Les échanges ont porté sur divers sujets intéressant le Médiateur du Faso et les deux structures. Le président du Comité de suivi de la mise en œuvre des engagements de la Journée nationale du pardon (JNP), M. Didace Doamba qui conduisait la délégation, a affirmé à l’issue des échanges que la contribution du Médiateur du Faso à la protection des droits humains à travers ses interventions est une réalité : ses recommandations qui se fondent sur le principe de légalité, de bonne administration et d’équité visent à promouvoir le respect des droits humains, la démocratie et la paix sociale.

De l’avis de M. Doamba, le Comité qu’il dirige poursuit les mêmes objectifs, si bien que l’on peut dire que « les deux structures sont complémentaires », et donc sont appelées à travailler en synergie.
Le président de la Cour de justice de l’UEMOA, M. Yves Yehouessi, s’est entretenu avec le Médiateur du Faso sur les activités de cet organe de l’Union, installé en janvier 1995. Malgré sa relative jeunesse, il fonctionne normalement, « donne des avis et rend des arrêts » a expliqué M. Yehouessi.

Il reste cependant un défi à relever, à savoir la formation et la sensibilisation des partenaires au rôle et au fonctionnement de la Cour.
Le médiateur du Faso, à ce sujet, pourrait aider à orienter les citoyens vers elle en cas de besoin où encore expliquer le sens des décisions rendues, a souhaité le président.

Division Communication et Relations Publiques

Sidwaya