vois en auncun cas ce que le mariage de votre mère vient chercher dans des querrelles politiques. Êtes-vous le seul fils de l’imperatrice ? pourquoi vos ainés ne parlent et c’est vous qui avez la grande gueule de verser le visage du royaume !!!!! ecoutez que ce soit le Mogho ou le Larlé vous devez faire gaffe à vos propos !!!!!sachez que le royaume mossi est aussi bien organisé que les bonnes organisations, mais ces genres de propos et de désorganisation,ont commencé à naitre depuis que les chefs traditionnels se sont mis au devant de la politique, c’est pour vous dire que vous devez savoir garder certains secrets !!!!!vous parlez de l’animosité du Larlé, c’est ca ? c’est vraiment honteux que vous soyez prince !!!!!si le Mogho pouvait vous retirez ce titre ca serait mieux !!!!!comment un prince peut il tenir ce genre de propos sur un ministre du Mogho. sachez que sans ces ministres là, votre titre de prince est zero.ok ? Quand à vous sa majesté le Larllé Naba, vous voyez deja les conséquences visibles de la politique sur la chefferie,c’est un affrontement très direct entre vous et le prince !!!! vous n’avez pas votre place à l’AN, soyons réaliste, repartez à la BIB,c’est encore mieux,vous aurez plus de consideration qu’à l’AN.A mr les dirigeants du CDP,vous avez mis le feu maintenant, c’est mieux de l’eteindre très vite !!!!!que Dieu bénisse le Mogho et son royaume, et en particulier le Bf !!!!!!

    • Le 12 juin 2007 à 01:23, par Kahhma En réponse à : > Duel entre le Larlé Naba et le prince Abdoul Aziz Congo : "Les choses vont mal dans le royaume de Ouagadougou"

      Faites moi rire, c’est vous qui croyez qu’il y a encore des secrets du royaume. Lors de certaines sortie du Larlé, moi j’ai compris que le Cheval de la princesse Yenega elle même était venu la nuit casser la calebasse des secrets et de la honte. Tout le monde sait que c’est un désordre politico-financier. Et dire que c’est maintenant les nabas qui font la cour au trône de Ziniaré. Si vous venez dans la politique que ce soit pour les meeting ou à l’assembée laissez vous berrets de chefaillon dans vos cours. Quand le Mooro Naba a voulu jouer au foot un il a changé de chapeau.
      Vos rogolades de famille ne nous regardent pas. C’est votre problème. Vous pouvez venir dans la politique mais de grace laissez vos petits chapaux dans vos cours.

  • Le 9 juin 2007 à 19:50, par Personne En réponse à : > Duel entre le Larlé Naba et le prince Abdoul Aziz Congo : "Les choses vont mal dans le royaume de Ouagadougou"

    Ce n’est que le debut !Apres la prees, ils se serreront les cols a coup sure.
    Y en a marre de ces histoires de "rois" qui n’existent actuellement que pour le prestige.
    Les bonnets sont distribués comme... des berets militaires ! Chacun, dans son petit coin se dit Naba.
    Bittou, tenkodogo, Fada, Ouagadougou, kokhologo,etc. A qui le tour ?
    Apres les attaques dans la presse, ils iront jusqu’a se porter la main (c’est avec plaisir que je ramasserai des bonnets), j’en suis sure.
    Sachez aussi que le Larllé Naba en fait trop...jusqu’a l’organisation de meetings politiques devant la cours nabale. qui dit mieux ?
    Le grand Larllé Naba Anga-reposez en paix-doit avoir des insomnies !
    Chefferie traditionnelle et politique=desordre.
    Pour mettre fin a toutes ces derives, mettez vos armées en marche. Un point c’est tout.

  • Le 12 juin 2007 à 02:17, par Aboubakar En réponse à : C’est votre problème

    Chers compatriotes, je voudrais vous demander de bien vouloir vous contenir dans cette discussion. En fait moi j’essaie de me contenir mais je n’arrive pas. Au début de cette histoire (cela fait déjà un bon bout de temps), j’ai pensé que celui qui a écrit était un fou. Mais à la fin j’ai compris que ce oui c’était un fou. Mais aussi et surtout qu’il n’était pas le seul. Vous êtes vraiment devenus fous.
    Vous profiter de vos bonnets de chefaillon salir notre climat politique et honnir nos institutions et non content de cela vous venez troubler notre quiétude avec vos querelles de prostitués. Il faut arrêter de nous divertir. Nous avons autre chose à faire que de vouloir colmater les brèches d’une royauté. Vos pères ont fait ce qu’ils ont pu, il en ont récolté des sujets qui se mettent à vos ordres et satisfaire vos désir. Vous ne pensez pas que c’est exagéré de demander à notre démocratie et à notre nation entière de s’occuper de disputes de femmelettes et « hommelets » . Le Burkina refuse de soumettre sa démocratie (bien que, et surtout bacale) à votre Nabacratie. Nous n’avons rien à faire de princes qu’ils soient légitimes non légitimes, légitimés ou hués, ou de coutumier conscient ou pas de sa grandeur. Je n’ai rien contre vous dans le débat politique. Ce que je refuse, que vous profitiez de vos bonnets pour en faire monnaies politiques. Laissez vos bonnets dans vos cases rondes laissez vos titres et venez sur la place comme tout le monde. Ce n’est pas ce que Azziz raconte qui est honteux, c’est la prostitution de nos institutions coutumières aux causes mercantiles et politiciennes qui sont des bassesses.
    Le Morho, le prince, Le Larlé est larlé pour sa cours ses sujets et le royaume ; une fois dans nos chemins proto- nationaux, il est Gérard, Karim, Tiiga ou autre. Les limites du royaume sont bien connues. Elles sont à l’intérieur des limites nationales. Arrêtez de nous enfumer.
    Nous sommes certes reconnaissant à vos pères pour leur collaboration avec les autres chefs des autres groupes ethniques dans la construction de notre Faso. Oui gloire à la mémoire de vos pères, mais honte à vous. Ne dévergondez pas nos institutions et notre démocratie.
    J’apprécie bien le sens de noblesse du Mooro dans sa distance (apparente ou réelle) d’avec les questions politiques. Je serais content si sa queue pouvait aussi se tenir tranquille. Vous vous ne pensez qu’à vos titres et à votre royauté, nous nous pensons d’abord à notre nation, sa démocratie et sa paix. Cher compatriotes, vous vos scandalisé parce que c’est honteux de lire ces choses ; alors dites vous que c’est autant d’impudiques que vous sortez voter parce qu’ils ont un bonnet. C’est vous les impudiques.

    • Le 12 juin 2007 à 16:53 En réponse à : > C’est votre problème

      Comment lefaso.net a-t-il pu laisser passer un tel message ?

      • Le 12 juin 2007 à 21:29, par Casimir En réponse à : > C’est votre problème

        Parce que celui qui a dit ces choses est aussi dépassé que vous, mais il ne pense pas forcement comme vous.

      • Le 13 juin 2007 à 17:11, par Koudougou En réponse à : > C’est votre problème

        Pouvez-vous vraiment dire ce que ce message a de faut ou de mauvais en dehors de la vérité et de l’indignation ?

      • Le 23 juin 2007 à 14:57 En réponse à : > C’est votre problème

        Au nom de la liberté d’expression. Et alors ?

  • Le 23 juin 2007 à 14:56 En réponse à : > Duel entre le Larlé Naba et le prince Abdoul Aziz Congo : "Les choses vont mal dans le royaume de Ouagadougou"

    Bonjour à tous, Chers Compatriotes burkinabé,

    Ce débat m’inspire la réflexion suivante :
    La chefferie traditionnelle peut, à la fois constituer soit une force "obscurantiste" comme l’a soutenu le Capitaine Thomas SANKARA dans la Révolution d’août 1983, soit, au contraire, constituer un bon levier et un relais indispensable pour la répercussion de certains actes de développement au niveau local. Son Excellence Monsieur Le Président actuel, Blaise COMPAORE a, peut-être, naïvement cru, à cette deuxième hypothèse. De fait, ceux-ci peuvent siéger à l’Assemblée Nationale. Personnellement, je vois, aucun inconvénient, car ils font partie intégrante du peuple burkinabé. Mais leurs actions doivent être inéluctablement orientées vers le bien et pas le mal, vers tout ce qui peut favoriser le développement et pas le contraire, même au détriment de leurs intérêts.
    Or, en réalité, ces prétendus princes ou chefs sont d’abord attachés à leurs intérêts égoïstes. Etant moi-même prince, j’ai vite compris qu’il fallait se débarrasser de ce carcan, vide de sens en toute hypothèse, et de m’affranchir des vicissitudes obscurantistes et rétrogrades qui y sont attachées, qui pourraient, le cas échéant, empêcher des actions de développement dans les villages et "royautés". C’est pourquoi je regrette que M. Abdoul Aziz CONGO "signe" son "message" avec le boulet de "prince". De la sorte, je crains fort qu’il s’excluse lui-même du processus démocratique républicain qui n’a rien à voir avec la royauté. Ce sont deux choses différentes et M. CONGO devra faire un choix afin de rendre son argumentation et sa recherche de compassion populaire beaucoup plus pertinente. Ange, France.

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