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Alima Ouédraogo "Sofia", invitée d’honneur au Cameroun

Publié le vendredi 25 août 2006 à 07h06min

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Alima Ouédraogo, révélée au public à travers le film « Sofia » de Boubacar Diallo, est en train de se faire une place au soleil. En effet, la belle créature de 25 ans est rentrée de Yaoundé au Cameroun où elle était un des invités d’honneur du festival de cinéma « Ecrans noirs » qui soufflait ses 10 bougies du 27 mai au 4 juin dernier.

Belle et très séduisante, Sofia est une jeune comédienne de plus en plus cotée dans son pays mais également dans certains pays du continent tels que le Cameroun pour ne citer que ce dernier où la jeune Burkinabè a dû signer à maintes reprises pour faire plaisir avec ses fans. En effet, pour avoir incarné de belle manière son rôle de « Sofia » dans le film qui porte d’ailleurs son nom, Alima Ouédraogo a été vite adoptée par le public.

Et les Camerounais portent notre talentueuse demoiselle du 7e art dans leur cœur depuis qu’ils l’ont découverte lors de son passage en 2005 avec la sortie officielle de « Sofia » au pays de Paul Biya. Sofia y est donc retournée du 27 mai au 4 juin 2006 comme invitée d’honneur du Festival « Ecrans noirs » qui célébrait cette année son 10e anniversaire. Ce festival, dont le promoteur est Bassek Ba Kabhio, a déroulé le tapis rouge pour le cinéma burkinabè avec « Kato kato » d’Idrissa Ouédraogo en séance inaugurale. En rappel, le même réalisateur avec son film « Kini & Adams » avait ouvert en 1997 la 1ère édition d’"Ecrans noirs ».

En plus de la participation très remarquable d’Alima Ouédraogo, d’autres personnalités du monde du cinéma burkinabè étaient au rendez-vous de cette fête. Il s’agit du délégué général du FESPACO (Festival panafricain de cinéma et de la télévision de Ouagadougou), Baba Hama, du réalisateur et directeur d’IMAGINE, Gaston Kaboré et de Michel Saba de la Direction de la cinématographie nationale (DCN).

Pour sa deuxième expérience au festival « Ecrans noirs », Sofia n’a pas chômé puisqu’elle a accordé de nombreuses interviews à la presse dont RFI. Soulignons que la 10e édition du festival, qui a rendu un vibrant hommage à feu Henry Duparc, a enregistré la présence de plusieurs œuvres burkinabè dont « L’Or de Younga » de Boubacar Diallo, « Moi et mon Blanc » de Saint Pierre Yaméogo, et des films sur notre pays comme « Voyage à Ouaga » du réalisateur de la RDC, Camille Mouyeké.

L’Observateur Paalga

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