Vos commentaires

• 1. Le 4 février 2006 à 16:24 En réponse à : > Blaise Compaoré, le dribbleur

  Tres bel article. Je suis desole de vous ecrire sans accents car j’ecris avec un clavier anglais. Mais en tout cas moi j’ai bien aime ce article. En general vous faites du bon boulot la. Je vous felicite pour votre travail.

  Mamadou Ouattara,
  Taipei, Taiwan

  • ^ Le 4 février 2006 à 19:58 En réponse à : > Blaise Compaoré, le dribbleur

    Je cherche en vain l’excellent orateur Monsieur Laurent Bado, l’homme de la troisième voie, lequel prétend prendre, tel un judoka l’adversaire, dans le sens de son mouvement ?
    Qui peut encore oser douter que Monsieur COMPAORE est un véritable homme d’Etat ?
    Quant à la référence à l’A.D.F./R.D.A. cela prouve, si besoin était, que Monsieur Gilbert OUEDRAOGO est aussi un garçon intelligent. Et en politique, c’est une qualité qui peut aider, comme d’ailleurs, en toute matière . Kéré, Nancy

    • ^ Le 5 février 2006 à 00:09, par l,homme noir En réponse à : > Blaise Compaoré, le dribbleur

      Merci pour cette article...vous au moins,vous avez un president qui est sportif et aime le sport,profite pendant qu,il est temp.

• 2. Le 4 février 2006 à 22:54 En réponse à : > Blaise Compaoré, le dribbleur

  Bravo Monsieur SOME petit article mais très bonne conception.

• 3. Le 5 février 2006 à 10:14 En réponse à : > Blaise Compaoré, le dribbleur

  Tous mes respects pour cet article plein d’imaginations !
  Ce qui me rejouit le plus c’est que cela met fin aux mauvaises langues qui pensaient que faire de tels articles c’est corroborer avec le pouvoir en place !! bon vent à vous !!

• 4. Le 5 février 2006 à 14:54, par On aime tous le Burkina En réponse à : > Blaise Compaoré, le dribbleur

  très belle mise en scène ! aucune réaction de très belle facture jusquà présent !exempté celle de Kéré mais qui va vite quand même à la conclusion que Blaise est un vrai homme d’Etat. Si je ne lui discute pas ce fait, je doute fort que l’article puisse a priori porter à penser cela. Aucune scène ne le laisse entrevoir, au contraire ,et le titre de l’article est négativement évocateur à plus d’un titre.
  Pour rester dans le contexte sportif,je vois un décor ennuyeux pour des habitués de bons championnats:un match de très bas niveau, plein de trucages et de compromissions , de désistement et de transfuge dans un championnat de quartier, où devant plein de tocars, un seul joueur émerveille le public sans être un joueur de haut niveau. Un public qui n’en a d’ailleurs pas encore vu de mieux ; ignare ou affamé , qui applaudit béatement,plus par devoir que par plaisir... car dans un match sans enjeu et dont le résultat est connu d’avance et sans star et sans aucune belle action, il n’yavait véritablement rien à mettre sous la dent...
  Vivement que ce supplice ait pris fin et que les honnêtes citoyens aient oublié cette parenthèse récréative et vacquent maintenant à leurs occupations qui seules vaillent la peine de meriter une débauche d’energie...

  Bon dimanche à tous...
  NB : je suis un passant , je ne fais que passer et je repasserai

  • ^ Le 6 février 2006 à 20:21, par kéré, Nancy En réponse à : > Blaise Compaoré, le dribbleur

    On aime tous le Burkina, Jolie !!!! votre réaction mais...

    J’ai, sans complaisance, apprécié la forme et l’imagination de vos écrits, mais je suis au regret de vous préciser que je n’en partage pas, totalement, le fond, encore que pour la reprise du train train quotidien, 100% d’accord !!
    Je vous remercie de vos compliments à mon égard. Dommage que votre action, vos écrits... (intello de votre acabit, de votre envergure) ne puissent pas s’inscrire dans un projet politique concret car, à vous lire, incontestablement, vous êtes doté, certainement, d’une intelligence certaine. Alors, agissez vite et faites fructifier cette intelligence au profit du développement du peuple burkinabè. Ex : Comment dois-je faire pour construire (même en banco) un Centre culturel dans mon village, alors que je possède déjà le matériel informatique et les livres pour la bibliothèque de l’école. Je serai nécesairement attentif à votre réponse future et à celle de toutes les bonnes volontés, en dépit de ma charge de travail. Kéré, Nancy

    • ^ Le 9 février 2006 à 10:44, par On aime tous le Burkina En réponse à : > Blaise Compaoré, le dribbleur

      Merci Me Kéré. J’apprécie votre réaction à mes propos.Merci aussi pour les compliments sincères quand bien même je m’en méfie un tout petit peu (sourire) ! Mais surtout, je suis très reconnaissant pour les centres culturels que vous avez construits pour nos populations quoique je ne pense pas que ce soit véritablement la préoccupation majeure de nos pauvres paysans si tant il est vrai que l’on parle de nos braves villageois et nos des habitants des campagnes françaises. Cependant, je dois vous concéder que je souscris entièrement à l’esprit de votre appel ou interpellation tout en remettant au centre de la polémique la manière de servir le pays : "un projet politique concret" forcément ? Chacun a probablement une réponse un brin différente, mais il me semble avant tout important pour ceux à qui le peuple a confié la gestion de son avenir de créer les conditions optimales pour que le pays puisse tirer au maximum profit de ses ressources humaines locales ou expatriées. Combien de spécialistes et experts burkinabé sont contraints et se sont résignés à servir dans d’autres pays alors que le pays manque cruellement de ressources humaines ? Beaucoup et pas les moindres ! Me Kéré n’en dira pas le contraire !
      Accepter définitivement la prédominance des intérêts collectifs,( le developpement du Faso-trait d’union de nous tous) sur les intérêts particuliers( politiques en l’occurence) : voila le sens de la cause !

      fraternellement !
      Un passant !
      je ne fais que passer ; je repasserai certainement.

      • ^ Le 9 février 2006 à 21:38, par Kéré, Nancy En réponse à : > Blaise Compaoré, le dribbleur

        Cher on aime tous le Burkina,

        Vous n’avez pas rigoureusement répondu à mes interrogations concernant la construction du Centre Culturel de mon village pour lequel, j’ai déjà mobilisé le matériel informatique et les livres qui alimenteront la bibliothèque de l’école. Je rappelle que la construction n’a même pas commencé et je vous exhortais à me donner les voies et moyens pour réaliser ce projet au lieu de critiquer le pouvoir dans le vide. De deux choses, l’une:Si vous avez compris que c’était déjà fait, vous avez fait fausse route et j’en conclue que vous n’êtes pas attentifs à mes écrits. Ou, je vous propose un autre projet concret. Un cousin souhaite faire l’acquisition d’une charrue et d’un âne. Le prix de la charrue est d’environ 100 000 francs CFA et l’âne environ 70 000 francs CFA. Pouvez-vous m’aider ou me dire comment faire aux fins de mobiliser cette somme pour venir en aide à ce brave paysan de mon village qui n’a plus les reins solides pour cultiver la terre à la daba. C’est un projet concret pour lequel je souhaite votre aide ainsi que celle de toutes les bonnes volontés sans distinction de sexe, de race ou de religion. Si vous m’aidez à réaliser ce projet, je dirai aux internautes que "on aime tous le Burkina m’a aidé" et a raison de critiquer le pouvoir qui ne peut doter chaque paysan d’une charrue et d’un âne. Si vous ne le faites pas, arrêtez immédiatement de glauser sur l’intérêt des paysans et des masses laborieuses. A supposer que vous m’aidiez effectivement avec cette somme de 170 000 francs CFA pour l’acquisition de la charrue et de l’âne au profit de mon cousin agriculteur, combien de burkinabè sont-ils dans ce besoin élémentaire. En sciences politiques, votre comportement s’apparente à la démagogie. Surtout, arrêtez de critiquer le pouvoir de Monsieur COMPAORE si vous ne pouvez même pas mobiliser cette somme de 170 000 francs CFA pour venir en aide à un brave vieux paysan burkinabè pour lequel, je sollicite votre aide. En réalité, ces exemples concrets montrent comment la gestion d’un pays peut s’avérer très difficile. Cela nécessite le respect des gouvernants et la mobilisation de tous pour le développement du Burkina. Bon vent à vous et j’attends votre réaction. Surtout, prenez bien le temps de lire mes interrogations avant de me répondre. Kéré, Nancy

      • ^ Le 10 février 2006 à 05:36, par kéré, nancy En réponse à : > Blaise Compaoré, le dribbleur

        M. "on aime tous le Burkina. Je vous ai déjà répondu assez largement.
        Vous avez écrit : "Accepter définitivement la prédominance des intérêts collectifs, (le développement du Faso - trait d’union de nous tous) sur les intérêts particuliers (politiques en l’occurence) : voilà le sens de la cause" et j’ajoute, la cause des tergiversations ? Alors je vous prends au mot et vous précise que je suis prêt à abandonner mon Cabinet aux collaborateurs, mon épouse et mes deux garçons en bas-âge (13 et 10 ans) pour rejoindre le Faso aux seules fins de son développement. Que me proposez-vous concrètement ? Je vous remercie de votre réponse afin que je puisse en discuter et prendre toutes mes dispositions en temps utile. Fraternellement. Kéré, Nancy