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Université numérique de Ouagadougou : 50 étudiants au départ, 18 admis au final

Publié le jeudi 8 février 2007 à 07h36min

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Des étudiants de la première promotion de l’Université numérique francophone mondiale de Ouagadougou (UNFM) ont reçu leurs diplômes le mardi 6 février 2007 au centre UNFM de Ouagadougou. L’événement
a aussi servi de cadre pour la signature de partenariat entre l’Université
de Ouagadougou et l’UNFM.

C’est par la signature d’un accord-cadre de partenariat pour le développement de la technologie numérique et l’enseignement à distance entre l’Université de Ouagadougou et l’Université numérique francophone mondiale (UNFM) qu’a débuté la cérémonie de remise de diplôme à la 1ere promotion des étudiants de l’UNFM.

Par la signature de cet accord-cadre, l’Université de Ouagadougou représentée par sa présidente, Odile Germaine Nalcoulma et l’UNFM par son président, Jean-Didier Vincent, ont voulu régulariser une collaboration qui dure depuis quelques années.

En outre par ce partenariat, d’une durée de quatre ans, les deux institutions ambitionnent de créer un site propre à l’UNFM, d’élaborer des visioconférences, des documents pédagogiques, des enseignements à distance et sur mesure et de collaborer pour la reconnaissance internationale de leurs diplômes.

Le second volet de l’événement a consisté à remettre les attestations des dix-huit étudiants admis de la première promotion du centre UNFM de Ouagadougou. Sur un effectif de cinquante étudiants, les dix-huit admis ont reçu à valider les trois modules du programme de l’UNFM, notamment les "décisions de santé, soins et alerte".

Pour le président de l’UNFM, Jean-Didier Vincent, qui avait aussi à ses côtés, le coordonateur exécutif de l’UNFM, Olivier Archambeau, ce résultat obtenu est le fruit du courage des étudiants et des enseignants du Burkina à qui la présidente de l’Université de Ouagadougou, Odile Nacoulma, a tenu à témoigner sa reconnaissance.

Ce sont entre autres les professeurs, Joseph Paré, Laya Sawadogo et François Tall. L’urgence à UNFM, selon le président de son conseil scientifique Michel Le Bras, reste à travailler à la reconnaissance de ses diplômes sur le plan international, au moins au niveau européen.

Alassane KERE

Sidwaya

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