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Le festin du terroir “Le Tigri” : Un nouveau cadre gastronomique et récréatif

Publié le lundi 30 janvier 2006 à 07h33min

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Le Festin du terroir « Le Tigri » est un nouveau cadre gastronomique et récréatif offert aux Ouagavillois par le Larlé Naaba Tigré, député à l’Assemblée Nationale. Son inauguration a eu lieu, jeudi 26 janvier 2006 sous le patronage du ministre de la Culture, des Arts et du Tourisme, Mme Aline Koala et du parrainage de l’ambassadeur des Pays-Bas, M. Maurits Schaapveld.

Le Festin du terroir « Le Tigri » est situé côté Nord-Ouest de la cité An III face Avenue de la Liberté, juste avant le pont du canal. « Comptoir Tigré Agro », maquis ou restaurant, c’est selon le client. En tous les cas, chacun a son compte. Au festin du terroir « Le Tigri », la clientèle des légumes et oléagineux est servie. Il existe en effet un comptoir où l’on peut faire des achats.

Au festin du terroir « Le Tigri », les amoureux des mets traditionnels trouveront en ce lieu, un restaurant. Enfin, le festin du terroir « Le Tigri » est un maquis. Mais un maquis qui allie tradition et modernité. En effet, il y est prévu du lundi au jeudi, de 18 h à 21 h 30 mn, de la musique traditionnelle (kundé, balafon, djembé, pendga) et du vendredi au dimanche de 18 h à 21 h 30 mn, des animations de troupes traditionnelles. Quant à la musique moderne, les jeunes et maquisards pourront la savourer tous les jours de 22 h à 2 h du matin.

Le promoteur de ce cadre récréatif, le Larlé Naaba Tigré, a fait savoir aux autorités et à tous les invités ayant assisté à la cérémonie d’ouverture, que le joyau offert aux Ouagavillois se veut un cadre pour la valorisation des potentialités artistiques et culturelles, y compris culinaires de notre terroir. L’espace le festin du terroir « Le Tigri » peut servir également de cadre à des conférences et à des rencontres diverses.

Les intervenants à la cérémonie, le parrain, l’ambassadeur Maurits Schaapveld et le ministre de la Culture, Mme Aline Koala ont salué l’initiative du promoteur.

Ils ont émis le souhait que ce cadre d’expression et d’éclosion des artistes de tous les horizons puisse participer à la socialisation de notre jeunesse.

Les invités à la cérémonie ont, à la suite de la coupure du ruban symbolique, pu suivre des prestations de troupes traditionnelles et dégusté les mets locaux ainsi que les boissons locales.

Ismaël BICABA (bicabai@yahoo.fr)
Sidwaya

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